Ploéven V : Les statues de l'église et ses inscriptions lapidaires (ou non), ses blasons.
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Sur Ploéven, voir :
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La chapelle Sainte-Barbe de Ploéven. Son calvaire, son vitrail, sa statuaire, son Pardon.
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Ploéven II. L'église de Ploéven, la Déploration (pierre polychrome, 1547 ).
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Ploéven III. L'église : le calvaire (kersanton, vers 1550) du placître.
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LES STATUES DE L'ÉGLISE.
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- Saint Méen en abbé et le dragon de Saint-Florent, pierre polychrome, XVIe siècle, dans une niche à dais. Chœur.
- Saint Corentin en évêque et son poisson, pierre polychrome, XVIe siècle. Nef, coté nord.
- Saint Jean-Baptiste, bois polychrome, XVe ?, nef coté sud.
- Christ aux liens, kersanton, chapelle sud.
sans oublier la Piéta du porche et la Déploration du chœur, déjà décrites.
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1°) Saint Méen en abbé et le dragon de Saint-Florent, pierre polychrome, XVIe siècle, dans une niche à dais. Coté droit du chœur.
Cette statue du patron de l'église est peut-être contemporaine de la Déploration de 1547, placée du coté gauche du chœur.
Il tient dans la main gauche un livre, qui honore en lui le fondateur de l' abbaye éponyme (ou Saint-Jean de Gaël) en Ille-et-Vilaine. Le livre, la mitre, la chape et son fermail sont enrichis de pierreries et orfrois. Il porte un surplis blanc frangé d'or au dessus d'une tunique longue, qui recouvre les chaussures.
Les plus attentifs remarqueront le gland doré de passementerie qui, aux poignets, traduit l'existence des gants (ou chirothèques), ou bien les deux anneaux passés aux majeurs.
Il est mitré et tient une crosse (en main droite) en tant qu'abbé. Ce bâton pastoral est restitué et l'extrémité de sa hampe ne parvient plus dans la gueule du dragon ailé qu'il terrasse. C'est à Saint-Florent-de-Saumur, en se rendant à Rome, qu'il chassa le dragon qui infestait la région. Le dragon, au corps verruqueux, dresse une tête encore rebelle vers le saint mais c'est en vain qu'il tire sa langue rouge, car il est asservi par un collier doré, qui n'est autre que l'étole de Méen. (C'est le même motif hagiographique que pour saint Pol-Aurélien.)
La Vie de saint Méen a d'abord été rédigée en latin : on la trouve dans divers manuscrits du XIV et XVe.
- Bnf lat. 9889 f. 109v-121r , l'Orbituaire de saint Méen, postérieur à 1544 et repris dans Vita sancti Mewenni (BHL 5944). Il a été étudié par Ch. POULAIN, ( mémoire de maîtrise d'histoire sous la direction de B. Merdrignac)
- Bnf lat. 6003, f. 50r-52r (début XVe ) et Bnf lat. 9888, f. 52v-54v (fin XVe ), Chronicon Briocense (1389/94-1415/19)
- Angers BM 115 (107), f. 354r-357v, bréviaire à l’usage de Saint-Méen, XIVe s.
- Saumur BM 16, f. 316v-317r, Bréviaire à l’usage de SaintFlorent de Saumur, après 1450
- Rouen BM 215, f. 283v-284r, Bréviaire à l’usage de Saint-Florent de Saumur, XVe s.
Sous forme imprimée, on la trouve dans un bréviaire de Dol de 1519 (BNF Res. B-24022) . L'épisode du dragon est raconté ainsi :
Qui ad supplicationes predicte sanctimonialis inclinatus, petens ubi esset, dixit illa : « Domine, inter Sanctum Florentium, Clarum montem, et Naneticam civitatem. » Tune mane facto, ductores longe rémanentes ostenderunt manu ubi fore intendebant. Qui intrepidus serpentem aggrediens, in dominoque confisus, collum serpentis monopalio suo circumligans, eumque post se tanquam canem trahens, in Ligerim precipitavit, dicens : « Nusquam in perpetuum alicui créature noceas. »
Les effarouchés du latin vont trouver bientôt une traduction. Au contraire, les latinistes remarqueront le terme monopalium qui est un hapax (on ne le trouve que dans cette Vie) que du Cange comprend comme synonyme de « stola » et « manipulus ». Ce que Méen passe autour du cou du serpent, c'est le "monopale", rencontre de l'étole et du manipule, proche du sudarium. C'est là un point qui le distingue de saint Pol-Aurélien et dont Méen a le monopole.
Enfin , dans le BnF fr. 22321 page 657 se trouve la Vita sancti Mevenni que chacun pourra lire à loisir avant de retrouver le monopalium en haut de la page 661:
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9062166p/f654.image
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9062166p/f661.image
Roland de Neufville, évêque de Léon en Basse-Bretaigne, fit écrire la Vita en français par Pierre Viel, docteur en théologie : "La vie de sainct Méen, abbé au pays de Bretaigne, le 15 juin, mise en français du latin escrit à la main, pris des martyrologes et histoires anciennes dudict pays,". Le texte fut réédité en 1587.
« Une femme noble et riche, et qui faisait profession de religion estroicte, pour s’être consacrée au service de Dieu, elle soit garantie de la peur d’un horrible serpent, lequel faisait sa demeure en certain boccage, situé au plus beau endroit de ses terres et domaine. De façon que pour crainte de luy, ses terres n’estoient cultivées et desjà il avoit dévoré beaucoup d’hommes qui passoient leur chemin auprès. Le fidèle serviteur de Dieu ne refusa entreprendre cette commission, et d’autant que la lieu ou gisoit tel serpent estoit au destroit d’entre Saint-Florent et Clermont, sur le diocèse et chemin de Nantes, il se fit là conduire ». (Récit du chroniqueur René Benoît, éditeur de la vie de Saint-Méen écrite par Pierre Viel, dans sa deuxième édition de 1587 )
Ce n'est qu'en 1637 qu'Albert le Grand publia sa Vie des Saints de la Bretagne Armorique à Morlaix : l'épisode du dragon de Saint-Florent y est narrée page 222 de l'édition de 1659 complétée par Guy Autret de Missirien.
"Ce serpent avait sa caverne en un détroit qui est près de l'abbaye Saint-Florent, sur le bord de la Loire. Saint Méen s'y fit mener, mais ses guides et le peuple qui le suivait pour voir l'issue de l'affaire, étant arrivés à vue du lieu, le lui montrèrent du doigt, n'osant en approcher plus près. Le saint Abbé fléchit les genoux en terre, et ayant fait sa prière à Dieu et célébré la sainte messe en l'église prochaine, s'en alla droit à la caverne du dragon, et lui commanda de sortir, ce qu'il fit incontinent, étincelant des yeux, froissant la terre de ses écailles et faisant un sifflement si extrêmement horrible que tout le pays voisin en retentit : il s'approcha de lui, et lui noua son étole au col, et le mena ainsi comme une bête domestique jusque sur les bords de la Loire, où il lui commanda de la part de Dieu de s'y précipiter, ce qu'il fit devant tout le peuple». C’est alors qu’il lui mit son étole autour du cou et le conduisit vers le fleuve où il lui ordonna de s’y jeter et de disparaître à jamais."
Voir :
— DUINE F. Bio-bibliographie de saint Méen. In: Annales de Bretagne. Tome 19, numéro 2, 1903. pp. 214-240; doi : https://doi.org/10.3406/abpo.1903.1175 https://www.persee.fr/doc/abpo_0003-391x_1903_num_19_2_1175
— Le Huërou (Armelle), 2013, . De quand date la Vita S. Meuenni (BHL 5944) ?. Britannia Monastica, CIRDoMoC, 2013, Mélanges offert au professeur Bernard Merdrignac, 17. ffhalshs-01343276f
https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01343276/document
— BOURGÈS (André-Yves),, Le dossier littéraire des saints Judicaël, Méen et Léri, Corona Monastica, PUR
https://books.openedition.org/pur/20139?lang=fr
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Statue de saint Méen, chœur de l'église Saint-Méen de Plouéven. Photographie lavieb-aile 8 juin 2019.
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Statue de saint Méen, chœur de l'église Saint-Méen de Plouéven. Photographie lavieb-aile 8 juin 2019.
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Statue de saint Méen, chœur de l'église Saint-Méen de Plouéven. Photographie lavieb-aile 8 juin 2019.
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Statue de saint Méen, chœur de l'église Saint-Méen de Plouéven. Photographie lavieb-aile 8 juin 2019.
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2°) Saint Corentin en évêque tenant son poisson, pierre polychrome, XVIe siècle. Nef, coté nord.
Si Méen a son monopalium, Corentin a son poisson, qui le nourrit miraculeusement durant son ermitage au pied du Ménez-Hom, à deux pas d'ici.
Les mêmes détails de paramentiques se retrouvent ici que pour saint Méen, même si la main droite de Corentin porte plus d'anneaux d'or.
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Statue de saint Corentin, nef de l'église Saint-Méen de Plouéven. Photographie lavieb-aile 8 juin 2019.
Statue de saint Corentin, nef de l'église Saint-Méen de Plouéven. Photographie lavieb-aile 8 juin 2019.
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3°) Saint Jean-Baptiste, bois polychrome, XVe ?, nef coté sud.
Bois polychrome. h= 90 cm, l = 40 cm, ep. = 20 cm. Anonyme, vers 1500 (?)
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Statue de saint Jean-Baptiste, nef de l'église Saint-Méen de Plouéven. Photographie lavieb-aile 8 juin 2019.
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4°) Christ aux liens, kersanton, chapelle sud.
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92 cm, pierre (kersanton?), XVIe siècle.
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INSCRIPTIONS PAR ORDRE CHRONOLOGIQUE.
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Sur la Déploration du chœur : 1547.
Au sommet de l'accolade du porche ouest : 1574.
Sur un pilier nord de la nef sous la statue de Corentin : 1574.
Sur l'armoire à bannières : F : DVBLAIS : FAB : 1616.
Sur la fenêtre nord : 1635 : N : HEMON :FAB
Sur la fenêtre de la sacristie : [1680] M :G : MOENAN : RECTEVR / M. MAVGVEN : FAB
Sur le clocher : I. BOVRVEAV :F 1735.
Sur la cloche : 1735.
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Sur la Déploration du chœur : 1547.
http://www.lavieb-aile.com/2019/06/ploeven-ii.la-deploration-de-l-eglise.html
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Au sommet de l'accolade gothique du porche ouest : 1574.
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À l'intérieur, sur un pilier nord de la nef sous la statue de Corentin : 1574.
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ARMOIRE À BANNIÈRE DE 1616.
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F. DVBLAIS . FAB . 1616.
Sans doute un François du Blais.
la famille BLAIS est attestée :
https://gw.geneanet.org/hamety?lang=en&pz=marc&nz=havet&p=marie&n=blais&oc=1
La famille BLAISE est attestée à Cast :
https://mbaudry13.pagesperso-orange.fr/fiches/fiche71.htm#f1423
On trouve aussi LE BLAIS; BLAIZE ; etc
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Au dessus de la fenêtre nord :
1635 : N : HEMON
: FAB
Notez les N rétrogrades.
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Peintures sur lambris du porche sud de 1660.
Ces peintures représentent les quatre docteurs de l'Église. Elles portent l'inscription suivante sous saint Ambroise et saint Jérôme :
Mre YVEZ SOLIEC : R
S : LE QUER-- : -LE
soit Messire Yves Soliec recteur, et ???
Mais Jean-Marie Abgrall a lu en 1904 : Mre YVES SOLIEC :R : S : LE QUERRE : F :LAN 1660.
En 1940, Henri Pérénnès a lu : "Mre Yvez Soliec R. J. Le Querr. F. L'an 1660".
Yves SOLYEC ou SOLIEC fut recteur de Ploéven à partir de 1648. Il fit aussi faire en 1666 les lambris au dessus du chœur. Son vicaire était Yves MARZIN. H. Pérénnès indique :
Yves Soliec etait originaire de Pluguffan, où i1 fut prêtre habitué et curé. Devenu recteur de Ploéven, ll venait souvent à Pluguffan à l'occasion de baptêmes, de mariages et d'enterrements. Ses parent habitaient à Kernizien une maison qui porte encore la date de 1503. La fondation de Jean Le Soliec, à Pluguffan, s'acquittait le jour de la fête de saint Cuffan, tantôt le 3, tantôt le 23 Octobre.
Le patronyme Le QUERRE se retrouve à Plomodiern en 1690.
https://mbaudry13.pagesperso-orange.fr/fiches/fiche69.htm
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Sacristie (1680)
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M: G : MOEN--- RE
CTEVR --------
M :MAVGVEN :
FAB :
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Soit "Messire Guillaume MOENAN recteur, M. MAUGUEN Fabricien."
Le recteur Guillaume Moenan n'exerça son ministère à Ploéven qu'une seule année à partir du 19 août 1680. 'Il fit une fondation de deux lits sur les terres qu'il ajouta à la ferme et construisit la sacristie".
Le patronyme est attesté à Lennon, Châteauneuf-du-Faou, Plonévez-du-Faou, ...
La famille MAUGUEN, LE MAUGUEN ou LE MOGUEN est bien implantée à Ploéven.
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CLOCHER : 1735.
I : BOVRVEAV : F 1735.
Ce nom est en relation avec celui de I. BOVRVOS mentionné sur la cloche de 1735 comme fabricien. Voir l'article dédié à cette cloche pour Jean BOURVEAU.
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Cloche : 1735
voir l'article dédié à cette cloche pour les noms du recteur Jacques Mazeo, du parrain PIERRE LAROUR, de la marraine MARIE MARZIN, du fabricien I. BOVRVOS et du fondeur I.B.B. de la RIVIERE (Jean-Baptiste La Beurriée de la Rivière). Voir l'article sur la chapelle Sainte-Barbe pour la mention du recteur Jacques Mazéo sur la sacristie.
Ploéven I. L'église de Ploéven, la cloche de 1735
La chapelle Sainte-Barbe de Ploéven. Son calvaire, son vitrail, sa statuaire, son Pardon.
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LES BLASONS MARTELÉS.
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Données héraldiques.
http://tudchentil.org/spip/spip.php?article792
Les seigneurs prééminenciers ont été la famille Le Gentil, seigneurs de Barvédel en Ploéven, fondue en Hirgraz puis Le Chastel. Leurs armoiries d'azur au dragon volant d'or [alias d'azur au serpent vollant d'or] figuraient sur le vitrail.
Jean II Le Gentil (v.1400-v.1451), seigneur de Barvédel en Ploéven, épousa Marie de Lescuz (1405-1493), de gueules à 3 fers d'épieu d'argent.
Ils eurent deux fils : Guillaume, l'aîné, seigneur de Barvédel en Ploéven, et Yves, seigneur de Coëtinon en Plomodiern et de Pontlez en Quéménéven, qui fondit la branche des Le Gentil de Coëtninon.
De ces deux fils, Guillaume Le Gentil , seigneur de Barvédel en Ploéven est celui qui nous concerne ici. Il épousa Aliz de Pontlez.
Un Yvon Le Gentil, seigneur de Barvédel, connu en 1480, 1489 épousa Marguerite de Poules (d'argent au greslier de sable accompagné de trois molettes de même).
"Yves le Gentil sr de Barvedel vivoit aux anées 1480, 1483, 1489. Il espousa damoeselle Marguerite de Poulès (d'argent au grelier enguiché de sable accomp de 3 moletes de mesme) fille aisnée d'Yvon sr de Poullès & seur d'autre Yvon sr de Poullès qui décéda sans enfans l'an 1510, ledit premier Yvon filz d'autre Yvon de Poullès qui vivoit en l'an 1470, lequel estoit filz de Gefroy sr de Poullès qui vivoit en l'an 1450, filz d'Yvon sr de Poullès, duquel je veu acte de l'an 1426.
Yves le Gentil sr de Barvedel vivoit aux anées 1503, 1509 & recueillit la succession de Poullès (Poullès est une terre située en l'éveché de Cornouaille parroesse de Quemeneven soubs la juridiction de Chasteaulin à une lieue de Barvedel) l'an 1510. Il vivoit encore et se qualifioit sr de Poullès & de Barvedel l'an 1518. "
Yves III Le Gentil (1481-1528 ? ), seigneur de Barvédel est l'époux le 1er avril 1476 de Louise de Tréanna (d'argent à la mascle d'azur), fille d'Alain de Tréanna, seigneur de Tresseaul. Leur fille Louise, dame d'honneur d'Anne de Bretagne, épousa au château de Blois en février 1507 en présence de la famille royale, Charles d'O, seigneur d'O, de Fresne et de Maillebois, premier écuyer de la reine Anne de France.
Son fils Jean III Le Gentil, seigneur de Bardevel en Ploéven et sieur de Pontlez en Quéménéven, grand Bailli de Cornouaille, décède en 1537. Sa veuve Louise de Tyvarlen 1485-1544 (d'azur à une tour donjonnée d'une tourelle d'or) décède en 1544.
Dans la période 1547-1574 des premières datations de cette église, nous trouvons dans cette famille :
— Jean IV Le Gentil (v. 1500-1562), fils de Jean III et époux de Louise Quelennec (D'hermines au chef de gueules chargé de trois fleurs-de-lis d'or) . Sans descendance. En 1540 Jean le Gentil en rend aveu et en 1569, son frère Louis Le Gentil est son héritier (ADLA, B 1152).
— Louis Le Gentil , frère et héritier des titres du précédent, meurt en 1571 sans descendance.
— Jean Le Gentil, autre fils de Jean III, est recteur de Cast et de Plogonnec (1532).
— Marguerite Le Gentil, fille de Jean III, hérite du titre. Elle épouse Jehan de Hirgarz, seigneur de Hirgarz en Crozon, qui porte d'or à trois pommes de pin d'azur.
Puis vinrent Jean de Hirgarz leur fils qui épouse Catherine de Kerlec'h, Maurice leur petit-fils qui épouse Marie de Kerléan et Alain leur arrière-petit-fils, qui n'épouse personne. Il meurt en 1647. La seigneurie passe alors à la famille du Chastel (fascé d'or et de gueules). Le manoir de Hirgarz à Crozon porte aujourd'hui un blason mi-parti Hirgarz/Chastel.
http://www.laperenne-zine.com/articles.php?lng=fr&pg=557
Par ailleurs :
— Les armoiries pleines des Le Gentil se trouvent sur le calvaire de la chapelle sainte-Barbe en Ploéven.
—Les armoiries écartelées se trouvent sur la maîtresse-vitre de Notre-Dame de Quillidoaré en Cast :
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Extérieur. Porche ouest, de chaque coté de l'accolade du porche.
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A gauche, nous pouvons imaginer un greslier.
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Du coté droit.
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Pignon est.
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À l'intérieur de l'église, pilier du chœur coté sud.
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À l'intérieur de l'église, pilier du chœur coté nord : un calice et un ? livre.
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SOURCES ET LIENS.
— ABGRALL (Jean-Marie), 1904, Architecture bretonne, Ar. de Kerangal, Quimper pages 344-345.
https://archive.org/stream/architecturebre00abgrgoog#page/n399/mode/2up/search/plo%C3%A9ven
— COUFFON (René), LE BARS (Alfred) 1988, Notice sur Ploéven, Nouveau répertoire des églises et chapelles, Quimper.
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/3cfe40fff167ac9a521b6a1d446936d8.pdf
— DEBIDOUR (V-H.), 1953, La sculpture bretonne, Rennes 1953, p. 109-116
— RAVRAD (Guy-Jean), Saint-Cellier fondateur d'un prieuré au Cellier vers 600.
— LE SEAC'H (Emmanuelle), 2014, Sculpteurs sur pierre en Basse-Bretagne, les ateliers du XVe au XVIIe siècle. Presses Universitaires de Rennes
— LINTEAUX-DE-FRANCE : 58 inscriptions lapidaires de Ploéven
http://www.linteaux-de-france.com/show_cat_carte.php?vraicle=Plo%E9ven
— PÉRENNÈS (Henri), 1940, Ploéven, Notices sur les paroisses du diocèse de Quimper et du Léon, Bulletin Diocésain d'Histoire et d' Archéologie de Quimper ( BDHA)
https://diocese-quimper.fr/images/stories/bibliotheque/bdha/bdha1940.pdf
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