Zoonymie du papillon Azuré des nerpruns, Celastrina argiolus (Linneaus, 1758).
La zoonymie (du grec ζῷον, zôon, animal et ónoma, ὄνομα, nom) est la science diachronique qui étudie les noms d'animaux, ou zoonymes. Elle se propose de rechercher leurs significations, leurs étymologies, leur évolution et leur impact sur les sociétés (biohistoire). Avec l'anthroponymie (étude des noms de personnes), et la toponymie (étude des noms de lieux) elle appartient à l'onomastique (étude des noms propres).
Elle se distingue donc de la simple étymologie, recherche du « vrai sens », de l'origine formelle et sémantique d'une unité lexicale du nom.
Résumé.
Celastrina argiolus tire son nom de genre de celui d'un arbre de Theophraste correspondant à notre houx (mais peut-être aussi au nerprun). L'épithète spécifique argiolus est un diminutif de Argus, et indique donc que les ailes de ce petit papillon porte des ocelles, ou yeux.
Chez nous, il a porté successivement les noms de Argus à bande noire (de Geer, 1771 ; Luquet 1986); Argus bleu à bandes brunes (Engramelle 1779) ; Polyommate argiolus (Godart, 1821). C'est, actuellement celui d' Azuré des Nerpruns (Luquet 1986) qui s'impose, sans interdire l'usage de Argiolus (Luquet 1986) ou d' Argus bordé (Luquet, 1986). Grâce à ses noms aide-mémoire, nous savons qu'il s'agit d'un petit papillon bleu, aux ailes ocellées et bordées de noir. Nous devinons déjà qu'il s'agit d'un lycéne qui appartient à la sous-famille des "Bleus", les Polyommatinae qui accueille les nombreux Azurés.
I. Nom scientifique
Lepidoptera, Lycaenidae, Polyommatinae.
Nom de genre : Celastrina, Tutt 1906.
Tutt (James William) 1906. "A Study of the Generic names of the British Lycaenides and their close allies." The Entomologist's record and journal of variation, 18: 129-132.
Le joli nom de Celastrina dérive selon Emmet "du grec Kelastra, un arbre qui pourrait être le houx, plante-hôte" de notre lycène. C'est en effet au houx que Suzanne Amigues, spécialiste de l'Histoire des Palntes de Théophraste rapproche cet arbre : " κήλαστρον (τὸ), κήλαστρος (ἡ), houx, Ilex aquifolium L." ( Amigues, Suzanne, 2006. S. Théophraste. Recherches sur les plantes. Paris, Les Belles Lettres. Tome 5 : Livre IX. Index. : en ligne). On lit ailleurs que le terme de Kelastros est lui-même issu d'une racine grecque kelas, "arrière-saison"
La botanique connaît aussi le genre Celastrus (Bitterswett pour les anglosaxons), dont le nom donné en 1784 vient du grec kelastra, kelastros, "nom qui aurait été donné par Théophraste à un arbuste du genre Rhamni (Nerprun)", comme me le confirme le Dictionnaire de la lecture et de la Conversation de 1834 (Célastre)". Ce rapprochement m'intéresse, si je pense à notre nom d' Azuré des nerpruns.
En un mot, Celastrina peut être lu comme l'équivalent de "du nerprun". Les plantes-hôtes de Celastrina argiolus sont le Houx, le Fusain (qui ressemble à Celastrus scandens), le Lierre, le Robinier, le Nerprun ou Bourdaine Rhamnus frangula, et le Nerprun purgatif ou Rhamnus cathartica.
James William Tutt (1858-1911) est, selon Wikipédia, un entomologiste britannique. Darwinien convaincu, il a posé les fondations de l'étude génétique des lépidoptères. Il est l’auteur de plus de 900 articles et d'une vingtaine de livres, dont les principaux sont J.W.Tutt's British moths paru en 1896, The British Noctuae and their Varieties (1891-1892) et Natural History of the British Lepidoptera (en ligne ) (1890-1911). Dans ce dernier ouvrage, il étudie notamment la superfamille des Ruralides (équivalent de nos lycaenidae) qui regroupe les "blues" ou Bleus (Polyommatinae, Swainson 1827), les "Coppers" ou Cuivrés ( Lycaeninae, Leach 1815) et les Hairstreaks ou Thécla (Theclinae, Swainson 1831). Ce sont eux que Schrank avait classé en 1801 dans son groupe des Cupido, et Latreille en 1804 dans ses Polyommates. J.W. Tutt se livre alors à une brillante étude de taxonomie, passionnante pour celui qui s'intéresse à l'histoire des noms de genre. C'est dans le cadre de cette étude qu'il crée un nouveau genre, Celastrina, pour accueillir l'argiolus.
Nom d'espèce : Celastrina argiolus (Linné, 1758).
Protonyme Papilio [Plebejus] argiolus Linnaeus, C. 1758. Systema naturæ per regna tria naturæ, secundum classes, ordines, genera, species, cum characteribus, differentiis, synonymis, locis. Holmiæ. (Salvius). Tomus I: 824 pp. p.483 no. 153. http://www.biodiversitylibrary.org/page/727394#page/505/mode/1up
Argiolus est un diminutif de Argus, nom du papillon qui le précède dans le Systema naturae. Linné précise que l'argiolus est praecedenti similis, sed minor, "semblable au précédent, mais plus petit". Emmet, qui donne cette explication, ajoute insidieusement, mais sans critiquer frontalement le Maître suédois, que "Argiolus est plus petit que P. icarus mais plus grand que P. argus ; il ressemble d'avantage à P. icarus".
L'Argus lui-même tenant son nom d'Argos panoptes, le géant aux cent yeux, nous en déduisons que les ailes de l'argiolus portent plusieurs ocelles.
Ces papillons appartiennent déjà aux groupes des Plebejus, les petits, la plèbe (dans le schéma que Linné a dressé pour comparer les papillons de jour à l'armée grecque campant devant Troie, avec les grands Chevaliers, les Héros, Dieux et Déesses [ Eques, Heliconii, Danai, Nymphales].
Il divise ces Plébéiens en deux groupes, les Ruraux (ses Rurales n° 145 à 161, et les Ruralides de Tutt, les Polyommates de Latreille, les estropiés de Geoffroy) et les Urbains (les Urbicoles de Linné, les Urbalides de Tutt, les Hesperies de Fabricius). Notre petit argiolus de rien du tout n'est qu'un rural, nous pouvions nous en douter.
Synonymes.
Celastrina argiolus argiolus (Linnaeus, 1758)
Lycaena argiolus (Linnaeus, 1758)
Lycaenopsis argiolus (Linnaeus, 1758)
Papilio argiolus Linnaeus, 1758
II. Noms vernaculaires.
Argus à bande noire (de Geer, 1771 ; Luquet 1986); Argus bleu à bandes brunes (Engramelle 1779) ; Polyommate argiolus (Godart, 1821) ; Azuré des Nerpruns (Luquet 1986) ; Argiolus (Luquet 1986) ; Argus bordé (Luquet, 1986).
1. Argus à bande noire, De Geer 1771.
Geer, (Charles de), Mémoires pour servir à l'histoire des insectes , Stockholm : Hesselberg, 1771. Tome second première partie page 182 Tome 1 pl.4 fig. 14-15.
Le nom Argus, comme celui de Polyommate infra, renvoie au géant Argos panoptès (qui voit tout), aux cent yeux répartis tout autour de la tête, et dont cinquante sont ouverts lorsque les autres sont fermés.
La "bande noire" est celle, ombrée, qui cerne la face antérieure des ailes ; elle est large chez la femelle, étroite chez le mâle.
2. Argus bleu à bandes brunes, Engramelle 1779 .
Jacques Louis Florentin Engramelle, Papillons d'Europe, peints d'après nature, Volume 1 page 177-178 planche 40 n°86 a-b et pl. 41 fig 86. par J.J. Ernst, gravée par J.J. Juillet, 1779.
"Ses ailes [de la femelle] sont bordées d'une large bande brune" p. 178.
3. Le Papillon Acis, Latreille 1803.
Olivier et Latreille, Nouveau Dictionnaire d'Histoire naturelle tome XXVII 1803 page 86.
Le berger Acis, fils de Faunus, est l'amant de Galatée : surpris par son rival le cyclope Polyphème, celui-ci l'écrasa sous un rocher de l'Etna.
4. Le Polyommate Acis, Latreille,
- P.A Latreille, Nouveau Dictionnaire d'Histoire naturelle Paris :Deterville 1819, t.XXX.
- Pierre Boitard, Manuel d' Entomologie, 1828.
5 . Polyommate argiolus, Godart 1821.
Jean Baptiste Godart, Histoire naturelle des lépidoptères ou papillons de France décrits par M. Godart, ancien proviseur Paris : Crevot 1821 Vol.1, Première partie, environs de Paris, [I]-[vij] + 295 p. page 225 n°85 Pl. 11 secund fig.8 (femelle) et Pl.11 quart fig.5 (femelle) dessinée par [Antoine Charles] Vauthier et gravée par Lanvin.
Godart reprend, selon sa règle, une construction binominale calquée sur la dénomination scientifique : il emprunte à Latreille (dont il avait été très proche) comme nom de "genre" celui de sa famille des Polyommates, tiré du grec poluommatos, "qui a plusieurs yeux". C'est, chez ,les grecs, un épithète d'Argus. Comme le dit Cuvier en 1836, ils sont "désignés ainsi , parce que ces Lépidoptères ont , pour la plupart , sur leurs ailes , de petites taches imitant des yeux."
- Idem, Latreille et Godart, Encyclopédie méthodique, Histoire naturelle, Paris : Vve Agasse,Tome 9 vol. 116, 1819.
- Idem, Hippolyte Lucas 1834.
- Idem Le Borgne de Kermorvan in Souvestre, 1836.
6. Propositions de Gérard Luquet 1986.
En 1986, Gérard Chr. Luquet crée le zoonyme Azuré des nerpruns, qu'il propose comme nom vernaculaire principal, et qui sera adopté par l'ensemble des autres auteurs. Ce nom est construit sur un modèle Nom de groupe + plante hôte. Il a d'abord baptisé la sous-famille des Polyommatiné par les trois noms d'Azuré, d'Argus ou de Sablé. Avec le terme Azuré, il a construit 63 noms d'espèces, la plupart avec la plante hôte (bugrane, plantain, ajonc,) beaucoup plus rarement avec une caractéristique physique (A. frêle, A. Porte-queue, A. iridié, A. bleu céleste) ou un nom de lieu (A. de l'Atlas).
Il reprend comme nom accessoire l'Argus à bande noire de de Geer ( mais il en critique la longueur), l'Argiolus, et l' Argus bordé .
"L'Argiolus" apparaît dans les Tableaux synoptiques des Lépidoptères d'Europe de De Villiers et Guenée en 1835, page 30, mais à la façon d'un raccourci du nom scientifique. G.C. Luquet signale qu'il l'emprunte ...à un Atlas tchèque, traduit en 1968 en français par Henri et Trude Fritsche. (Josef Moucha et Vlastimil Choc, Papillons. Atlas Illustré. Collection "Approche de la nature" Paris : Gründ, 1968, 252 P).
Je ne trouvait pas d'où provenait l'"argus bordé". Était-ce une confusion avec l'Argas bordé de Latreille et Dugès (argas reflexus), une sorte de tique ? Certes, l'Argus bordé apparaissait dans la liste de P. André parue dans Alexanor Vol.13 à 14 p. 15 en 1983. G.C. Luquet indique qu'il l'a déniché (le terme est de moi !) dans un guide suisse de 1969 de Raphy Rappaz, Les Papillons du Valais, Sion: Ed.Rappaz. Il a le mérite de reprendre de façon condensé les "à bande noire" ou "à bandes brunes" et de rappeller que les ailes de la femelle sont encadrées par une bordure sombre.
France, Tchéquie, Suisse, ces nouveaux zoonymes sont européens ! Leur qualité est de fonctionner, pour le grand public, comme une signalétique mémorisable de caractères spécifiques remarquables.
7. Noms vernaculaires contemporains :
Au début du XXe siècle, Charles Oberthür ( 1912, p. 230) utilise le nom de Argus bleu à bandes brunes d'Engramelle.
Higgins & Riley /Luquet 1988 : Azuré des nerpruns, Argus à bande noire.
Bellmann / Luquet 2008 : L'Azuré des nerpruns.
Blab / Luquet 1988 : Azuré des nerpruns.
Chinery / Leraut 1998 : Azuré des nerpruns.
Doux et Gibeaux / Luquet 2007 : L'Azuré des nerpruns.
Lafranchis, 2000 : L'Azuré des nerpruns, l'Azuré à bande noire.
Perrein, 2012 : Azuré des nerpuns.
Wikipédia : Azuré des nerpruns, Azuré à bande noire.
III. Les noms vernaculaires dans d'autres pays.
- Paatsamasinisiipi en finnois,
- Holly Blue en anglais,
- Tosteblåvinge en suédois,
- Skovblåfugl en danois,
- Vårblåvinge en norvégien
- Sprakelbeamblaujurkje en frison,
- Najade ou Náyade en espagnol,
- Modraszek wieszczek en polonais
- Faulbaumfalter ou Faulbaum-Bläuling en allemand
- Glesyn y celyn en gallois,
- Gorrymag hollin en mannois (Île de Man),
- Boomblauwtje en néerlandais,
- Krkovin plavac en croate
IV. Zoonymie vernaculaire anglo-saxonne ( M.A. Salmon, 2000).
Première mention : Ray, 1710.
- The Blue Speckt Butterfly : male (Petiver, 1717 ; Newman & Leeds, 1913)
- The Blue Speckt butterfly with black tips :female (Petiver, 1717).
- The Azure Blue (Harris, 1775 ; Haworth, 1803 ; Donovan, 1810 ; Samouelle, 1819 ; Jermyn, 1824 ; Rennie, 1832 ; Brown, 1832 ; Humphreys & Westwood, 1841 ; Wood, 1852 ; Morris, 1853 ; Stephens, 1856 ; Coleman, 1860 ; Newman, 1871 ; W.F. KIrby, 1896 et 1906 ; Newman & Leeds, 1913 ; Frowawk, 1924.)
- The Wood Blue (Lewin, 1795).
- The Holly Blue (Morris, 1853 ; Kane, 1885 ; Furneaux, 1894 ; South, 1906 ; Newman & Leeds, 1913 ; Frowawk, 1924, et la plupart des auteurs suivants).
Sources et liens.
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— BLAB (Josef), RUCKSTULH (Thomas) ESCHE (Thomas) [et al.], adaptation et traduction française LUQUET (Gérard-Christian), 1988 Sauvons les papillons : les connaître pour mieux les protéger ; préface de Pierre Richard Paris : Duculot 1 vol. (192 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 27 cm Trad. de : "Aktion Schmetterling so können wir sie retten".
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— BOISDUVAL ( Jean Alphonse), GRASLIN, (Adolphe Hercule de), Dumesnil (P.C.R.C) Rambur (Pierre).1833 Collection iconographique et historique des chenilles ou description et figures des chenilles d'Europe, avec l'histoire de leurs métamorphoses et des applications à l'agriculture, Paris : Librairie encyclopédique de Roret, 1832-1837 [1833].
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— DUPONT (Pascal), DEMERGES (David), DROUET (Eric) et LUQUET (Gérard Chr.). 2013. Révision systématique, taxinomique et nomenclaturale des Rhopalocera et des Zygaenidae de France métropolitaine. Conséquences sur l’acquisition et la gestion des données d’inventaire. Rapport MMNHN-SPN 2013 - 19, 201 p. http://www.mnhn.fr/spn/docs/rapports/SPN%202013%20-%2019%20-%20Ref_Rhopaloceres_Zygenes_V2013.pdf
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Duponchel, chenilles 1849 : BHL : http://www.biodiversityheritagelibrary.org/bibliography/9410#/summary
Boisduval chenille 1832 : http://www.biodiversityheritagelibrary.org/bibliography/51588#/summary
— Bestimmungshilfe für die in Europa nachgewiesenen Schmetterlingsarten :http://www.lepiforum.de