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Le clocher comporte une tour qui prolonge le pignon occidental, encadré de deux contreforts à pilastres. Puis, au dessus d'une galerie en surplomb, vient une première chambre de cloches, carrée, et ensuite dans une flèche octogonale, une fausse chambre de cloche qui s'ouvre par des frontons encadrés de pilastres.
Selon l'abbé Billant,
"Le clocher ne porte pas de date de construction. Il a dû être bâti au plus tard au commencement du XVIIe siècle. Dans un procès soutenu vers 1670 contre les prétentions du recteur de Hanvec, les tréviens de Rumengol, accusés de mal employer les deniers de leur église, allèguent « qu'ils ont fait et bâti une « tour magnifique et y ont mis des cloches ». Les galeries de la tour n'ont été construites qu'en 1750, d'après les comptes rendus par le marguillier, fabrique en 1751: «quittance de la somme de 75 livres pour premier terme passé avec Yves Tellier pour les guérides au clochet »,
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Clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
Clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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D'après André Mussat, qui écrit en 1957 :
"Ce type de façade, comportant un large pignon-mur sur lequel se fonde un grand clocher posé en encorbellement, à la chambre des cloches ajourée et à la flèche haute et légère découpée par de grands gâbles, est bien connu en Cornouaille. Comme à Confort, à Kérinec en Poullan, la tourelle d'escalier rond flanque le clocher nord et se termine par une coupolette en lanternon. Aucune fenêtre ne viendra altérer le caractère mural. […] C'est l'heureux moment où les motifs lombards renouvellent les grands partis architecturaux français traditionnels. Les choux des arcs deviennent d'élégants fleurons, les pinacles se muent en candélabres, les niches s'ornent de coquilles ; l'anse de panier profondément mouluré de la porte, l'alternance dans une corniche de consoles et d'une frise de feuillages très refoulés, la finesse des colonnes torses sont autant de signes de cette adaptation élégante et éphémère. Il n'y a sans doute pas en Bretagne d'exemple plus réussi.
Les niches des contreforts sont, comme à l'Hôpital-Camfrout, surmontées de deux banderoles dont les extrémités se retournent en s'accolant : ce thème, que l'on voit à Lampaul-Guimiliau en 1533, connaîtra une belle destinée dans la région : on le retrouve, tout près de là, au porche de Lopérec en 1586. Il ne reste dans toute cette façade malheureusement qu'une seule statue dans la niche centrale. Elle paraît d'ailleurs bien petite pour son emplacement. C'est sainte Catherine, avec sa roue, son livre et l'empereur foulé aux pieds. L'exécution est élégante, sans être exceptionnelle,et se rattache au style de la Loire."
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Clocher et façade occidentale de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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I. LA FAÇADE OUEST.
Commençons, sur le conseil de l'abbé Billant qui nous sert de guide, par admirer, à l'ouest, le frontispice, d'un très gracieux effet.
"Devant vous se dresse un clocher svelte avec une chambre de cloches percée à jour d'un incroyable légèreté, à laquelle on accède par une tourelle ronde d'escalier couronnée d'un dôme et d'une petite lanterne. Au-dessus de la chambre des cloches s'élance, « suspendue en l'air, dirait-on, par un prodige d'équilibre, une flèche octogonale aussi hardie que gracieuse, aux rampants munis de crochets (abbé Millon, les ·grandes Madones bretonnes). Au dessous de la galerie saillante de ce clocher s'épanouit un portail qui est, .avec celui de l'Hôpital-Camfrout l'une des plus belles pages de la Renaissance en Basse-Bretagne. Une porte centrale en anse de panier est encadrée de moulures prismatiques, puis de deux colonnettes formées des mêmes moulures qui se tordent en hélice et se terminent par des chapiteaux soutenant deux petits pinacles appliqués et un arceau saillant qui se résout en une accolade d'où surgit un troisième pinacle. (M. le chanoine Abgrall).
Au-dessus de la porte, une belle frise feuilIagée et moulurée entrecoupée par des écussons supporte trois niches dont celle du milieu abrite la statue en pierre, d'une rare beauté et malheureusement mutilée, de sainte Catherine d'Alexandrie, richement vêtue et portant d'une main un livre, de l'autre une· épée, ayant à ses côtés la roue brisée, et sous ses pieds le tyran Maximin Daïa, ce dernier revêtu du manteau et de la toque des ducs de Bretagne. Cependant, d'après Charles- Baussart (Semaine littéraire du 22 juin 1913), ce n'est pas le tyran Maximin Daïa qui serait sous ses pieds, mais le rhéteur Porphyre qui l'avait défiée à un ·combat de philosophie ; aussi est-il sous ses pieds, vaincu,. terrassé par la vérité. Dans tous les détails de ce portail l'on trouve un mélange étonnant du style gothique qui allait disparaître et du style renaissance qui allait bientôt régner en maître. Et cependant le gothique n'avait pas encore dit son dernier mot, car nous le trouvons bien franc et bien caractérisé dans les pinacles et pyramides des contreforts, dans les crossettes du rampant principal, dans le porche et les portes latérales, dans les· meneaux et pignons des fenêtres. »
Façade occidentale de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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La Vierge de pèlerinage.
Cette statue moderne (elle était absente en 1957) est une représentation de la statue vénérée à Rumengol lors des pèlerinages, une statue en bois du XVe siècle (photo sur Wikipédia). Cette Vierge en chêne est couronnée (couronne dorée ouverte qualifiée de "ducale"), mais l'Enfant est tête-nue. Elle porte un sceptre, et Jésus porte le globus cruciger. Le thème du couronnement de la Vierge et de sa royauté, déjà présent sur le calvaire de Rumengol, était présent dès l'origine.
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La statue est caractéristique de la statuaire bretonne du fin XVe-début du XVIe par son encolure droite (portrait d'Anne de Bretagne vers 1508), et par son voile qui ne recouvre que l'arrière des cheveux avant de faire retour derrière la nuque en bandeau ou "chouchou" tel que je l'ai étudié ici, ou encore là (Le Folgoët, XVe), ou bien aussi à Brennilis, ou sur sainte Anne à Pencran en 1553, sur sainte Marie-Madeleine au calvaire de Pencran par Bastien Prigent, sur la cariatide de La Martyre, etc...
Le 16 mai 1857, Pie IX avait accordé les honneurs du Couronnement papal à la Vierge Noire et à l’Enfant Jésus de Notre-Dame-de-Bon-Secours de Guingamp . La cérémonie avait eu lieu le 30 septembre 1858. La Vierge Noire et son Fils furent alors habillés de robes blanches et bleues.
Le même privilège avait été demandé par Mgr Sergent dès 1856 pour Rumengol. Il fut accordé à la date du 8 mai 1857 par Pie IX, le pape de l'Immaculée-Conception. Le Grand Couronnement eut lieu le 30 mai 1858. Par cette date, Rumengol peut prétendre au titre de première Vierge du Couronnement en Bretagne. La Vierge et l'Enfant reçurent un riche costume avec robe, manteau, voile, et couronne royale, fermée.
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Façade occidentale de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
La statue de Notre-Dame de Rumengol, habillée et couronnée. Photographie lavieb-aile.
La statue de Notre-Dame de Rumengol, habillée et couronnée. Photographie lavieb-aile.
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La Vierge est entourée des deux principales saintes invoquées dans les Livres d'Heures, appartenant aux Saintes Auxiliatrices : Catherine d'Alexandrie et Barbe.
Sainte Catherine d'Alexandrie
La fille du roi Costus tient l'épée de sa décapitation, et le livre signalant qu'elle est docteur de l'Église. Près d'elle, la roue brisée du supplice dont elle fut sauvée. A ses pieds, le roi ou empereur Mayence qui ordonna sa mort devant son refus de l'épouser et de renoncer à sa pieuse virginité. Elle associe la Connaissance (science théologique), la Virginité, et le Martyre. Ses cheveux longs et défaits témoignent de la virginité. Le manteau à fermoir fait repli vers la main droite. La robe est cintrée. Un collier en maillons de chaîne porte un médaillon en soleil-fleur.
Sainte Catherine. Façade occidentale de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
Sainte Catherine. Façade occidentale de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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Sainte Barbe et sa tour.
Trace de peinture rouge.
Sainte Barbe. Façade occidentale de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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II. LES GARGOUILLES.
Elles sont au nombre de six entre la tour et la chambre de cloches, et quatre plus petites entre cette chambre et la flèche.
Ce n'est pas en Bretagne qu'on donnerait tort à Viollet-le-Duc lorsqu'il écrit :
"La variété des formes donné aux gargouilles est prodigieuse ; nous n’en connaissons pas deux pareilles en France, et nos monuments du moyen âge en sont couverts. Beaucoup de ces gargouilles sont des chefs-d’œuvre de sculpture ; c’est tout un monde d’animaux et de personnages composés avec une grande énergie, vivants, taillés hardiment par des mains habiles et sûres. Ces êtres s’attachent adroitement aux larmiers, se soudent à l’architecture et donnent aux silhouettes des édifices un caractère particulier, marquant leurs points saillants, accusant les têtes des contre-forts, faisant valoir les lignes verticales."
Puisqu'on les regarde toujours le nez en l'air, de bas en haut, on méconnaît parfois la façon dont elles sont creusées à leur face supérieure :
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Mais les images suivantes le laisse deviner par le doublage en zinc moulé sur la rigole.
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Balustrade autour de la chambre des cloches. Clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
Balustrade autour de la chambre des cloches. Clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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Les six gargouilles encadrant la balustrade.
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Gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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Moine vomissant.
Un homme à la tête recouverte d'un capuchon ou d'une coule déverse les eaux de pluie par sa bouche largement ouverte.
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Gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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Homme "urinant".
Un homme à la barbe courte est accroupi. Son visage, tourné vers le coté, bouche à demi ouverte, reflète la béatitude ...ou la jouissance. Sa main droite empoigne sa jambe. La main gauche, posée sur le genou, tend l'index vers un sexe en érection. L'eau pluviale suit une rigole doublée de zinc creusée sur la face dorsale et s'écoule au dessus de la tête, mais sans orifice apparent.
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Gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
Gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
Gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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3°) Homme vomissant.
Cet homme agenouillé, tête couverte, est richement habillé, avec des manches et un pantalon court à crevés, un manteau court ou tunique dont le parement épais évoque un revers de fourrure. Il porte une barbe longue, bouclée et taillée au carré. L'embonpoint de son ventre replet, et sa braguette saillante font de lui le type de l'Intempérant, bon buveur et bon mangeur qui se soulage ici de ses excès.
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Gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
Gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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4°) Dragon chauve-souris.
Ce dragon aux oreilles et aux ailes de chauve-souris déverse sous son museau retroussé les eaux du ciel, rares sous le climat aride de notre région.
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Gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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5°) Gargouille-dragon. Écoulement au dessus de la tête.
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Gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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Les quatre gargouilles hautes.
On trouve dans ces hauteurs un lion, un ange, un monstre et un oiseau aux quatre coins de l'espace.
1°) Lion tenant entre ses pattes avant un bâton. Écoulement par la bouche.
Ce cylindre est si régulièrement retrouvé dans les crossettes que je m'interroge, sans avoir encore trouvé une réponse, sur sa signification.
Gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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2°) Un monstre tenant un écu.
Blason losangique frappé d'une croix.
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3°) Un ange. Écoulement au dessus de la tête.
Il tient un livre ouvert. Ses jambes s'étendent sur le coté de l'angle.
Ange-gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
Gargouille du clocher de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
Gargouille de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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La crossette coté nord : un cochon (ou sanglier).
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Crossette de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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LES CLOCHES.
L'indispensable abbé Billant, indique :
"Enfin, l'une des cloches (546 kilos) étant fêlée, ils la remplacèrent en 1899 par deux autres de moindre poids ( 400 kilos et 280 kilos), mais qui réalisent avec la vieille cloche un carillon des plus gracieux. "
"...M. Hervé Auffret (1810-1813), dont le nom se trouvait sur une cloche fondue en 1812 et refondue comme fêlée en 1899. "
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1°) La première cloche : Marie-Jeanne
Elle porte l'inscription que mon angle de vue décrypte partiellement ainsi :
A l'ouest :
NOMMEE MARIE JEANNE
PAR
Mr JEAN LANN MAIRE
ET
Mme FRANCOISE HOUE
Motif : En haut : frise à personnages. En bas : Assomption de la Vierge parmi les anges ; trois croix fleuronnées
A l'est :
1899
S.S LÉON XIII PAPE
M M
OLLIVIER LE PAPE RECTEUR DE RUMENGOL
JEAN LE LANN MAIRE
JEAN-MARIE GALL PRÉSIDENT
FRANCOIS GRALL TRÉSORIER
HERVE POULMARCH
JEAN-LOUIS HOUE
HERVE GOASGUEN FABRICIENS
HAVARD A VILLEDIEU Vve E LE JAMTEL
Léon XIII fut pape de [1878-1903]
Ollivier Le Pape fut recteur de Rumengol de 1895 à 1915 (il succéda à son frère Yves-Marie Le Pape, de Landivisiau, Petit-Séminaire de Saint~Pol-de-Léon, puis recteur de Rumengol de 1889 à 1895 et de 1916 à 1919. Un frère cadet, François Le Pape, était également prêtre et sera recteur de l'Hôpital-Camfrout puis du Drennec.
Jean-Marie Le Lann fut maire de Rumengol de 1878 à 1881 et de 1884 à 1902
"Jean-Marie Gall président"
"François Grall trésorier". Je note Jacques Grall, organiste à Rumengol, qui sera décoré du Mérite diocésain en 1942.
Hervé Poulmarch. La famille Poulmarc'h est signalé depuis le XVIe siècle au moins sur Rumengol. L'un d'entre eux fut maire en 1858-1860. Hervé-Marie Poulmarc'h sera maire de 1943 à 1969. Un Bernard Poulmarc'h était trésorier de la fabrique en 1864 (inscription de la chaire à prêcher)
Jean-Louis Houé. Jean-Louis Le Houé, conseiller paroissial de Rumengol, fut décoré du Mérite diocésain en 1930.
La famille Le Jamtel était fondeurs de cloche à Guingamp depuis la veille de la Révolution et ont réalisé, parmi tant d'autres, les cloches de Brasparts. Voir : http://ville-brasparts.forum-actif.net/t592-le-bapteme-des-cloches-de-brasparts. Ce sont des fondeurs qui représentaient la fonderie Cornille Havard de Villedieu-les-Poêles,et qui s'occupèrent pendant plus d'un siècle de la fabrication des cloches d'église. (par ex : La chapelle Sainte-Croix à Guingamp ; l'église Saint-Jacques de Perros-Guirec en 1926 ). Au XIXe siècle, ils montent peu à peu une entreprise de commerce de gros et de détail de fers, de fontes et quincaillerie. Bernard Le Jamtel exerce aujourd'hui cette profession de campaniste. En 1899, Émile Le Jamtel plaçait des encarts publicitaires dans chaque parution hebdomadaire de La Semaine Religieuse du Diocèse de Quimper (page 32) pour la Fonderie de cloches Adolphe Havard.
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Cloche de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
Cloche de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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2°) Deuxième cloche.
A l'ouest :
NOMMEE IMMACULEE CONCEPTION
JEAN-MICHEL
Motif : Guirlandes. Crucifix
A l'est :
R M. SERRE VICAIRE GENERAL LE 25
E CATHERINE CEVAER M LE GRAND P
Motif : Assomption de la Vierge parmi les anges ; trois croix fleuronnées
Mr Adolphe Serré ancien recteur de Roscoff, était Vicaire général du diocèse de Quimper depuis 1881 jusqu'à son décès en 1893. Mr Legrand était recteur
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Cloche de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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3°) Troisième cloche : Marie-Victorine.
J'AI ETE BENITE PAR SON EX. MGR
MARIE-VICTORINE PAR JACQUES
SON EX Mgr DUPARC EVEQUE JOSEPH BOT
Ornements: frise de losanges ; autre frise. Calvaire.
Monseigneur Duparc a été évêque de Quimper de 1908 à 1946.
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4°) Quatrième cloche : Marie-Françoise.
NOMMEE MARIE-FRANCOISE
PAR
Mr JEAN LE LANN
ET
Mme FRANCOISE HOUE
Motif : pietà et croix.
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Cloche de l'église Notre-Dame de Rumengol. Photographie lavieb-aile.
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SOURCES ET LIENS.
— BILLANT (Abbé Nicolas) Rumengol, son sanctuaire et son pèlerinage, 1924, sn. Brest, Imprimeries de la Presse Libérale.
(L'abbé Billant de Saint-Urbain fut recteur de Rumengol de 1920 à ? après avoir été recteur de l'Île Tudy.)
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/eb755cd60bfa806ccd9513f01749829c.pdf
— ABGRALL (Jean-Marie), 1904, Architecture bretonne, Quimper, Ar de Kerangal.
https://archive.org/details/architecturebre00abgrgoog
— COUFFON (René) & LE BRAS (Alfred), 1988, Diocèse de Quimper et de Léon, nouveau répertoire des églises et chapelles, Quimper, Association diocésaine, 1988, 551 p.
http://diocese-quimper.fr/images/stories/bibliotheque/pdf/pdf-Couffon/FAOURUME.pdf
— LECLERC (Guy), 1996-97, Monuments et objets d'art du Finistère (année 1996) : Le Faou, églises Notre-Dame de Rumengol et Saint-Sauveur du Faou Bulletin de la Société Archéologique du Finistère (126, p. 145-149)
— LECLERC (Guy), 2000, Monuments et objets d'art du Finistère. Etudes, découvertes, restaurations (année 2000) : Le Faou, église Notre-Dame de Rumengol, porche méridional, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère 2000, (129, p. 59-62)
— LE SEAC'H (Emmanuelle), 2014, Sculpteurs sur pierre en Basse-Bretagne. Les ateliers du XVe au XVIIe siècle. Coll. "Art et Société" Presses Universitaires de Rennes, pages 74 et 92.
— MUSSAT (André), 1957, article -Rumengol, in Société française d'archéologie. Congrés archéologique de France. CXVe Cession, 1957, Cornouaille. page 165. In-8° (23 cm), 285 p., fig., carte, plans. H. c.Orléans : M. Pillault, 37, rue du Pot-de-Fer (Nogent-le-Rotrou, impr. Daupeley-Gouverneur). Pages 161-177.
— VIOLLET-LE-DUC "Gargouilles", Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle
https://fr.wikisource.org/wiki/Dictionnaire_raisonn%C3%A9_de_l%E2%80%99architecture_fran%C3%A7aise_du_XIe_au_XVIe_si%C3%A8cle/Gargouille
— Infobretagne :
http://www.infobretagne.com/faou.htm
— Médiathèque des Monuments historiques
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/mdp_fr
— http://monumentshistoriques.free.fr/calvaires/rumengol/eglise.html
— http://www.cc-aulne-maritime.fr/patrimoine.htm
— http://nd-rumengol-quimper.cef.fr/index.php/vie-de-la-paroisse/ensemble-paroissial
— Liste des maires de Rumengol :
http://www.archives-finistere.fr/sites/default/files/maires_rumengol.pdf
A PROPOS DES CLOCHES ET DES CAMPANISTES :
http://www.bodet-campanaire.com/fr/
http://www.bodet-campanaire.com/fr/metier-du-campaniste.html
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