La Collégiale du Folgoët XIII. Le calvaire. La Pietà par l' Atelier de Bastien et Henry Prigent (1527-1577). Le Christ crucifié par le Maître de Plougastel (1570-1621). Le groupe du cardinal de Coëtivy par l'Atelier du Folgoët (vers 1449).
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Sur Le Folgoët, voir :
La Collégiale du Folgoët I. L'Autel des Anges (Kersanton, vers 1455)
La Collégiale du Folgoët II. Les anges des façades (kersanton, vers 1423-1433).
La Collégiale du Folgoët III . Le Porche des Apôtres (1423-1433).
La Collégiale Notre-Dame du Folgoët VI : les crossettes du Doyenné (ou Presbytère).
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Datation.
Si on en croit une inscription d'une pierre actuellement posée sur la pelouse de l'ancien Doyenné, et portant le texte C...E CROIX FVST FAICTE EN LA MV. XL. III "Cette croix fut faite en l'an 1443", et si on relie, comme le propose E. Le Seac'h, ce vestige au calvaire, on le date de 1443. Une reconstitution en a été proposée en 1896 par De Lorme, avec un socle hexagonal encadré de fins contreforts qui se terminaient en pinacles pyramidés, et des arcs boutants qui les reliaient au fût central. Des statues étaient disposées entre eux.
Alain de Coëtivy, identifié au personnage agenouillé et portant un chapeau de cardinal, est traditionnellement considéré comme le donateur du calvaire. Pourtant, il n'a été nommé cardinal que le 16 décembre 1446, et n'accéda au titre de Sainte-Praxède qu'en 1449.
Enfin, on peut aussi tenir compte de la note manuscrite de la page 61 de l'ouvrage de Miorcec de Kerdanet (exemplaire numérisé du diocèse de Quimper) datant ce calvaire de 1456, lors du don du reliquaire des dix-mille martyrs ramené de Rome, Alain est alors légat pontifical de Calixte III auprès de Charles VII pour préparer la nouvelle croisade et obtenir l'abrogation de la Pragmatique Sanction.
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D'autre part, Jean-Marie Guillouet écrivait en 2007 (Congr. archeol. 2009) :
"Enfin, les restes imposants du calvaire situé immédiatement au sud de l’édifice sont remarquables bien que leur attribution par la tradition au cardinal Alain de Coëtivy (identifié par la plupart des auteurs dans le clerc agenouillé aux côtés de la Vierge de Pitié) ne repose, à notre connaissance, que sur des éléments fragiles : le chapeau cardinalice porté par le personnage, la date stylistiquement assignable à l’œuvre et la présence ancienne de ses armes dans la vitre de la chapelle du Carman."
Enfin, il regroupe aujourd'hui des statues de kersanton disparates : dans l'ordre chronologique :
— Le cardinal de Coëtivy et le saint évêque : atelier du Folgoët , vers 1449.
— La Pietà : atelier de Bastien et Henry Prigent (1527-1577)
— Le Crucifié : Maître de Plougastel (1570-1621).
Il est décrit dans l'Atlas en ligne des Croix et Calvaires du Finistère initié par l'abbé Yves-Pascal Castel, sous le n° 520, avec trois croquis et les mentions suivantes (dont j'élucide les abréviations) :
520. Le Folgoët, église, granit, kersanton . 6 mètres. XVe siècle. et 1600. Massif architecturé octogonal avec banc, deux degrés et base à moulures prismatiques du calvaire du XVe siècle. Socle cubique à chanfrein, Vierge de Pitié, statue géminée mutilée, autre statue géminée: sainte femme-Marie Madeleine, groupe du cardinal de Coetivy avec son saint patron. (Alain de Coetivy, mort en 1474, tombeau dans l’église Sainte-Praxède, à Rome). Fût à écots. Croix à branches rondes, fleurons-boules, crucifix, angelot. [Yves-Pascal Castel 1980]
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1°) Le Christ crucifié. Kersanton, Maître de Plougastel (1570-1621).
Il est l'œuvre du Maître de Plougastel, auteur du fameux Calvaire de cette paroisse. Le style de ce sculpteur est caractérisé, selon E. Le Seac'h, par son hiératisme, "une note d'intériorité froide", où "la rondeur des traits imprimés aux visages donne aux sculptures une quiétude magnifiée proche de l'ataraxie de pierre".
Au Folgoët, on lui doit aussi rien de moins que la statue de la Vierge à l'Enfant qui a été élevée à la dignité du Couronnement de 1888 sous le nom de statue miraculeuse de Notre-Dame-du-Folgoët. Il a aussi sculpté le Christ aux liens placé à l'entrée dans l'intérieur du sanctuaire. Voir mon article V.
Outre les 167 personnages du calvaire monumental de Plougastel, il a réalisé une série de quatre croix et vingt-quatre petits calvaires.
On retrouve ici les caractéristiques communes à ceux-ci. La tête est fortement inclinée sur l'épaule droite, le visage est paisible, encadré par les longues mèches de cheveux ; la barbe dessine des parenthèses sous les narines et sous la lèvre inférieure, et ces courbes sont finement peignées. La couronne d'épines suit les entrelacs de deux brins tressés, mais ces brins s'hérissent de boutons en guise d'épines. Le thorax aux côtes horizontales est réduit, les flancs sont creusés, le nombril est en bouton, les bras sont lisses, sans articulation visible. Le pagne est formé de plis plats ressemblant à des bandelettes, maintenu par un nœud simple dont un pan s'échappe vers le bas sur la cuisse droite en un serpentin de volutes, et l'autre sort par dessus avant de retomber sur la face l'externe de la cuisse. Les pieds, en rotation interne, se croisent, pied droit recouvrant le gauche.
Ce qui attire l'attention, c'est la succession de gouttes de sang, en tronc de cône, géométriquement alignées le long de la face ventrale des avant-bras à partir des clous des poignets. Ce détail est d'ailleurs dessiné en croquis dans l'Atlas.
Sur le pied droit, le clou fait jaillir six gouttes concentriques, semblables à des petits pointes.
La croix est écotée, les bras s'achèvent en fleurons-boules.
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Christ crucifié, kersanton, Maître de Plougastel (1570-1621). Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
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Christ crucifié, kersanton, Maître de Plougastel (1570-1621). Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
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Christ crucifié, kersanton, Maître de Plougastel (1570-1621). Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
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2°) La Pietà ; saint Jean et une sainte Femme au pied de la Croix. Kersanton, Atelier de Bastien et Henry Prigent (1527-1577).
Un détail vite remarqué est caractéristique de cet atelier établi à Landerneau pour bénéficier du transport du kersanton depuis ses sites d'extraction par voie maritime sur l'Elorn. Ce sont les grosses larmes qui s'écoule des yeux des trois personnages au pied de la croix : la Vierge, Jean l'évangéliste, et une Sainte Femme. Certes, ici, la tête de Jean est perdue, mais d'autres détails stylistiques incitent à lui attribuer ces émouvants écoulements lacrymaux.
J'ai déjà décrit ce détail dans ma description du calvaire de Dinéault et de la Pietà de Saint-Nic.
Voir aussi d'autres œuvres de Bastien ou Henry Prigent:
La statue de saint Fiacre sur la chapelle Sainte Nonne de Dirinon.
Le porche de l'église de Landivisiau III. Les apôtres et leur dais. Henry Prigent 1554-1565.
Le porche de l'église de Landivisiau IV. Le bénitier, l'ange au goupillon.
Les sculptures extérieures du porche de l'église de Landivisiau.
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Au Folgoët, l'Atelier Prigent a sculpté le groupe (dissocié) de saint Yves entre le Riche et le Pauvre de l'angle sud-ouest de la façade, ainsi que le Christ aux liens, et les deux Vierges à l'Enfant de la façade sud : ces œuvres sont décrites dans mon article La Collégiale du Folgoët V : les statues.
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La Pietà. Kersanton, Atelier de Bastien et Henry Prigent (1527-1577).. Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
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La Vierge, visage recouvert par un voile-manteau et cerné par la guimpe, a les yeux baissés ; ses traits sont plus recueillis sous l'effet d'un chagrin intériorisé que bouleversés. La robe, lisse sur la poitrine, se plisse ensuite de sobres plis verticaux convergents vers la taille et sous le genou droit avant de tracer une volute plus tourmentée cachant le pied gauche. Marie soutient son Fils sous les épaules, alors que la main gauche saisit l'avant-bras gauche. Le bras droit du Christ pend, vertical, exposant la plaie dde la paume.
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La Pietà. Kersanton, Atelier de Bastien et Henry Prigent (1527-1577). Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
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La Pietà. Kersanton, Atelier de Bastien et Henry Prigent (1527-1577). Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
La Pietà. Kersanton, Atelier de Bastien et Henry Prigent (1527-1577). Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
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Saint Jean l'évangéliste.
Puisque la tête du saint n'a pas été retrouvée, nous suivons plus attentivement le drapé et les détails vestimentaires ; la fente pectorale boutonnée tracée avec un soin presque gourmand par le sculpteur évoque celle des tuniques ou robes des apôtres du porche de Landivisiau .
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La Ceinture oppose sa ligne horizontale au tuyautage de la robe, tandis que le pan gauche du manteau se casse en une succession de plis en becs pour s'accrocher à la taille, et que le pan droit trace d'autres rythmes et d'autres mélodies au dessus de la manche bouffante.
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Saint Jean. Kersanton, Atelier de Bastien et Henry Prigent (1527-1577). Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
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Sainte Femme au pied de la Croix.
Mêmes manches bouffantes, même pan faisant retour vers la ceinture. Le voile coqué et la guimpe découpe une fenêtre en hublot pour un visage aux yeux caves, comme à Saint-Nic. Le pli de l'encolure est le même que celui de la Pietà.
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Sainte Femme au pied de la Croix.. Kersanton, Atelier de Bastien et Henry Prigent (1527-1577). Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
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Le groupe du cardinal de Coëtivy et du saint évêque. Atelier du Folgoët (vers 1449 ?)
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Le cardinal de Coëtivy, surnommé "le cardinal d'Avignon", a été un personnage de premier plan pour le duché et pour les relations entre le pape et la royauté. Né le 20 novembre 1407 au château de Coët-Lestremeur en Plounéventer, à 13 km au sud-est du Folgoët, il fut abbé de Redon, évêque de Dol et de Cornouaille et évêque d'Avignon en 1437 puis évêque d'Uzés de 1442 à 1447. Conseiller du roi Charles VII en 1440, il a été créé cardinal in petto par le pape Eugène IV, et confirmé par Nicolas V en janvier 1447, puis il reçu le titre de cardinal de Sainte-Praxède le 20 décembre 1448. Après avoir obtenu du pape en 1455 la création de la paroisse de Saint-Yves-aux-Bretons à Rome, il a joué un grand rôle dans la canonisation le 29 juin 1455 de saint Vincent Ferrier (1350-1419), ce dominicain espagnol qui vint prêcher en Bretagne à la demande du duc Jean V en 1418. C'est le cardinal qui confirma, comme légat du pape Callixte III, la canonisation de Vincent Ferrier en juin 1456 en faisant, à Vannes, l'élévation du corps (recueil des reliques dans un reliquaire).
La statue représente le cardinal agenouillé sur un coussin à glands, les mains jointes, un bâton ( de pèlerin ? pastoral, à la crosse brisée ?) sous le bras gauche. Il porte une tunique serrée aux poignets par six boutons ronds, et recouverte par un long mantelet sans manches formant une traîne derrière lui, comme la cappa magna. Un chapeau rond à fond plat est maintenu derrière la tête par une forte cordelière qui vient dessiner un huit autour des coulisseaux : c'est le galero, le chapeau de cardinal muni de ses cordons à houppe. Il est coiffé comme un moine avec une tonsure coronale. Les yeux en amande donnent l'impression que le religieux regarde vers le ciel. Les commissures des lèvres suivent la même direction. Le nez est large et épaté." (E. Le Seach p. 94)
Derrière lui, sur la face nord (voilà pourquoi on oublie de le photographier), un évêque est debout, relevant le manteau du cardinal d'une main et tenant sa crosse de l'autre. "Il porte une tunique longue dont l'amict est à col montant. Les plis de sa tunique se drapent en V et donnent au tissu une apparence de lourdeur et de richesse de l'étoffe. La tête est coiffée d'une mitre. Les yeux sont ourlés. Il s'agit probablement de saint Alain, patron du donateur et évêque de Cornouaille." (E. Le Seach p. 94). D'autres y voient Allain de la Rue, évêque du Léon qui a consacré l'église en 1419.
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Le cardinal de Coëtivy , Kersanton, Atelier du Folgoët (vers 1449). Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
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Le cardinal de Coëtivy , Kersanton, Atelier du Folgoët (vers 1449). Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
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Le cardinal de Coëtivy , Kersanton, Atelier du Folgoët (vers 1449). Calvaire de la basilique du Folgoët. Photographie lavieb-aile mai 2017.
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SOURCES ET LIENS.
— ABGRALL (Jean-Marie)
https://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/1dff008d90abab0badb8551ddb7a4c06.pdf
— ABGRALL (Jean-Marie), 1896, Le Folgoët (Finistère), « Livre d’or des églises de Bretagne », Rennes,
— COËTLOGON (Marquis de), 1851, Dessins, histoire et description de l’église de Notre-Dame du Fologët, Brest, 1851
— COUFFON (René), LE BARS (Alfred), 1988, Répertoire des églises : paroisse de LESNEVEN. Notice extraite de : Diocèse de Quimper et Léon, nouveau répertoire des églises et chapelles, par René Couffon, Alfred Le Bars, Quimper, Association diocésaine, 1988.
https://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/c07f91a4317a870c35de08f576183805.pdf
— COUFFON (René), LE BARS (Alfred), 1988, Répertoire des églises : paroisse de LE FOLGOET. Notice extraite de : Diocèse de Quimper et Léon, nouveau répertoire des églises et chapelles, par René Couffon, Alfred Le Bars, Quimper, Association diocésaine, 1988.
http://diocese-quimper.fr/images/stories/bibliotheque/pdf/pdf-Couffon/FOLGOET.pdf
— COUFFON (René), 1948, « À quelle époque convient-il de dater l’église actuelle de Notre-Dame du Folgoët ? », Nouvelle revue de Bretagne, 5, 1948.
— GUILLERMIT (Augustin),1922 Le Folgoat Monographie paroissiale. ed. A. Lajat (Morlaix)
https://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/8c56e3a44e19df315b7cd0de70f0f172.pdf
— GUILLOUET (Jean-Marie), 2009, Le Folgoët, collégiale Notre-Dame, Congrés archéologique de France (2007), Finistère. 165, pp.166-176.
https://hal.archives-ouvertes.fr/halshs-00557740/document
— JOB AN IRIEN 1989, A la recherche de la vérité sur Notre Dame du Folgoët = Itron Varia ar Folgoet. Ed Minihi Levenez (Landerneau) 24 p.: ill.; 25 cm.
— LE SEAC'H (Emmanuelle), 2014, Sculpteurs sur pierre en Basse-Bretagne, les ateliers du XVe au XVIIe siècle , 1 vol. (407 p.) - 1 disque optique numérique (CD-ROM) : ill. en coul. ; 29 cm ; coul. ; 12 cm . Note : Index. - Notes bibliogr., bibliogr. p. 373-395 Rennes : Presses universitaires de Rennes , 2014 Éditeur scientifique : Jean-Yves Éveillard, Dominique Le Page, François Roudaut. Pages 95-100.
— LÉCUREUX ,1914, « Le Folgoët. Église collégiale. 3ème excursion », dans Congr. arch. de France. Brest et Vannes, 1914, p. 99-110.
— LORME (A. de ), 1896, « L’art breton et l’église du Folgoat », dans Congr. arch. de France . Brest, 1898, p. 218-236.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k356651/f290.item
— MIORCEC DE KERDANET ( Daniel), 1853, Nouvelle notice sur N.-D. du Folgoët et sur ses environs, J.-B. Lefournier (Brest), 144 p.; 22 cm.
https://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/33e093346604e23fe86b2fdaa39ca374.pdf
— INFOBRETAGNE :
http://www.infobretagne.com/folgoet.htm
http://www.infobretagne.com/folgoet-basilique.htm
— LES AMIS DU FOLGOËT.
http://les-amis-du-folgoet.pagesperso-orange.fr/Basilique.htm
— monumentshistoriques.free.fr
http://monumentshistoriques.free.fr/cathedrales/folgoet/descriptif.html