Les vitraux du XIIe siècle de la cathédrale du Mans (V). Baie XIX, Vie de saint Étienne.
Baie de plein cintre de 2,30 m de haut et 1 m de large dans la nef coté nord, première baie à l'ouest, à l'angle de la façade occidentale. Trois registres sous forme de trois médaillons circulaires.
"La technique picturale y est d'une admirable acuité dans la pose du trait, d'une extraordinaire préciosité dans le rendu des ornements dégagés à la pointe sur la grisaille peinte. Tout détail décoratif se métamorphose en une invention formelle dans son dessin et son traitement. Les formes sont d'une grande plasticité, tel le corps arqué de saint Étienne gardé par les animaux. L'organisation des compositions est subtile, tantôt asymétrique, tantôt centrée sur le héros souffrant comme dans la Lapidation. Cette articulation des protagonistes autour du personnage principal s'observe aussi aux vitraux de la façade de Chartres. De même, la distribution des plis, la morphologie des visage, la souplesse des mouvements dérivent de cette tradition, mais ce maître la dépasse par son propre génie créatif." (C. Brisac, 1981)
Ces trois médaillons forment un ensemble avec les deux médaillons inférieurs de la baie XVII et proviennent certainement d'une seule verrière primitive dont on ignore l'emplacement originel. Il s'agissait donc d'un cycle de la Vie de saint Étienne. En effet, les inscriptions des cinq médaillons sont similaires : "la longueur du texte, la présence du mot ubi et l'emploi du passif dénotent une même intention d'expliquer le contenu des scènes par le texte." (Debiais, 2010).
La Baie XVII était consacrée aux épisodes de l'Invention des reliques (fêtée le 3 août) alors que les deux premiers médaillons de la baie XIX renvoient aux épisodes rapportés par les Actes des Apôtres :
56 exclamantes autem voce magna continuerunt aures suas et impetum fecerunt unianimiter in eum
57 et eicientes eum extra civitatem lapidabant et testes deposuerunt vestimenta sua secus pedes adulescentis qui vocabatur Saulus
58 et lapidabant Stephanum invocantem et dicentem Domine Iesu suscipe spiritum meum
59 positis autem genibus clamavit voce magna Domine ne statuas illis hoc peccatum et cum hoc dixisset obdormivit Saulus autem erat consentiens neci eius
"Et il dit: Voici, je vois les cieux ouverts, et le Fils de l'homme debout à la droite de Dieu. Ils poussèrent alors de grands cris, en se bouchant les oreilles, et ils se précipitèrent tous ensemble sur lui, le traînèrent hors de la ville, et le lapidèrent. Les témoins déposèrent leurs vêtements aux pieds d'un jeune homme nommé Saul. Et ils lapidaient Étienne, qui priait et disait: Seigneur Jésus, reçois mon esprit!" (Trad. L. Segond)
Pour respecter la cohérence du récit, je débuterai par le registre inférieur.
Registre inférieur : Arrestation de saint Étienne.
La ville de Jérusalem est représentée à gauche avec ses murailles, ses édifices et surtout l'une de ses portes, par laquelle Étienne est expulsé. le martyr est vêtu d'une tunique dorée ornée de macarons à quadrilobes, qui est la même sur les trois médaillons (et sur le médaillon de la baie XVIII ). Étienne était le premier diacre martyr de l'Église, l'un des sept hommes choisis pour aider les apôtres :
Actes 7:2 "Les douze convoquèrent la multitude des disciples, et dirent: Il n’est pas convenable que nous laissions la parole de Dieu pour servir aux tables. 3 C’est pourquoi, frères, choisissez parmi vous sept hommes, de qui l’on rende un bon témoignage, qui soient pleins d’Esprit-Saint et de sagesse, et que nous chargerons de cet emploi. 4 Et nous, nous continuerons à nous appliquer à la prière et au ministère de la parole. 5 Cette proposition plut à toute l’assemblée. Ils élurent Etienne, homme plein de foi et d’Esprit-Saint, Philippe, Prochore, Nicanor, Timon, Parménas, et Nicolas, prosélyte d’Antioche. 6 Ils les présentèrent aux apôtres, qui, après avoir prié, leur imposèrent les mains. 7 La parole de Dieu se répandait de plus en plus, le nombre des disciples augmentait beaucoup à Jérusalem, et une grande foule de sacrificateurs obéissaient à la foi."
S'il porte la dalmatique de diacre, c'est par anachronisme, celle-ci étant apparue au IV ou Ve siècle, avec ses claves (bandes de tissu) pourpres. Dans sa Lettre, le prêtre Lucien raconte comment le saint lui apparu en vision : « Le Saint était vêtu du sticharion de lin des Diacres, sur lequel était brodé son nom en lettres rouges et or ». Le sticharion, qui fait partie de la paramentique des églises orientales, est une aube longue et droite, à larges manches pour les diacres. En voici des exemples :
De même, Étienne apparaît ici tonsuré, ce qui est parfaitement cohérent (en oubliant l'anachronisme) pour un diacre, la tonsure étant le premier degré de la cléricature.
Parmi les sept diacres de la communauté de Jérusalem, Étienne, chef des héllenistiques, se distingua en faisant des miracles, et sa puissance ostencible déplut aux Juifs de la synagogue des Affranchis :
Acte 7:8 "Etienne, plein de grâce et de puissance, faisait des prodiges et de grands miracles parmi le peuple. 9 Quelques membres de la synagogue dite des Affranchis, de celle des Cyrénéens et de celle des Alexandrins, avec des Juifs de Cilicie et d’Asie, se mirent à discuter avec lui; 10 mais ils ne pouvaient résister à sa sagesse et à l’Esprit par lequel il parlait. 11 Alors ils soudoyèrent des hommes qui dirent: Nous l’avons entendu proférer des paroles blasphématoires contre Moïse et contre Dieu. 12 Ils émurent le peuple, les anciens et les scribes, et, se jetant sur lui, ils le saisirent, et l’emmenèrent au sanhédrin. 13 Ils produisirent de faux témoins, qui dirent: Cet homme ne cesse de proférer des paroles contre le lieu saint et contre la loi; 14 car nous l’avons entendu dire que Jésus, ce Nazaréen, détruira ce lieu, et changera les coutumes que Moïse nous a données. 15 Tous ceux qui siégeaient au sanhédrin ayant fixé les regards sur Etienne, son visage leur parut comme celui d’un ange."
Dans la ville, de loin, un témoin — sans doute un chrétien— observe la scène. Trois hommes aux visages grimaçants, en tunique courte et hauts de chausse, expulsent le diacre. Le jeu violent des mains et des gestes est le même que celui des Passions lorque le Christ est mené devant Pilate ou devant le Grand prêtre, où qu'il est outragé.
Inscription: dans un bandeau noir au dessous de la scène :
VBI. STEPH' . EICITVR . EXTRA . CIVITATE.
Transcription : Ubi Stephanus eicitur extra civitate "Où Étienne est conduit hors de la cité". Le nom Stephanus est abrégé par une apostrophe après le H. De nombreuses lettres conjointes sont remarquables, comme V et B dans ubi, V et R dans eicitur, T et R dans extra. Dans civitate, le I est enclavé dans le C.
Cette inscription est calquée sur le texte de la Vulgate et eicientes eum extra civitatem.
Deuxième registre : Lapidation de saint Étienne.
Sous le regard d'un donneur d'ordres qui tient une épée, trois hommes jettent des pierres sur Étienne. C'est le schéma iconographique habituel de la Passion du Christ qui est ici reproduite dans la scène de flagellation, avec les bourreaux aux jambes et aux bras nus, aux traits cruels et sardoniques et à la gestuelle de danse ou de jeu.
Au dessus, la main de Dieu indique qu'il garantit à Étienne la sainteté que lui vaut son martyre.
La position à genoux du diacre est conforme aux Actes : 59 positis autem genibus clamavit voce magna Domine ne statuas illis hoc peccatum et cum hoc dixisset obdormivit Saulus autem erat consentiens neci eius : "Puis, s'étant mis à genoux, il s'écria d'une voix forte: Seigneur, ne leur impute pas ce péché! Et, après ces paroles, il s'endormit."
A la réflexion, j'ai fait un contre-sens avec mon "donneur d'ordres qui tient une épée" car ce personnage n'est qu'un spectateur passif : c'est Saul, le futur saint Paul, mentionné par les Actes : "Les témoins déposèrent leurs vêtements aux pieds d'un jeune homme nommé Saul.". Je regarde à nouveau le vitrail, et je remarque qu'il tient effectivement en main un vêtement. En outre, je remarque qu'il présente la calvitie marquée d'un toupet, qui font partie, tout comme l'épée, des attributs pauliniens. La violence du martyre se déroule sous les yeux de Saul, qui reste complaisemment passif, et cet aspect de la scène, loin d'être anecdotique est parfaitement illustrée ici. Ce contraste entre le Saul d'avant la conversion et le Paul d'après Damas est riche en possibilité de prédications. Pour saint Augustin Sermo CCXV:4, ce sont les prières d'Étienne lors de son martyre qui ont permis la conversion de Saul : Orationi Stephani debetur conversio Sauli.
Inscription : dans un bandeau noir courbe placé au dessus de la scène.
S. STPH' . LAPIDATUR.
Sanctus Stephanus lapidatur : "Saint Étienne est lapidé"
Voir Saint Augustin, Sermon 31 Sermo CCXV In natali sancti Stephani et Sermo CCXI
Registre supérieur. Médaillon de l'Ensevelissement de saint Étienne.
La scène renvoie aux Actes des Apôtres 8:2 :
curaverunt autem Stephanum viri timorati et fecerunt planctum magnum super illum
: "Des hommes pieux ensevelirent Étienne, et le pleurèrent à grand bruit."
Six personnages entourent le saint, dont un lecteur, un thuriféraire et un cruciféraire tonsurés. La main de Dieu sort des nuées pour une bénédiction. Pour expliquer une telle cérémonie, il faut faire appel à une autre source que les Actes des Apôtres : la Lettre du prêtre Lucien. Dans celle-ci, Lucien, curé de Caphar-Gamala, raconte la vision qu'il eut :
"Je suis Gamaliel qui ai élevé Paul, l’apôtre du Christ, et qui lui ai enseigné la loi à Jérusalem. Celui qui est placé près de moi, dans le tombeau, du côté de l’orient, est le seigneur Étienne, que les princes des prêtres et les Juifs ont lapidé, à Jérusalem, pour la foi du Christ, hors de la ville, à la porte du nord, sur la route de Cedar, où il demeura un jour et une nuit, étendu par terre, sans sépulture, afin de devenir, selon l’ordre impie des princes des prêtres, la proie des bêtes sauvages. Mais Dieu ne voulut point qu’il reçût leurs atteintes. Les bêtes sauvages, les oiseaux de proie et les chiens respectèrent ces restes précieux. Et moi, Gamaliel, plein de compassion pour le sort du ministre du Christ, et de hâte pour recevoir ma récompense et avoir part avec ce saint homme dans la paix, j’ai envoyé, pendant la nuit, tous les hommes religieux que je connaissais croyant en Jésus-Christ et habitant à Jérusalem, au milieu des Juifs, et leur fis toutes mes recommandations. Je leur donnai tout ce qui leur était nécessaire et les déterminai à se rendre secrètement sur le lieu du supplice pour enlever le corps et le porter, dans un de mes chars, à ma maison de campagne appelée Caphargamala, c’est-à-dire maison de campagne de Gamaliel, à vingt milles de la ville. Là je lui fis des funérailles qui durèrent quarante jours, et je le fis déposer dans le monument que je m’étais fait faire à cet endroit, dans la case située du côté de l’orient, et j’ai fait donner à ces gens de quoi subvenir à tous les frais de ces funérailles ? Dans l’autre case fut placé le seigneur Nicodème, le même qui alla trouver Jésus pendant la nuit "
La scène représentée sur le vitrail est donc vraisemblablement liée aux funérailles d'Étienne, à Caphar-Gamala, par Gamaliel, docteur de la loi qui, dans Ac 5,34-39, prit la défense devant le sanhédrin des apôtres, et dont Saul/Paul suivit l'enseignement.
L'Invention —la découverte— des reliques de saint Étienne a eu lieu en 415, du temps de saint Augustin, mais :
"Les reliques d'Étienne sont découvertes en décembre 415 par un certain Lucien à Kfar Gimal sur la route d'Éleuthéropolis (aujourd'hui Beit Guvrin) en Palestine, avec celles de Gamaliel, de Nicodème et d'Abibos, le fils de Gamaliel. Ceci fait l'objet d'une lettre que le prêtre Lucien adresse à un certain Avitus, diacre de passage en Palestine. Cette lettre, très répandue, existe principalement en deux recensions latines. Ce récit doit être comparé à une Passio (un récit du martyre) dont il existe d'assez nombreux témoins dans toutes les langues de l'Orient chrétien. Comme une fête d'Étienne est attestée le 26 décembre dès avant l'invention des reliques (dans le calendrier syriaque de 411) de même que des homélies patristiques, il est fort possible qu'une couche ancienne de ce récit soit antérieure à l'invention des reliques. Parmi les nombreuses révélations de reliques qui se succèdent aux IVe et Ve siècles après Jésus-Christ , une des mieux connues, comme aussi des plus célèbres et des plus importantes, est celle des reliques de Saint-Étienne à Caphar-Gamala près de Jérusalem en décembre 415.
Les circonstances en ont été racontées plus d'une fois : l'évêque Jean de Jérusalem s'apprêtait, le 17 ou 18 décembre 415, à se rendre au concile provincial de Diospolis pour y soutenir Pelage contre les attaques d'Orose et des évêques Hiéron et Lazare , lorsque se présenta le curé de Caphar-Gamala [Lucien] venu lui annoncer la révélation qu'il avait reçue : par trois fois, Gamaliel lui était apparu pour lui enjoindre de faire élever ses reliques avec celles de son fils Abibas, de Nicodème et du protomartyr Etienne. Jean chargea son interlocuteur de mener les recherches, se réservant d'ailleurs les reliques du protomartyr.
Le lendemain ou le surlendemain, un messager le rejoignit à Lidda, lui annonçant que les fouilles avaient abouti : une nouvelle vision, adressée cette fois à un moine de l'endroit, avait précisé que les Saints se trouvaient dans un tombeau en ruines, au Nord d'un tertre où Lucien avait d'abord fait porter les recherches. L'évêque s'en vint donc avec deux collègues reconnaître les reliques; le 26 décembre il procéda à leur translation solennelle dans l'église de la Sainte-Sion. Lucien gardait cependant les ossements moins importants et la poussière qui avait été la chair du. Saint.
En ce moment même, Paul Orose se préparait à quitter la Palestine ; il avait en somme subi un échec en n'obtenant pas la condamnation de Pelage à Diospolis et personnellement il était dans les plus mauvais termes avec Jean de Jérusalem. Comme il manifestait l'intention de rentrer en Espagne, un de ses compatriotes, le prêtre Avit , le chargea de faire parvenir à Braga quelques reliques obtenues « secrètement » de Lucien; pour les authentiquer, il y joignait une lettre à son évêque, Balchonius, ainsi que la traduction, qu'il venait d'achever, de la relation du curé de Caphargamala. L'envoi ne parvint d'ailleurs pas à destination, et les reliques furent partagées entre Minorque et Uzalis en Afrique. Ces translations donnèrent le branle à un mouvement de pèlerinage et à un culte dont l'amplitude et la ferveur nous sont attestées par saint Augustin (15) et par la collection des Miracula Uzali .
Le clergé de Jérusalem se montrait généreux dans la distribution des reliques, et le culte de saint Etienne ne tarda pas à se répandre dans tout l'Occident ." S. Vanderlinden (1946)
Saint Augustin témoigne de la réalité de cet évenement en le mentionnant dans 6 sermons sur saint Etienne (sermones 314-319), (sermones 320-324), et dans la collection des miracles du de Civitate Dei. Les recensions de la Lettre du prêtre Lucien sont attestées en grecque, arménien, géorgien ou éthiopien, mais surtout en latin dans de nombreux manuscrits dont ceux du Xe au XIIe siècle permettent de s'assurer que l'évêque du Mans commanditaire en avait connaissance.
Inscription :
SCS ; STEPHANVS PONITR IN SEPVLCRO
Sanctus Stephanus ponitur in sepulcro. "Saint Étienne est mis au tombeau". Le N de ponitur est perlé.
SOURCES ET LIENS.
— BRISAC (Catherine), 1981, "Les vitraux du XIIe siècle", in La cathédrale du Mans, sous la dir. de André Mussat, Berger-Levraut pp. 60-69.
— BUSSON G. Actus pontificum Cenomannis in urbe degentium, in Ledru, Archives historiques du Maine, 1901 p. 383 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k736761/f538.image
— CALLIAS BEY (Martine), CHAUSSÉ (Véronique), PERROT (Françoise), GRODECKI (Louis) 1981, Les vitraux du Centre et des Pays de la Loire, Corpus Vitrearum Recensement II, CNRS éditions, Paris.
— DEBIAIS (Vincent),2010, Corpus des inscriptions de la France médiévale 24 Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe (Région Pays de la Loire) CNRS éditions, Paris. page 200. page 244.
— GRANBOULAN Anne. "De la paroisse à la cathédrale : une approche renouvelée du vitrail roman dans l'ouest." In: Revue de l'Art, 1994, n°103. pp. 42-52. http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rvart_0035-1326_1994_num_103_1_348108
— GRANBOULAN (Anne) 1991 "Une identification nouvelle pour un vitrail du XIIe siècle à la cathédrale du Mans" in Revue historique et archéologique du Maine, 3e série, t. 11, 1991, p. 297-304 ou dans Vitrea Revue du Centre international du vitrail 1990 30-35
— GRANBOULAN PASCAUD (Anne) 1991 La tradition picturale des provinces de l'ouest de la France dans le vitrail du douzième siècle Thèse en Art et archéologie sous la direction de Anne Prache, Paris IV.
— HUCHER (Eugène) et LAUNAY (Abbé), 1864, Calques des vitraux de la cathédrale du Mans Calques des vitraux peints de la cathédrale du Mans... par M. Eugène Hucher et l'abbé Launay. Introduction historique : école primitive de peinture sur verre au Mans, par l'abbé Lottin. Paris, Didron
— VANDERLINDEN S. 1946 "Revelatio Sancti Stephani (BHG 7850-6)" Revue des études byzantines vol. 4 pp. 178-217 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rebyz_0766-5598_1946_num_4_1_939#
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