La charpente sculptée de l'église de Saint-Divy ( Finistère) par le Maître de Pleyben (vers 1570-1580) : sablières, blochets, et clefs de voûte.
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Voir aussi :
— Sur la production du Maître de Pleyben :
- La charpente sculptée de la chapelle seigneuriale du château de Kerjean (Saint-Vougay, Finistère) par le Maître de Pleyben (vers 1570-1580) : sablières, blochets, entraits et clefs de voûte.
- Les six Sibylles de la chapelle seigneuriale du château de Kerjean (Saint-Vougay, Finistère) par le Maître de Pleyben (vers 1570-1580).
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— Et sur les sablières bretonnes :
Les sablières, entraits et poinçons de l'église Notre-Dame et Saint-Michel de Quimperlé.
Sablières, inscriptions et pardon de la chapelle Saint-Sébastien au Faouët (56).
L'enclos paroissial de Dirinon V. Les sablières (1623), les blochets et poinçons.
L'intérieur de l'oratoire Notre-Dame de l'abbaye de Daoulas.
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Vers 1580, un sculpteur anonyme, désigné aujourd'hui sous le nom de convention de "Maître de Pleyben", réalisa les sculptures de la charpente de la chapelle du château de Kerjean, en Saint-Vougay, à 30 km au sud-ouest de Saint-Divy, à la demande de Louis Barbier, seigneur de Kerjean. Un véritable chef-d'œuvre, influencé par l'École de Fontainebleau qui avait introduit vers 1535 le motif décoratif du cuir découpé à enroulement, et par la diffusion du style de la Seconde Renaissance française dans des recueils de gravures : le prospère Léon était largement ouvert à l'Europe par ses ports de Landerneau, Morlaix et Roscoff.
Cet artiste a reçu ce nom car on lui attribue aussi une partie des sablières de l'église de Pleyben vers 1564 et 1571. On reconnaît aussi son style sur la charpente de la chapelle de Sainte-Marie du Ménez-Hom en Plomodiern.
Son style ? On le distingue à ces cuirs découpés à enroulements, car il faufile dans les découpes des linges et des cordages dont il confie les extrémités à des anges ou autres personnages. Ses anges aussi sont caractéristiques, avec une coiffure faite de mèches rondes cerclant la périphérie du visage, et avec une tunique aux plis prononcés, bouffante à la taille en formant une ligne sinueuse, avant de s'évaser vers les pieds avec une grande liberté. Ajoutons que les manches de ses tuniques s 'évasent en larges couronnes au dessus des coudes, qui sont globuleux. Ses personnages en pieds (Évangélistes ou Sibylles, notamment) ont en commun un visage fin, ovale, avec des nez longs et fins, de grands yeux aux pupilles en creux, des bouches fines, des manches bouffantes, ou, pour les femmes, des bandeaux de cheveux.
Mais ce sont surtout ses motifs iconographiques qui se répètent en tableaux stéréotypés : mascarons zoomorphes ou anthropomorphes sur le plan profane, guirlandes et frises à petits pois, musiciens, et, sur le plan religieux, des thèmes plus christiques que mariaux : Sainte Face, Tunique du Christ, Plaies du Christ, Instruments de la Passion, Rencontre de la Samaritaine.
Aussi ai-je pris mon bâton de pèlerin pour, quittant Kerjean, me rendre à Saint-Divy. J'ai d'abord été rebuté par le fait que ces sablières étaient badigeonnées d'une couche uniforme de peinture couleur chocolat qui les desservaient fort. En outre, il n'y en avait que trois.
J'ai fait néanmoins de belles découvertes, et j'ai pu surmonter mon indigestion de chocolat.
L'église date dans sa majeure partie du XVIe siècle (1501-1531) et l'ancien ossuaire portait la date de 1506. La maîtresse-vitre date de 1531, la statue de Saint Divy de 1533. C'est un édifice comprenant une nef de trois travées avec bas-coté du coté nord, et de quatre travées avec bas-coté au sud, un transept et un chœur à chevet droit. Sa voûte est lambrissée, et peinte, dans le chœur, d'un cycle dédié à la vie du saint patron.
Sophie Duhem estime que les sablières datent de la seconde moitiè du XVIe siècle, ou même (page 145) qu'elles seraient contemporaines de Kerjean et de Sainte-Marie du Ménez-Hom, vers 1580.
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I. LES NEUF BLOCHETS.
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Les blochets sud.
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1. Le joueur de cornemuse.
Il est décrit sur le site de Catherine et Jean-Luc Matte avec deux excellents clichés de Joël Lubin :
"Sc/bois : blochet à l'extrême ouest de la sablière sud. Ce blochet n'est, cependant, plus relié à une sablière. Celle qui devait le jouxter semble avoir disparu. Personnage "'assis-debout", c'est à dire le séant appuyé sur un support relativement haut et donc jambes presque tendues. Il tient les mains posées sur le tuyau mélodique de sa cornemuse, tête tournée vers sa droite. On distingue nettement les doigts de la main gauche, tandis que la main droite (en partie manquante ?) est réduite à la forme d'une moufle. Il est coiffé d'une sorte de bonnet. [...]
Sans bourdon ou bourdon d'épaule manquant tout comme le porte-vent dont il ne reste que le trou dans lequel la pièce de bois le représentant devait venir se ficher, sur le dessus du sac. Tuyau mélodique presque entièrement caché par les mains. Sac à gros col de cygne."
On le comparera aux sonneurs de cornemuse des clefs de voûte de Pleyben et de Kerjean, par le même atelier.
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Sonneur de cornemuse, blochet du bas-coté sud, Maître de Pleyben, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Sonneur de cornemuse, blochet du bas-coté sud, Maître de Pleyben, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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2. Ange au geste gracieux, présentant une banderole. Angle droit de la première lucarne.
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Ange, blochet du bas-coté sud, Maître de Pleyben, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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C'est sur de tels exemples qu'on peut évaluer toute la maîtrise du sculpteur de Kerjean et Pleyben, et retrouver les caractères de son style. Par exemple, des sept mèches de cheveux enroulées en escargots autour de sa tête, un nombre qui sera retrouvé avec constance sur les autres exemples que nous allons découvrir.
Ou par exemple le nez, long, fin et aux bords parallèles avant de s'élargir en deux narines charnues, formant l'image d'un bulbe bilobé d'où s'élève une tige. Une fois mémorisé, il nous apparaîtra telle une signature évidente, comme le nez au milieu du visage.
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Ange, blochet du bas-coté sud, Maître de Pleyben, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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3. Personnage âgé présentant une banderole. Angle gauche de la première lucarne.
Un Prophète ? Un évangéliste ?
Notez l'évasement en cloche des manches retroussées.
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Prophète ?, blochet du bas-coté sud, Maître de Pleyben, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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4. Un évangéliste tenant son encrier et une banderole, devant un pupitre armorié. Angle droit de la seconde lucarne.
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On retrouve l'évasement en cloche des manches, ici au dessus des poignets.
Évangéliste, quatrième blochet du bas-coté sud, Maître de Pleyben, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Les armoiries : ce sont les mêmes que celles que nous trouverons présentées par l'ange du voûtain, mi-parti Mesgral et Penfentenyo. Soit, la branche de la famille Penfentenyo de Mesgral, qui débute avec Guyomarc'h de Penfentenyo, fils de Jean IV de Penfentenyo et de Amette de Coetquis de Kerneguez.
Les armoiries associent en effet à droite les armes de la famille de Penfentenyo : burelé de dix pièces de gueules et d'argent, en haut à gauche trois heures de sanglier et en bas à gauche un fretté, évoquant les armes des seigneurs de Mesgral, : écartelé aux 1 et 4 d'azur fretté d'argent qui est Kerguern, aux 2 et 3 d'argent à trois hures de sanglier (Courtois).
Penfentenyo est Sr. de Mesgral : Mesgral est le nom du manoir de La Haye à Saint-Divy (reconstruit par Sébastien de Penfentenyo au XVIIe). https://www.saint-divy.fr/manoir.html
Ce qui serait amusant, c'est de voir dans ces armoiries un lien avec le château de Kerjean construit par Louis Barbier né vers 1525 et décédé en 1595. Car la sœur de ce dernier, Perrine Barbier, épousa en 1538 l'écuyer Jean V de Penfentenyo, Sr de Kermorus. Frère ainé de Guyomarch, fondateur de la branche de Mesgral. Ce sera peut-être plus simple sur l'arbre généalogique de Jean-Claude Bourgeois.
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Armoiries, quatrième blochet du bas-coté sud, Maître de Pleyben (vers 1580), nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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5. Ange tenant la couronne d'épines. Angle gauche de la deuxième lucarne.
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Nous allons retrouver la couronne d'épines, l'une des Arma Christi, sur la première sablière, puis sous la forme de la Sainte-Face, mais le thème est cher au Maître de Pleyben (ou à ses commanditaires), puisqu'on le retrouve sur ses différents chantiers.
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Ange tenant la couronne d'épines, cinquième blochet du bas-coté sud, Maître de Pleyben (vers 1580), nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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6. Ange tenant le marteau et les clous de la Passion. Angle droit de la troisième lucarne.
Cet ange complète le précédent, avec lequel il forme un ensemble de part et d'autre de la très courte troisième sablière : le marteau et les clous, comme la couronne d'épines, font partie des Instruments de la Passion.
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Ange tenant le marteau et les clous de la Passion, sixième blochet du bas-coté sud, Maître de Pleyben (vers 1580), nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Les trois blochets nord.
Ils sont de facture plus grossière, et sont d'une autre main que les six blochets sud. .
7. Personnage. Bas-coté nord de la nef.
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8. Lion tenant une banderole. Bas-coté nord de la nef.
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9. Saint François présentant ses stigmates. Angle nord-ouest de l'église.
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II. LES CLEFS DU VOÛTAIN DE LA PREMIÈRE LUCARNE SUD : TROIS ANGES.
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Vue générale.
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Voûtain de la première lucarne sud, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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1. Ange bras croisés. Bois peint, trace de peinture bleue.
Notez la chevelure répartie en sept coquilles radiantes, que l'on retrouve aussi un siècle auparavant comme trait stylistique de Maître du Folgoët en sculpture sur pierre. Ou le col de tunique formant un joli repli. Toujours le nez en bulbe, les manches retroussées. Des lèvres bien épaisses.
On retrouve un ange identique sur les abouts de poinçon de la chapelle de Kerjean.
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Voûtain de la première lucarne sud, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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2. Ange tenant son écu comme un accordéon.
On retrouve les six choux à la crème autour du visage, les manches retroussées et évasées, un col rond au ras du cou, .
Voûtain de la première lucarne sud, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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L'écu montre à nouveau les armoiries Mesgral / Penfentenyo déjà observées sur le quatrième blochet sud.
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Deuxième ange, Voûtain de la première lucarne sud, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Armoiries Mesgral / Penfentenyo, Voûtain de la première lucarne sud, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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3. Joueur de galoubet (flûte tambourine à trois trous et tambour).
La flûte tambourine à trois trous est un instrument en bois d'une trentaine de centimètres qui se joue de la main gauche tout en marquant le rythme sur un tambourin, "un tambour très allongé dont le timbre est situé sur la peau de frappe, et qui est « touché » à l'aide d'une massette tenue dans la main droite." (Wikipédia). C'est exactement ce que nous voyons ici ; la peau du tambour est tendue par un corde qui entre en résonance. Cet instrument, souvent représenté en Bretagne (vitraux d'Ergué-Gabéric (où je l'étudie), de Bulat-Pestivien, de l'église de Ploërmel) se retrouve sur les sablières de La Roche-Maurice et de la chapelle Saint-Nicolas-des Eaux de Pluméliau.
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Les vitraux de Bulat-Pestivien : les Anges Musiciens.
Les vitraux de l'église Saint-Armel de Ploërmel.
Le musicien est coiffé d'un chapeau en casque couvrant la nuque, assez proche de celui du cornemuseux du premier blochet.
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Joueur de galoubet, voûtain de la première lucarne sud, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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LES TROIS SABLIÈRES DU BAS-COTÉ SUD.
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Elles sont encadrées par les blochets dans les espaces séparant les trois lucarnes. Je les décrirai à partir du fond de l'église (élévation ouest).
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1. Première sablière : La Croix et la Couronne d'épines présentés par deux anges buccinateurs.
Les anges latéraux sont parfaitement semblables à ceux de Kerjean, même si ceux-ci soufflent dans une trompette. On retrouvent les sept alsaciennes encadrant le visage, le long nez, le beau sourire, le col formant un revers, les manches dilatées en cloches ou en entonnoir, la partie haute de la tunique aux plis épais évasés à la taille en une fronce pleine de gaieté, et la partie basse qui libère, à la va-comme j'te-pousse, deux pieds patauds, mais dûment équipés de leurs cinq orteils.
Comme à Kerjean également, les anges glissent un bras nu à travers la découpe du cuir à enroulement.
Mais ici, au lieu de tenir un linge ou un cordage, ils tiennent l'un un pichet (une aiguière), et l'autre un objet rond à bord évasé que je n'identifie pas. Impossible de leur donner un sens dans ce contexte.
Ce n'est qu'après avoir décrit les sablières du transept sud de Pleyben, où le pichet et la coupe sont également présents sur un cuir (première sablière), que j'adopte la lecture de Jean-Claude Le Floch : cette aiguière (vase servant aux ablutions) et ce bassin sont ceux du lavement des mains de Pilate, et ces deux objets sont métonymiques d'une des douze scènes de la Passion répétée sur toutes les Passions des maîtresses-vitres finistérienne. Ponce Pilate, administrateur romain de la Judée, est accusé d'avoir, par sa lâcheté et sa faiblesse, abandonné le Christ aux Juifs du Sanhédrin alors qu'il était convaincu de son innocence et que son épouse l'avait enjoint à ne pas porter la responsabilité de son accusation : "Ne te mêle pas de l'affaire de ce juste, car cette nuit, j'ai été fort tourmentée par des rêves à cause de lui". (Matthieu 27:19)
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Au centre, la moitié basse d'une couronne d'épines autour d'une partie de la croix. Ces deux objets confirment que les deux objets concernent le drame de la Crucifixion. Quand au cuir découpé, il lui manque l'enroulement supérieur, comme si la pièce de bois avait été arasée d'une vingtaine de centimètres.
Cette croix coiffée de la couronne d'épines se retrouve sur la deuxième sablière du bas-coté nord de la chapelle Sainte-Marie-du-Ménez-Hom, et sur la première sablière du transept nord de Pleyben, entourée de Judas et du grand prêtre. Mais la croix et la couronne y sont entières.
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Première sablière du bas-coté nord, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Première sablière du bas-coté nord, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Première sablière du bas-coté nord, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Deuxième sablière : le Voile de la Sainte-Face.
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Ici, je retrouve bien mon garçon : il débute par un cuir à enroulement typique (quoique dans sa forme la plus simple), puis il me sert un ange avec ses six bigoudis, son nez en paire de ciseaux et ses épaules à manche à air, lequel ange tient, dans la main droite, un linge torsadé . Et, se conformant à mes attentes, il dirige ce lien vers la droite, l'escamote derrière le cartouche, et le fait réapparaître dans la main de l'ange de droite.
Le premier ange glisse la main gauche à travers l'enroulement du cuir et attrape l'extrémité d'un voile, qu'il replie et laisse retomber en un beau drapé. Tout cela à l'aveugle, en me regardant avec son beau visage poupin.
Le cuir n'a pas la complexité virtuose de ceux de Kerjean, avec des enroulements aux quatre bords. Il nous présente le Voile de Véronique, avec la Sainte-Face : un visage barbu, serein, souriant malgré le couronnement d'épines.
A droite, l'ange ne diffère du premier que par le nombre de ses bigoudis.
En définitive, la ressemblance avec la troisième sablière de Kerjean est très forte, et la parenté avec celle de Pleyben est réelle.
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Le Voile de la Sainte-Face, deuxième sablière du bas-coté nord, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Le Voile de la Sainte-Face, deuxième sablière du bas-coté nord, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Le Voile de la Sainte-Face, deuxième sablière du bas-coté nord, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Le Voile de la Sainte-Face, deuxième sablière du bas-coté nord, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Le Voile de la Sainte-Face, deuxième sablière du bas-coté nord, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Troisième sablière : le cartouche au lion.
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Les fruits semblables à des figues ou des coings qui pendent sur ce cuir se retrouvent sur un cuir du transept sud de Pleyben.
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Le cartouche au lion. Troisième sablière du bas-coté nord, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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Le cartouche au lion. Troisième sablière du bas-coté nord, nef de l'église de Saint-Divy. Photographie lavieb-aile juillet 2017.
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ANNEXE : QUELQUES COMPARAISONS ICONOGRAPHIQUES.
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L'ange aux bras croisés de Kerjean.
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Le voile de la Sainte Face à Kerjean.
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Le Voile de la Sainte Face à l'église de Pleyben.
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SOURCES ET LIENS.
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APEVE :
http://www.apeve.net/spip/spip.php?page=page&id_rubrique=4&id_article=253
COUFFON
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/5eb27adca1ceb10a93836495d298f812.pdf
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