La verrière de l'Apparition du Christ à Madeleine, de saint Georges et saint Adrien de la baie 22 (anonyme, vers 1510) offerte par Binot-Briselet, en l'église Notre-Dame de Louviers.
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1. Sur Louviers :
2. La liste de mes articles sur les vitraux.
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PRÉSENTATION.
Cette baie de 4,50 m de haut et 2,90 m de large occupe le bas-coté sud, à la suite de la baie 24 offerte par Claude Le Roux vers 1525 et de la baie 26 offerte par les Drapiers de Louviers vers 1490-1500. Ces baies suivent donc la construction de l'élévation sud et de son splendide portail, commencé en 1506 grâce au mécénat de Guillaume II Le Roux.
Avec la baie 20 des Apparitions du Christ, elles forment un ensemble homogène attribué à un atelier de Rouen, également auteur deux verrières de l'église Saint-Godard de Rouen (baie 5 des Apparitions du Christ, 1500-1510 et baie 6 de la Vie de la Vierge v.1506) et des baies 3, 4 5 et 6 de la Vie de la Vierge de Saint-Jean d'Elbeuf vers 1500 (offertes par les Le Roux). La reprise de cartons à grandeur, d'origine parisienne (Jean d'Ypres ?) est patente dans plusieurs des panneaux de cet atelier. (Caroline Blondeau propose le nom de Cardin Jouyse pour cet atelier ; on parlait aussi, depuis Jean Lafond, du "Maître de la Vie de SaintJean-Baptiste").
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"Les parties anciennes occupent leur baie d'origine, dans laquelle les portraits des donateurs ont été déplacés ; en 1903, les panneaux restitués ont remplacés soit des losanges, soit des panneaux anciens placés en bouche-trou ; le baptême du Christ, aujourd'hui dans la baie 26 occupait la lancette droite, la Vierge de l'Annonciation actuellement dans la sacristie et le dais qui couronne le saint Claude de la baie 24 occupaient le tiers supérieur de la 3ème lancette." (Callias Bey et al.)
Elle présente sur ses quatre lancettes quatre saints personnages en pied, deux "chevaliers" (saint Georges et saint Adrien) encadrant la scène de la confrontation de Marie-Madeleine avec le Christ ressuscité. Le registre inférieur est réservé aux donataires; le tympan à 10 mouchettes et 3 soufflets montre une Annonciation, le Voile de Véronique et des armoiries mal identifiées.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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"Offert par Guillaume Le Forestier, gouverneur de la ville en 1515, il représente Saint Georges, Marie Madeleine, le Christ et Saint Adrien. C’est un des plus beaux vitraux de Notre-Dame. Restauré par Muraire en 1903, la recherche dans les couleurs, les drapés et les techniques (transparence…) en font un vitrail admirable" (Office du Tourisme Seine-Eure)
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LES QUATRE LANCETTES.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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LA LANCETTE GAUCHE : SAINT GEORGES TERRASSANT LE DRAGON.
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Tête du saint restitué par Muraire 1903.
Le saint se détache d'une niche architecturée gothique à pavements à carreaux à monogrammes (G, S, O ?) où une tenture damassée d'or (rinceaux et grenade au pochoir) à bordure frangée est suspendue.
Il est vêtu d'une armure complète au dessus d'une cotte de maille. Les solerets élargis en pied d'ours confirment la datation estimée. Le surcot vert clair est damassé à revers violet. Le chevalier porte une épée en main droite et une lance, dont il dirige la pointe vers le fond de la gueule du dragon.
L'armure est en verre bleu aux lignes gravées et peintes au jaune d'argent.
Le dragon est un reptile à échine épineuse et aux ailes de chiroptère. Le verre rouge est gravé soir pour nuancer la teinte, soit pour placer des détails (ligne verruqueuse abdominale) rehaussés au jaune.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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L'APPARITION DU CHRIST À MARIE-MADELEINE.
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Le panneau pourrait porter le titre de "Noli me tangere", la réplique fameuse du Christ à la sainte qui s'élançait pour le toucher, mais je reprends ici le titre habituel.
C'est la scène qui précède immédiatement le Ne me touche pas dans l'évangile de Jean 20:14-17 qui est représentée :
En disant cela, elle se retourna, et elle vit Jésus debout; mais elle ne savait pas que c'était Jésus.
Jésus lui dit: Femme, pourquoi pleures-tu? Qui cherches-tu? Elle, pensant que c'était le jardinier, lui dit: Seigneur, si c'est toi qui l'as emporté, dis-moi où tu l'as mis, et je le prendrai.
Jésus lui dit: Marie! Elle se retourna, et lui dit en hébreu: Rabbouni! c'est-à-dire, Maître!
Jésus lui dit: Ne me touche pas ; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu.
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Les paroles qui s'échappent dans les phylactères reprennent d'ailleurs le texte de la Vulgate (en gras supra) :
— Le Christ : MULIER QUID PLORAS [?] QUEM QUAERIS [?]
— Marie-Madeleine : DOMINE SI TU SUSTULISTI EUM DICITO MIHI UBI POSUISTI EUM ET EGO EUM TOLLAM (j'ai résolu les tildes abréviatifs)
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Les points communs avec le retable de Martin Schongauer (vers 1480) sont nombreux : voir mon article
http://www.lavieb-aile.com/2016/07/ne-me-touche-pas-martin-schongauer-et-les-petits-oiseaux.html
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Le thème du jardin clos est présent, avec le plessis tressé, ou les lointains en verdure et fabriques dans lesquels vous pouvez vous plaire à trouver le cerf qui galope vers le château et celui qui attend du coté droit. Et bien sûr les cinq oiseaux , si fréquents dans les compositions du "Maître de la Vie de saint Jean-Baptiste" à Bourg-Achard.
Voir les oiseaux et les lapins dans le tympan de la baie 1 de Bourg-Achard consacré au Noli me Tangere :
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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La tête de Marie-Madeleine est restituée. Les trois panneaux composant le Christ sont de Muraire en 1903.
On note l'élégance légendaire de la sainte, coiffée d'un balzo à l'italienne, un bourrelet où s'enroule un ruban doré entre des rangs de perles. Le joli détail réside dans l'envol du voile, qui témoigne de l'élan plein d'ardeur de Marie-Madeleine. L'élégance se retrouve dans le manteau doré à revers blanc et aux bords perlés, dans la robe bleue damassée, dans le médaillon, dans les manches violettes aux poignets dorés.
Et comme il serait excitant de retrouver le modèle du pot à onguent au décor de monstre.s ailés parmi les albarello en faïence de Rouen, par exemple !
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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Saint Adrien.
Il est identifié par le couperet et l'enclume qu'il porte au bras gauche, ainsi que par son armure et son épée : Adrien, jeune officier de l'empereur Maximin, a eu les mains et les pieds coupés avec 23 de ses compagnons.
"Saint Adrien était officier supérieur dans l'armée romaine, sous le règne de l'empereur Maximien Galère. Il persécuta d'abord les chrétiens; mais touché ensuite de leur courage et de leur constance, il embrassa leur foi. L'empereur, irrité de cette conversion, le fit enchaîner, avec vingt-trois autres chrétiens; puis, après l'avoir fait battre de verges, il lui fit briser les os et couper les extrémités des mains et des pieds. Saint Adrien endura ce martyre à Nicomédie, durant la dernière persécution générale, vers l'année 306.
Saint Adrien était représenté, en costume de chevalier du moyen âge. La tête était couverte d'une toque de velours. [...] La main droite, enveloppée dans les plis de son manteau, tenait un glaive levé, et de la main gauche, il portait une enclume sur laquelle reposait un marteau. Un lion était couché sous ses pieds.
Les attributs, que nous venons d'énumérer, accompagnent presque toutes les images de saint Adrien. L'enclume et le glaive désignent les instruments de son supplice. Quant au lion, que nous trouvons presque toujours aux pieds du saint martyr, il est évident qu'il lui est attribué par erreur. Le Martyrologe mentionne, à la date du 5 mars, un autre saint du même nom, qui fut condamné à être déchiré par un lion et subit le martyre en Palestine, en l'année 309. Cet attribut doit donc son origine à la similitude des noms de ces deux saints." https://books.google.fr/books?pg=PA169&dq=saint+adrien%22+lion&id=8GUFAAAAQAAJ&hl=fr#v=onepage&q=saint%20adrien%22%20lion&f=false
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L'élargissement des solerets est ici plus prononcé que dans la lancette gauche.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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LE REGISTRE INFÉRIEUR. LANCETTES MÉDIANES : LES DONATEURS DU VITRAIL.
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Au bas du vitrail, dans la deuxième lancette , sous des rinceaux appuyés sur des culots, et devant un fonds bleu damassé, un homme vêtu d'une robe longue couleur lie-de-vin est agenouillé devant le livre d'heures posé sur son prie-dieu, le chaperon rejeté dans le dos et une aumônière à la ceinture. Un blason muet est dessiné devant lui.
Tête restituée en 1903.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
Une inscription, que le Mercier n'a pu déchiffrée entièrement, a été partiellement restituée par Muraire en 1903 en se fondant sur son relèvement par Dibon en 1836.
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PRIES DIEU POUR LHONORABLE HOMME ET SAIGE SIRE BINOT
BRISELET JADIS BAILLI DE CESTE VILLE DE LOUVIERS ET DE
GAILLON ET POUR SA FEMME ET LEUR FILS ET AUTRES
LEURS PARENS ET AMYS
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Le Mercier indique que Binot-Briselet a été bailli en 1436 : une coquille ? Les documents le citent bailli de Louviers et de Gaillon en 1453, 1458, 1469 mais encore en 1482
Cartulaire :
...que la guerre interrompit, parce que les maîtres étaient partis, fut repris en 1453 par ordonnance du bailli, Binot Briselet,
...jour de may, l'an mil cccc LVII (1458) , en la cohue (a) de Loviers, devant nous bailly dessus nommé comparurent Jehan Langlois , Michault Hamel, Binot Briselet
...Binot Briselet, bailli en 1469 en remplacement de Faroul, mort en 1502
...1482, 5 janvier, à Louviers. TOUS ceulx qui ces presentes lettres verront ou orront, Binot Briselet, bailli de Loviers & de Gaillon, salut. Savoir faisons que aujourdhui en la cohue dudit lieu de Loviers, en assemblée ordinaire & generalle de
...L'an de grace 1488, le quinziesme jour de mars, a la cohue de Louviers ou avoit assemblée de ville, devant nous Binot Briselet, bailli dudit lieu, honnorable homme & saige Jacques le Pelletier, pour luy & soy saisant sort .
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Une généalogie de Jean-Paul Cotte indique :
Binot Briselet bailli de Louviers et de Gaillon, avocat au baillage de Rouen en 1464, vicomte d'Auge, décédé en 1502. Marié avant 1470 à Jeanne ---, décédée en 1521. Deux enfants, Pierre Briselet et Nicolas Briselet , avocat au parlement de Rouen, conseiller en cour laie (1503),
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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Dans la lancette suivante, une femme est aussi agenouillée sur un prie-dieu. Elle est vêtue d'une robe rouge croisée en V sur la poitrine et coiffée du bonnet-chaperon que les portraits d'Anne de Bretagne ont fait connaître. Un médaillon d'or est suspendu à son cou par une chaîne fine. Trois doigts (index, annulaire et auriculaire) portent des anneaux d'or.
La corniche du soubassement s'orne de dauphins Renaissance, et les culots de personnages.
Dans le pavement bicolore blanc et jaune se remarquent des monogrammes AM ou MAM (les pavements du faïencier rouennais Masséot Abaquesne sont plus tardifs).
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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LE REGISTRE INFÉRIEUR. LANCETTES LATÉRALES : LES DONATAIRES DE LA RESTAURATION DE 1903.
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À gauche, un ange tient un blason avec les mots : A LA MEMOIRE DE MR GEORGES DANNET.
À droite, on lit : RESTAURATION OFFERTE PAR MME G. DANNET.
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Georges Dannet fut le dernier descendant d'une famille de drapiers, propriétaires d'une manufacture de draps à Louviers :
https://gw.geneanet.org/payenneville?lang=en&p=georges&n=dannet
- Pierre Louis Jacques Dannet, époux de Catherine-Henriette Papavoine (fille d'un marchand laboureur tanneur) 1773-1844
- son fils Hector Pierre Dannet (1803-1870) , qui épousa Zéphirine Reynal
- son second fils Charles-Ernest Dannet (1816-1870)
Georges Dannet, fils de Hector-Pierre, né à Louviers en 1839, décédé en 1897 à 58 ans, fut le dernier manufacturier en drap de la famille. Il fut président de la Chambre consultative de Louviers et président du Tribunal de Commerce.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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LE TYMPAN.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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Au centre, Dieu le père coiffé de la tiare tient le voile de Véronique portant le visage de son Fils : une représentation fort rare de la Trinité qui s'explique par l'utilisation du Père en bouche-trou à la place de Véronique. Visage du Christ restitué.
Dans les mouchettes supérieures, l'Annonciation. L'ange tient le phylactère AVE GRACIA PLENA. Des lettres sont inscrites sur le pavement bicolore blanc et jaune.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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En dessous, deux blasons ont été identifiés comme ceux de Guillaume le Forestier et de son épouse; C'est du moins ce qu'indique Callias Bey et al., tout en accompagnant cette information d'un point d'interrogation.
Ces armoiries ont résisté aux efforts de Le Mercier. Je n'ai rien trouvé en interrogeant le moteur de recherche avec "d'argent au chevron de gueules" ; je peine à identifier le meuble de couleur verte : une feuille ? L'interrogation "à trois feuilles de sinope" ne donne rien.
De même, je n'ai pas trouvé grand chose sur ce "Guillaume Le Forestier", gouverneur de Louviers en 1515.
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Guillaume le Forestier, lieutenant general en 1471
« Tauxé jusques cy et somme depuis le derrain taux, XVI l. t. dont est prins pour despence XXX sous et pour facon de rolles XX s. demeure pour la seigneurie XIII l. X s. par nous Guillaume le Roux, viconte, es presences de Guillaume le Forestier, lieutenant general, Guillaume Huillart, advocat, Robinet du Fay, receveur de ladite viconté, les sergens et autrez. », 52BP5, fol. 71. Vicomté d’Elbeuf, 26 mars 1471.
https://journals.openedition.org/tabularia/1416
https://books.google.fr/books?id=n_Ei1WOkXhsC&q=%22guillaume+le+forestier%22+louviers&dq=%22guillaume+le+forestier%22+louviers&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjWn-zptsTeAhVGzYUKHUUlBU4Q6AEIKTAA
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La moitié droite du blason de l'épouse ne nous aide pas non plus.
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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Plus bas, nous trouvons des chérubins vert jaune et rouge et huit anges musiciens : identifiés sous réserve ainsi de gauche à droite :
- flûte
- viole à archet
- harpe
- orgue portatif
- mandoline
- mandore
- hautbois
- flûte
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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Des inscriptions sont portées sur les manches ou la bordure des aubes des anges ; comme d'habitude lorsque ces lettres n'oint pas de sens, nous trouvons une profusion de N, rétrograde à l'occasion. Je lis peut-être MARIA et, sur une manche au dessus du chevillier, NAZAR ou NAZNEROC...
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Baie 22 (vers 1510 et 1903) de l'église Notre-Dame de Louviers. Photographie lavieb-aile 26 août 2018.
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SOURCES ET LIENS.
— Office du tourisme Seine-Eure :
http://www.tourisme-seine-eure.com/images/06-QUE-FAIRE/1-culture-patrimoine/B1.2-ND-Louviers/Circuit-Bilingue-EGLISE-ND-LOUVIERS.pdf
— CALLIAS BEY (Martine), CHAUSSÉ (Véronique), GATOUILLAT (Françoise), HÉROLD (Michel), 2001,"Les vitraux de Haute-Normandie", Corpus vitrearum Recensement VI, CNRS éditions, page 171
— DIBON ( Paul), 1836, Essai historique sur Louviers. Rouen: Périaux, 184 pages .
https://books.google.fr/books?id=J7FCAAAAYAAJ&dq=bailli,+Binot+Briselet&hl=fr&source=gbs_navlinks_s
— FOSSEY (abbé Jules), 1896, L'église Notre-Dame à Louviers, La Normandie monumentale., page 6
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62406567/f16.image.texteImage
— HÉROLD (Michel),1995, Louviers, église Notre-Dame, les verrières, [16] p. Édition : [Rouen] : Connaissance du patrimoine de Haute-Normandie , cop. 1995, France. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Commission régionale Haute-Normandie Illustrateur : Thierry Leroy (photographe) (Non consulté)
— LAFOND Jean, 1963, Les vitraux de Notre-Dame de Louviers, par Jean Lafond . Louviers et Pont-de-l'Arche. Nouvelles de l'Eure, n° 15, Pâques 1963. (pp. 42-47). Non consulté.
— LE MERCIER (E.) Monographie de l'église Notre-Dame de Louviers Ch. Hérissey et fils, 1906 - 212 pages
— VERDIER ( François),1980,. "L'église Paroissiale Notre-Dame de Louviers," in Congrès Archéologique de France, 1980, Évrecin, Lieuvin, Pays d'ouche. Paris: SFA, 1984. pp. 9–28. Non consulté.
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