Quelques azulejos du Salon de Charles Quint et de la chapelle de l'Alcazar royal de Séville par Cristobal de Augusta en 1577-1578. Première partie.
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Ce premier article servira d'introduction à la Deuxième partie qui étudiera le motif du hibou harcelé par les oiseaux. Je n'en dis pas plus !
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Voir les autres articles sur Séville :
– Au Musée des Beaux-Arts de Séville :
Autres articles :
Petite iconographie de Saint Christophe à Séville. II : La cathédrale.
- NICOLAS DE MALAPERT, AMI DE JORIS HOEFNAGEL A SÉVILLE. ÉLÉMENTS BIOGRAPHIQUES.Les vues de Séville par Hoefnagel : Volume V du Civitates, 1598.
Vues de Séville dans le Civitates orbis terrarum, II : le volume IV.
Les vues de Séville par Joris Hoefnagel dans le Civitates orbis terrarum (1572). Le volume I.
La Vue de Séville du volume V du Civitates orbis terrarum (1598) : généralités.
Hoefnagel et la naissance de la tauromachie à Séville. La Vue de Séville de 1598. La Vue de Séville de 1598 dans le volume V du Civitates orbis terrarum.
Turris fortissima nomen Domini : les quatre faces de la Giralda de Séville. (vers 1560)
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PRÉSENTATION.
Le palais Gothique de l'Alcazar, édifié par Alphonse X (1252-1284) fut réaménagé par Charles Quint, qui conserva les voûtes rythmées d'ogives du rez-de-chaussée tout en faisant percer les mûrs de larges baies. Il comporte la Chapelle, la salle des Célébrations, et la salle des Tapisseries.
Le soubassement des murs a été décoré de carreaux de faïences ou azulejos de style Renaissance réalisés pour les plus remarquables ont été réalisés vers 1577-1578 par le céramiste sicilien (ou né à Estella, Navarre) Cristóbal de Augusta pendant le règne de Philippe II, sur une surface de 589 mètres carrés dans la Salle des Célébrations (ou salle des Voûtes, salle des Fêtes, Hall de Charles V) et de la Chapelle. L’œuvre rend hommage à Charles Quint et son épouse Isabelle de Portugal, dont le banquet des noces se déroula très probablement ici le 10 mars 1526.
Ces carreaux de céramique stannifère ont été considérés comme les plus importants du genre existant en Espagne, associant un décor de fleurs , d' oiseaux, d'animaux fantastiques et de masques. Ils sont en partie attribués à Cristóbal de Augusta, d'une part car Augusta apparaît fréquemment dans les dépenses du Palais comme « maître de la fabrication et des tuiles de fabrication Pisane » (dans un document de date du 9 Mars 1577, il engage à ne pas à effectuer d'autres travaux pendant la période des travaux), mais aussi car certains panneaux de personnages mythologiques ou allégoriques portent les signatures AVGSTA, AVS, dont il ne reste parfois que le A.
Je n'aurai pas la prétention de montrer l'ensemble des panneaux, et j'emprunte au site Wikipédia les photos attribuables à ANUAL qui donnent une idée de leur superficie :
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La "Salle des Voûtes (Sala de las Bóvedas ) ou plutôt Salle des Tapisseries:
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Anual - image sur Wikipédia https://es.wikipedia.org/wiki/Cer%C3%A1mica_sevillana
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Néanmoins, comme les panneaux sont répétés plusieurs fois, quelques images suffiront à rendre compte d'une bonne part de l'ensemble. On pourra consulter le lien http://www.retabloceramico.net/bio_augustacritobalde.htm pour la biographie de Cristóbal de Augusta et des clichés complémentaires.
Description.
Les murs sont recouverts jusqu’à mi-hauteur par de très beaux azulejos bleu et verts sur fond jaune d’or, formés d’arabesques végétales et des animaux qui se terminent parfois par des figures fantastiques. Ce type de motifs, appelé grotesques, très à la mode durant la Renaissance, s’inspiraient en grande partie de peintures décoratives de la Maison Dorée de Néron qui fut découverte à Rome à la fin du 15ème siècle et qu’elle était à moitié enterrée, ressemblant à une grotte. D’où le nom de "grotesque".
Brève histoire de la céramique Renaissance à Séville.
La production de céramique à Séville a été très variée, localisée depuis l' époque romaine dans le quartier de Triana, et consolidée au cours de la période musulmane. Jusque-là, les carreaux hispano-mauresques étaient recoupés, les couleurs vives étaient appliquées en à-plats pour chaque pièce d'un puzzle constituant le carreau, formant des motifs géométriques non figuratifs. Au début de la Renaissance , à la fin du XVe siècle, et sous l'influence de la majolique italienne, se produisent des changements fondamentaux pour l'évolution de l'azulejo. Les faïenciers — la ville de Faenza, centre de production important, donnant le mot « faïence » en français — utilisèrent alors une glaçure, c’est-à-dire une sorte de pâte à base d’étain, qui leur permettait de peindre comme sur un tableau des motifs de différentes couleurs sur des plats ou vases de terre cuite émaillés, puis sur des carreaux avec des décors colorés très élaborés : rinceaux, personnages, grotesques. La palette de bleu, jaune clair, jaune foncé, vert, brun, blanc, noir, violet est déclinée en introduisant les dégradés. On passe ainsi d'une production artisanale, basée sur une répétition quasi-industrielle, à une création artistique, produisant de grands panneaux décorés, présentant des scènes figuratives et narratives trouvant leur sources érudites dans les recueils de gravures et les œuvres picturales. Ainsi, il a été montré que La Grande Prostituée, panneau de carreaux de faïence de Cristobal de Augusta. Séville, circa 1575 au monastère de la Mère de Dieu de Séville s'inspire de La Grande Prostituée, trouvée dans Figures du Nouveau Testament, publié à Lyon par Jean de Tournes en 1554.
Il vint alors à Séville plusieurs potiers étrangers, sans-doute attirés par le prestige et la richesse dont bénéficiait la ville depuis la découverte de l'Amérique, qui y enseignaient le nouvel art céramique, dont l' un des plus importants fut l'artiste italien Francisco Niculoso Pisano ( Pise , XVe siècle - Séville , 1529) qui s'installa dans la ville vers 1498. On lui doit l'introduction en Espagne des décors de grotesques récemment popularisés par Raphaël. Plusieurs de ses œuvres sont toujours en place, tels le retable de la chapelle de l'Alcazar de Séville (1504).
Cristobal de Augusta,(actif de 1569 à 84), né à Estella (Navarre), était depuis 1569 le gendre du faïencier Roque Hernandez. Il se révéla comme le grand peintre en azulejos.
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I. PANNEAU AUX FONTAINES ET AUX CERFS.
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On le rencontre sur le mur à gauche de l'autel de la Chapelle, et dans la Salle des Célébrations. Il est encadré par des vases encadrés par deux lapins. Deux frises supérieures et inférieures font courir des alternances de putti, de masques et d'oiseaux en haut, et de rinceaux en bas. La bande la plus haute est ornée de couronnes royales parmi des arabesques.
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Panneau à la fontaine aux cerfs par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Salon de Charles Quint de l'Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Les encadrements.
Vase au masque et aux lapins.
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Panneau à la fontaine aux cerfs par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Salon de Charles Quint de l'Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Panneau à la fontaine aux cerfs par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Salon de Charles Quint de l'Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Frise de putti menacés par des serpents.
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Panneau à la fontaine aux cerfs par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Salon de Charles Quint de l'Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Lion couronné tenant dans sa gueule des tiges florales.
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Panneau à la fontaine aux cerfs par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Salon de Charles Quint de l'Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Le même panneau aux cerfs dans la Chapelle.
Profitons-en pour le décrire. Au centre, un entrelacs bleu renferme deux oiseaux picorant de leur bec acéré le mamelon d'un buste ailé.
Cette arabesque bleue forme plus haut un trépied qui reçoit un couple de chimères, dont le nez est mordu par des oiseaux.
Chaque chimère tient un ruban auquel pend un bouquet floral dans un vase. Deux lapins (des lièvres si vous voulez) tiennent les rubans inférieurs.
Une fontaine laisse écouler l'eau des deux étages de ses jets dans sa vasque, gardée par deux cerfs couchés, aux bois généreux.
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Panneau à la fontaine aux cerfs par Cristobal de Augusta en 1577-1578, chapelle de l'Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Panneau à la fontaine aux cerfs par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Même dessin ailleurs, avec des couleurs différentes (cerfs, lapins) :
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Panneau à la fontaine aux cerfs par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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La fontaine aux cerfs.
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Panneau à la fontaine aux cerfs par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Le buste picoré par les oiseaux.
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Panneau à la fontaine aux cerfs par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Panneau à la fontaine aux cerfs par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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II. PANNEAU AUX HIBOUS, PERROQUETS ET HÉRONS.
1. Encadrements.
Les encadrements supérieurs et latéraux sont les mêmes que précédemment. En bas, une frise oppose un griffon à la langue en fer de lance et un lion mordant un serpent. Entre les queues enchaînées des lions se lit la date 1577.
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Frise inférieure, Panneau aux chouettes, escargots, perroquets et hérons par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015. Emprunt au site https://www.bluffton.edu/homepages/facstaff/sullivanm/spain/seville/alcazar/alcazar9.html
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Sur ce panneau, l'artiste a représenté :
– dans le registre supérieur deux hibous dont les yeux jaunes sont menacés par le bec pointu de deux oiseaux dont un échassier. Puis viennent en dessous deux lampes à huile attirant des libellules.
– dans le registre médian, deux escargots grimpent sur les arabesques des rinceaux. Deux "perroquets" à bec plat (peut-être des canards souchets, mais l'exactitude naturaliste n'est pas de mise ici) saisissent la tige terminale d'une guirlande de fruits.
– dans le registre inférieur, deux hérons prennent leur déjeuner sous la forme d'un poisson (ou serpent) ailé.
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Panneau aux hibous, escargots, perroquets et hérons par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Le registre supérieur : les deux hibous harcelés.
Je rappelle que ce motif sera étudié dans la deuxième partie de mon article.
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Panneau aux hibous, escargots, perroquets et hérons par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Le registre médian et le registre inférieur. Escargots, "perroquets" et hérons gourmands.
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Panneau aux hibous, escargots, perroquets et hérons par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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III. PANNEAU AUX RINCEAUX ET ENTRELACS.
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IV. PANNEAU AUX MÉDAILLONS ROYAUX.
Ces médaillons représentent sur fond bleu les profils de Charles Quint et de son épouse, Isabelle du Portugal.
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Panneau aux médaillons de Charles Quint et d'Isabelle du Portugal, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
médaillon d'Isabelle du Portugal, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
Médaillon de Charles Quint par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Bandeau emblématique.
Dans le bandeau supérieur, nous pouvons observer les blasons de Charles Quint en alternance : c’est-à-dire les 2 colonnes d’Hercule avec la devise PLVS VLTRA « plus oultre », les armes de Bourgogne bandé d'or et d'azur, bordé de gueules, et les armes de la maison d'Aragon d'or aux quatre pals de gueules .
Devise PLVS VLTRA « plus oultre », armes de Bourgogne et armes de la maison d'Aragon, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Ailleurs, on trouve le blason de la Castille et du Léon avec le lion, celui de la Navarre avec les chaînes).
Les écus sont présentés par deux femmes, l'une tenant une épée et l'autre un pichet d'étain. Le collier de la Toison d'or, aux maillons en forme de briquets, entoure les écus.
Ecu aux armes du Léon par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Devise PLVS VLTRA entre les Colonnes d'Hercule (détroit de Gibraltar).
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Devise PLVS VLTRA entre les Colonnes d'Hercule par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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V. LES PANNEAUX LATÉRAUX À PERSONNAGES MYTHOLOGIQUES ET ALLÉGORIQUES.
De nombreux panneaux sont encadrés par des éléments verticaux représentant des personnages ; certains portent des noms, des dates, ou la signature d'Augusta.
1°) Protée : PROTEO.
Protée, divinité marine assujetti à Poseïdon (Neptune), est connu comme un vieillard prophétique, ou pour sa capacité d'adopter toutes les formes possibles. Il est décrit ainsi par Ovide dans le Livre VIII des Métamorphoses :
«Il est des corps qui, métamorphosés une fois, conservent à jamais leur nouvelle forme ; mais il en est d'autres qui ont reçu du ciel le privilège de se transformer à leur gré. C'est le vôtre, divin Protée, habitant de la mer dont les bras entourent le monde : on vous a vu prendre tantôt la forme d'un jeune homme, tantôt celle d'un lion ou d'un sanglier furieux ; on vous a vu couvert de la peau d'un serpent qu'on aurait eu horreur de toucher, ou bien, armé des cornes d'un taureau ; vous devenez tour à tour arbre et rocher ; tantôt, empruntant la liquide transparence des eaux, vous vous changez en fleuve, et tantôt vous êtes la flamme ennemie de l'onde."
L'artiste le peint ici avec un visage barbu, des bras en trompes cornues, le buste musclé vêtu d'une cuirasse romaine, et les jambes comme deux serpents ou monstres marins écailleux, dotés d'ailes ou nageoires épineuses.
Il pourrait résumer le monde baroque, fait de chimères et d'impermanence des formes ou des points de vue.
Le dessin peut trouver l'une de ses sources dans les Emblemata d'Alciat (1551) page 196 (édition lyonnaise par Mathias Bonhomme) dont la gravure est accompagnée de l'épigramme suivant:
"Vieillard de Pallène, ô Protée, à l'air histrionique / Qui a tantôt corps d'homme et tantôt d'animal / Dis-moi quel raison te fait prendre tous les aspects / Et tant varier que tu n'as pas forme assurée ? / — J'exhibe de l'antique et du premier âge les signes / Sur quoi chacun rêve selon sa fantaisie"
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Protée, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Protée, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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2°) Metra, METRA.
Ce personnage a parfois été identifié comme le dieu Mithra, mais ce n'est autre que Metra, fille d'Érysichthon. Pour s'en convaincre, il suffit d'apprendre que sa légende est décrite par Ovide dans le Livre VIII des Métamorphoses juste après le passage consacré à Protée. Et e comprendre que cette Metra est elle aussi, comme Protée, capable de se transformer en diverses formes pour tenter d'échapper à la voracité insatiable de son père.
Le personnage peint ici n'a guère de traits féminins, et se présente plutôt comme une version juvénile de Protée ; seule la tête diffère, mais le buste et le corps anguilliforme sont identiques au panneau ci-dessus.
L'artiste, ou son commanditaire, a donc représenté deux sortes d'allégories de l'insaisissable et du mouvant.
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Metra, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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3°) Autres figures analogues (avatars des deux précédents ?).
D'autres panneaux représentent le sosie de Metra, mais sans la nommer. L'un d'entre eux porte la date de 1578.
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Metra, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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4°) Pensée et Imagination.
Deux autres panneaux représentent Pensamiento, la Pensée, et Imaginacio, l'Imagination. Il est évident que l'association de ces deux entités complète parfaitement, par le champ des métamorphoses du mental et des images, les deux divinités de Protée et de Metra.
a) Pensamiento (la Pensée).
Pensamiento est une figure engainée et ailée, barbue, âgée, dont la main désigne un panier plein de boules rondes et blanches (pièces ? œufs ?).
Chronogramme 1578.
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Pensamiento, photo Anual sur Wikimédia https://es.wikipedia.org/wiki/Cer%C3%A1mica_sevillana#/media/File:Azulejos_001.jpg
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b) Imaginacion.
Il s'agit encore d'une figure engainée, mais ici féminine, souriante, dont les bras ornés de bracelets sont croisés sur le ventre. Le chronogramme est aussi de 1578.
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Imaginacion, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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5°) Autres personnages.
Nous avons encore affaire à des gaines ou termes. Le premier est assez identique à Pensamiento.
Pensamiento ? par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Autre figure engainée, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Autre figure engainée, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Autre figure engainée, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Autre figure engainée, par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Pomone ? par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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VI. CINQ AUTRES PETITS DÉTAILS.
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Azulejos par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Azulejos par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Azulejos par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Azulejos par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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Azulejos par Cristobal de Augusta en 1577-1578, Alcazar royal de Séville . Photographie lavieb-aile 2015.
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SOURCES ET LIENS.
http://azulejos.fr/
— PLEGUEZUELO (Alfonso), 2013, « Un palacio de azulejos », Apuntes del Alcázar, no 14, 2013, p. 216-232 (ISSN 1578-0619)
— BOS, (Cornelis et Metsys) (1506?-1556) : gravures de style grotesque :
http://bibliotheque-numerique.inha.fr/collection/item/19126-redirection