Les vitraux du chœur de la cathédrale de Quimper IX : la baie n° 105 de Bertrand de Rosmadec.
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Voir :
Les vitraux du chœur de la cathédrale de Quimper. I. Le rond-point du chœur.
Vitraux du chœur II : Les fonds damassés des vitraux du chœur de la cathédrale de Quimper (vers 1417). Baie 100 et 109.
Les vitraux du chœur de la cathédrale de Quimper V : la baie n°103.
Les vitraux du chœur de la cathédrale de Quimper VI : la baie n°107.
Les vitraux du cœur de la cathédrale de Quimper VII : la baie n° 111.
Les vitraux du chœur de la cathédrale de Quimper VIII : la baie n° 104
Iconographie de saint Christophe dans les vitraux de la cathédrale de Quimper. Une synthèse des cinq exemples étudiés. (Baies 113, 114, 116, 126 et 128)
Orphano tu eris adiutor : des armoiries épiscopales dans la cathédrale de Quimper.
L'Arbre de Jessé de l'église de la Sainte-Trinité de Kerfeuteun à Quimper.
Les vitraux de François Dilasser à la chapelle de Ty-Mamm-Doué à Quimper. Octobre 2014
La bannière de Annaïg Le Berre à la chapelle de Ty Mamm Doué, paroisse de Kerfeunten à Quimper.
Exposition de paramentique à Ty-Mamm-Doué : Laurent Bourlès, tailleur des chanoines de Quimper.
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La baie n°105, fenêtres hautes du chœur, coté nord.
Cette baie composée de 4 lancettes trilobées et d'un tympan à 12 ajours mesure 4,50 m de haut et 2,60 m de large. Chaque personnage ou groupe de personnages est placé devant des tentures rouges peintes de grands feuillages à nervures appuyées et feuilles de vigne , dans des niches à socles hexagonaux carrelés en noir et blanc, à montants en colonnes cannelées, et à dais coiffant les sujets d'une voûte ogivale. Ces motifs dissimulent presque complétement un "ciel" ou fond bleu qui apparaît surtout derrière le fleuron des têtes de lancettes. Cette discretion du "ciel" permet un large emploi de la couleur bleue dans trois vêtements et un accessoire. Le rouge est reservé à la tenture, et les autres couleurs employées sont le vert clair, l'orange et le rouge lie-de-vin.
Descriptions des différents auteurs :
— Aymar de Blois 1820 : non consulté, mais il ferait de ce vitrail un don de l'évêque Gatien de Monceaux (Gatouillat 2005)
— Ferdinand de Guilhermy (1848-1862) :
"Quatre personnages, savoir : un saint moine, un saint évêque assistant un évêque agenouillé, vêtu de la chape et coiffé de la mitre, Vierge portant son fils, sainte Catherine, figures bien conservées."
— René-François Le Men (1877) page 24 :
" Vitrail de l’évêque Bertrand de Rosmadec. Quatre panneaux.
1er Panneau. — Un saint religieux, vêtu d’une longue robe blanche, et, portant une escarcelle ou aumônière de couleur bleue. Ce saint serait, d’après la tradition du chapitre de Quimper, saint Guénolé, premier abbé de Landévennec et contemporain de saint Corentin.
2e Panneau. — Bertrand de Rosmadec, évêque de Quimper de 1416 à 1445. Il est présenté à la Sainte Vierge par un saint évêque dont on ne distingue pas l’attribut, mais qui est probablement saint Corentin. Sur le prie-Dieu devant lequel il est agenouillé, est un petit écusson triangulaire portant ses armes, qui sont pallé d’argent et d’azur de six pièces.
3e Panneau. — Notre-Dame portant l’Enfant Jésus.
4e Panneau. — Sainte Catherine, la tête ornée d’une couronne. Elle était, d’après une tradition, issue des rois, de la Bretagne insulaire. Elle tient une roue, de la main droite. Catherine de Rosmadec, sœur germaine de l’évêque Bertrand avait épousé Guillaume de Lanros. "
— Alexandre Thomas (1892) page 119 :
"- Vitrail de Bertrand de Rosmadec 1. Saint Guénolé ; 2. Bertrand de Rosmadec présenté par saint Corentin ; 3. Notre-Dame ; 4. Sainte Catherine, patronne de la dame de Lanros, sœur de l'évêque Bertrand. "
— Louis Ottin [1896] page 173
https://archive.org/stream/levitrailsonhist00otti#page/n225/mode/2up
"1°) Religieux en blanc avec son sac bleu. 2°) Evêque D[onateu]r évêque 3°) Notre-Dame. 4°) Catherine toute en bleu."
— Françoise Gatouillat et Michel Hérold (2005) : cf. description des lancettes infra.
— Daniel Tanguy (2005) : cf
— Le Bihan (2007) http://jeanpierrelebihan.over-blog.com/article-6435433.html
"Saint Corentin et l'évêque Bertrand de Rosmadec
Au dessus du donateur qui serait Bertrand de Rosmadec, évêque de Quimper lors de la construction de la cathédrale, se trouve un évêque.
– Un possible saint Corentin, évêque de Quimper.
Il est probable que ce soit un saint Corentin, premier évêque de Quimper. La main droite gantée sur le bois de sa crosse en verre incolore travaillé au jaune d'argent, dont la volute est à motif végétal, tandis que le noeud prend la forme d'une construction architecturale. il pose la seconde main derrière le dos du donateur en geste de présentation.
Il revêt la chape de couleur verte, propre aux évêques, couleur qui symbolise leur indépendance et qu'on retrouvera chez des évêques dans les baies 116, 122 et131. Des orfrois, ici sans scène, aux motifs au jaune d'argent, descendent de l'encolure après l'avoir entouré. Sur la mitre aux deux cornes apparaît une croix brodée.
Cet évêque tourne la tête de trois quart arrière, c'est à dire vers sainte Catherine, sa voisine de droite. La position de son corps déhanché et surtout l'inclinaison de sa tête n'est pas sans rappeler la Vierge de la Crucifixion de la baie 100.
– Bertrand de Rosmadec, évêque et donateur.
Bertrand de Rosmadec, présenté ici de petite taille, a pris la pose du donateur à genoux sur un coussin, ses mains jointes passent devant les bois de sa crosse, au dessin très effacé, et de celle de son présentateur.
L'orfroi qui décore sa chape est très riche de dessins, et rejoint le prie-dieu où est visible un petit losange encadré de deux autres motifs. C'est peut-être cela que Le Men avait dit voir : pallé d'argent et d'azur de six pièces. Lors de la restauration de 1992 nous ne les avons pas trouvé, ni leurs couleurs ni leurs emplacements.
La position qu'a pris Bertrand de Rosmadec permet de découvrir un des deux fanons ( bandeau) de sa mitre qui tombe sur le haut de la chape. Celle-ci s'étale sur le sol..
Comme toutes les lancettes, pour fermer la niche, un rideau en verre rouge fleuri de damas dont certains de leurs traits ont écaillé le couverte rouge de ce verre et laissent apparaître le support incolore de l'autre face."
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LANCETTE A. SAINTE CATHERINE.
Sainte Catherine (tête moderne) en manteau bleu bordé de jaune d'argent tient la roue de son supplice (mais non de son martyre, car la roue crantée de lames acérées se brisa miraculeusement en blessant ses bourreaux). Elle tient aussi l'épée par laquelle elle fut décapitée. Sa couronne rappelle que la Légende Dorée de Jacques de Voragine fait d'elle la fille du roi Costus.
Il est inutile d'évoquer le prénom de Catherine de Rosmadec, sœur de l'évêque de Quimper, pour justifier sa présence : Catherine d'Alexandrie est la sainte la plus invoquée dans les verrières anciennes de Quimper (4 fois, autant que saint Michel, saint Paul et saint Jacques, et c'est aussi celle qui, avec sainte Marguerite et sainte Barbe, est la plus fréquemment retrouvée dans les vitraux, et aux premières places des Livres d'Heures, d'une part car elle appartient à la liste des 14 saint auxiliateurs pour protéger contre la mort soudaine sans sacrement et contre les dangers menaçant les femmes enceintes, mais d'autre part parce qu'elle, dans la représentation médiévale, une princesse de sang royal. La figure de cette vierge et martyre couronnée reprend pour elle la puissance de la Vierge reine des Cieux comme intercesseur : ici, les deux lancettes de Catherine et de la Vierge se répondent, avec le même port de tête, la même chevelure, le même manteau bleu.
Le duc Jean V attachait beaucoup d'importance à la couronne ducale, comme en témoignent les couronnes d'or qui se répêtent dans les fonds damassés de la baie 100 et de la baie 109. D'une façon générale, dans les vitraux les plus anciens de Quimper, les têtes couronnées abondent : ce sont celles de Dieu le Père (107), du duc et de la duchesse (101 et 102), de la Vierge (102, 105,110, 112 , des anciens rois de Bretagne (104), et de sainte Catherine (105, 106, 109 et 112).
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Sainte Catherine, lancette A, baie n°105, chœur de la cathédrale de Quimper, photographie lavieb-aile.
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Sainte Catherine, lancette A, baie n°105, chœur de la cathédrale de Quimper, photographie lavieb-aile.
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LANCETTE B, SAINT CORENTIN (?) ET BERTRAND DE ROSMADEC (?).
On voit un saint évêque nimbé de jaune-orange (verre teinté dans la masse) "et vêtu de vert (nombreux collages et inclusions), tourné vers l'ouest et présentant un évêque donateur en chape bleue (tête moderne)" (Gatouillat, 2005).
Par déduction, Le Men a identifié ce donateur avec Bertrand de Rosmadec, dont l'épiscopat (1416-1444) correspond à la période estimée de création des vitraux (entre 1415 et 1424 ?), mais on peut aussi penser que son prédecesseur Gatien de Monceaux, qui a fait voûter le chœur de la cathédrale et apposer ses armoiries en clef de voûte, a pu participer à la commande du programme et se soit fait représenter sur un vitrail. Rien ne permet d'identifier formellement le donateur. Cette baie 105 est la première des quatre baies du nord du chœur, avant les fenêtres du rond-point . Ces verrières nord accueillent des figures de saint et des donateurs qui sont exclusivement des chanoines, et il paraît logique que l'évêque figure dans la première d'entre elles.
Le saint évêque n'est pas formellement identifiable non plus, et la proposition de Le Men qui y voit saint Corentin, premier évêque de Quimper, est seulement la plus probable.
La direction du regard et du visage de ce saint est curieuse, car elle est opposée à celle de son corps, et à celle du donateur, orientés vers le centre du chœur, et au sein du vitrail, vers la Vierge.
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Saint évêque présentant Bertrand de Rosmadec, lancette B, baie n°105, chœur de la cathédrale de Quimper, photographie lavieb-aile.
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Saint évêque présentant Bertrand de Rosmadec, lancette B, baie n°105, chœur de la cathédrale de Quimper, photographie lavieb-aile.
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La chirothèque (le gant épiscopal) du saint est ornée, comme il se doit, sur le dos de la main d'une plaque de métal doré en quadrilobe, alors qu'une bague est portée sur le majeur. Une bague de même type est aussi enfilée sur le majeur du donateur.
Je remarque sur la poitrine du donateur un médaillon dans lequel s'inscrit un écu aux bandes horizontales blanches et noires. Des boucles dorées sont visibles au dessus. Je suggère d'y voir les armoiries palé d'argent et d'azur de six pièces de la famille de Rosmadec, et la mitre et la crosse (ici à crochets) d'or d'un blason épiscopal. Ce détail est-il dû au zèle de l'atelier d'Antoine Lusson ou bien est-il authentique ?
Voir le Nobiliaire et Armorial de Bretagne de Potier de Courcy page 70.
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Bertrand de Rosmadec, lancette B, baie n°105, chœur de la cathédrale de Quimper, photographie lavieb-aile.
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LANCETTE C. SAINT YVES (ou saint Guénolé).
Cette lancettte était, jusqu'en 1990, placée en première position, à gauche. On y voit un religieux identifié comme saint Guénolé, fondateur de l'abbaye de Landevennec. Pourtant, le costume qu'il porte avec la coule blanche et le sac à procès bleu autour du bras, correspond à celui dans lequel est représenté saint Yves, soit dans les autres vitraux de la cathédrale, soit dans les enluminures contemporaines de leur création.
a) Voir le Bréviaire de Charles V (1364-1370) Bnf Latin 1052 folio 378 :
http://visualiseur.bnf.fr/Visualiseur?Destination=Mandragore&O=08452549&E=765&I=61822&M=imageseule
b) Heures, folio 098, vers 1415, Anne de Mathefelon priant saint Yves, Bretagne.
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Ottin a donné dans son ouvrage Le Vitrail [1896] le dessin de sa copie de cette lancette au moment de sa restauration par Lusson en 1867-1869 :
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LANCETTE D. VIERGE A L'ENFANT.
Gatouillat et Hérold (2005) décrivent cette Vierge à l'Enfant avec son nimbe vert (il est violet sur mes images), son manteau bleu galonné de jaune d'argent, et précisent que la tête de l'Enfant est ancienne, mais que celle de la Vierge est moderne.
Tanguy Daniel décrit pour sa part le manteau vert-jaune de l'Enfant et le fruit qu'il tient dans sa main. [Une pomme de pin?].
Je compléterai en décrivant le voile au galon d'or de la Vierge, et sa robe damassée noir et or dont l'encollure à peine échancrée s'orne d'une frise d'entrelacs.
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LES DAIS.
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SOURCES ET LIENS.
— Site infotout :
http://www.infotout.com/cathedrale_quimper/fenetreshauteschoeur.htm
—Cathédrale Saint-Corentin de Quimper. Inauguration du portail occidental, 12 décembre 2008 : http://www.sdap-finistere.culture.gouv.fr/fichiers/dossiers/mon8-fasciculecathedrale2008v2ds.pdf
—ANDRÉ (Augustin), 1878, De la verrerie et des vitraux peints de l'ancienne province de Bretagne, Rennes, Plihon, in-8°, 281 p. (Extr. des Mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine, t. XII.) page 299-304.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2077642/f326.image
— AYMAR DE BLOIS (1760-1852), vers 1820. On doit à ce neveu du chanoine de Boisbilly une description des vitraux vers 1820.
A. de Blois, héritant de ce registre de Boisbilly, en fait don à l'évêque André, le 5 janvier 1804, mais le ré-annote en 1820 et 1821 et donne alors la description des vitraux et leur état. Il le remit de nouveau à l'évêque de Quimper, Mgr Graveran, le 5 septembre 1842 "pour l'usage de la cathédrale ". Il rajoute "malade d'une fluxion, charge son fils Louis de le remettre à l'évêque". (J-P. Le Bihan)
— BOISBILLY (Jean-Jacques-Archibald le Provost de la Boexière ,Chanoine de), vers 1770, Registre de Boisbilly, Arch. Dioc. Quimper, ,
Jean-Jacques Archambault Provost de Boisbilly (1735-1786). Docteur en théologie de la Sorbonne, vicaire général du diocèse de Rennes, il était abbé commandataire du Tronchet et chanoine de Quimper. Il possédait une des plus érudites bibliothèques de Quimper et on lui doit par ailleurs un plan de la cathédrale dressé en 1770 qui est une des sources les plus importantes sur la cathédrale avant la Révolution. Il avait dessiné l'architecture des fenêtres de la cathédrale en pleine page de 1770 à 1772. Ce travail devait être complété par la suite avec les dessins des vitraux, mais il fut malheureusement appelé à d'autres fonctions.
"La cathédrale de Quimper, qui figure au nombre des Monuments historiques du département du Finistère, n’a été jusqu’ici l’objet d’aucune publication de quelque importance. Vers l’année 1770, l’abbé de Boisbilly, syndic du chapitre de Quimper, avait, en vue d’une histoire de ce monument, réuni de nombreuses notes, et fait dresser un plan de l’église avec ses chapelles et ses autels. Dans sa réunion générale du 14 mai 1772, le chapitre le « pria de continuer l’ouvrage qu’il avait commencé sur la description détaillée de l’église cathédrale, » et décida « qu’il en serait fait un registre particulier. » (1)1 Sur ces entrefaites, l’abbé de Boisbilly fut appelé à Rennes pour prendre part aux travaux de la Commission intermédiaire des États de Bretagne dont il faisait partie. Les affaires importantes et multipliées de la Province ne lui permirent pas de mener à bonne fin son entreprise. Ses notes furent perdues, et il n’est resté comme souvenir du projet qu’il avait formé, qu’un registre grand in-folio, qui contient avec le plan de la cathédrale, les dessins au trait de ses fenêtres, dessins qui devaient être complétés par la peinture des vitraux. M. de Blois (de Morlaix), neveu de l’abbé de Boisbilly, a fait hommage de ce registre à Mgr l’évêque de Quimper, le 5 septembre 1849. Avant de s’en dessaisir, il avait pris le soin d’écrire au-dessous des dessins des fenêtres, une description sommaire des vitraux qu’elles contenaient encore en 1820 et 1821, mais à cette époque beaucoup étaient entièrement détruits. " (R-F. Le Men)
— BONNET (Philippe) 2003, Quimper, la cathédrale, Zodiaque, Paris
— COUFFON (René), 1963, « Etat des vitraux de la cathédrale Saint-Corentin au milieu du XIXe siècle par le baron de Gulhermy », Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, tome LXXXIX, p. XCVII-CII
— COUFFON (René) LE BARS ( Alfred) 1988, Diocèse de Quimper et de Léon, nouveau répertoire des églises et chapelles, Quimper, Association diocésaine, 1988, 551 p. http://diocese-quimper.fr/images/stories/bibliotheque/pdf/pdf-Couffon/Quimper.pdf
— DANIEL (Tanguy), (dir.), Anne Brignandy, Yves-Pascal Castel, Jean Kerhervé et Jean-Pierre Le Bihan, 2005, sous la direction de, Les vitraux de la cathédrale Saint-Corentin de Quimper, Presses Universitaires de Rennes / Société Archéologique du Finistère, 287 p. (ISBN 978-2-7535-0037-2).
— GALLET (Yves), 2009, "Quimper, cathédrale Saint-Corentin. L'architecture, (XIIIe-XVe sièle)", Actes du Congrès Archéologique de France 2007 de la Société Française d'Archéologie.
— GATOUILLAT (Françoise), 2013, "Les vitraux de la cathédrale" , in Quimper, la grâce d'une cathédrale, sous la direction de Philippe Bonnet et al., La Nuée Bleue, Strasbourg, page 185-203,
— GATOUILLAT (Françoise), 2009, "Quimper, cathédrale Saint-Corentin. Les vitraux anciens."Actes du Congrès Archéologique de France 2007 de la Société Française d'Archéologie.
— GATOUILLAT (Françoise), HÉROLD (Michel), 2005, Les vitraux de Bretagne, Corpus Vitrearum, France VII, Presses Universitaires de Rennes, Rennes, p. 172.
— GUILHERMY (Ferdinand de), 1848-1862, Notes sur les diverses localités de France, Bnf, Nouv. acquis. française 6106 folio 335v et suivantes.
Le baron de Guihermy, membre de la Commission des Arts, visita Quimper le 2 octobre 1848 et rédigea un mémoire d'après ses notes. Nommé membre de la Commission des Monuments Historiques en 1860, il entreprit un voyage en France et séjourna à Quimper du jeudi soir 28 octobre 1862 au samedi 30 à midi et compléta alors ses premières notes.
— LA VALLÉE, 1847, "Essai sur les vitraux existant dans les églises du canton de Quimper", Bulletin archéologique de l'Association bretonne, t.I, p. 263-277.
— LE BIHAN (Jean-Pierre.) 1993,, -"Gravures de repère sur les vitraux bretons des XVe et XVIe." Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, T.CXXII
ou blog du 10 février 2010 :
http://jeanpierrelebihan.over-blog.com/article-les-vitraux-et-leurs-gravures-de-repere-en-bretagne-44640076.html
—LE BIHAN (Jean-Pierre), 1995, « La restauration des verrières hautes de la cathédrale de Quimper, » Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, T.CXXIV,
— LE BIHAN (Jean-Pierre), 1997,« La verrière n°100 de la cathédrale Saint-Corentin de Quimper », Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, T.CXXVI, p. 175-201.
— LE BIHAN (Jean-Pierre), 9 juin 2007, Blog sur la baie n°105
http://jeanpierrelebihan.over-blog.com/article-6435433.html
— LE BIHAN (Jean-Pierre), 2009, Blog, article sur les fonds damassés
http://jeanpierrelebihan.over-blog.com/article-29447240.html
— LE MEN (René-François), 1877, Monographie de la cathédrale de Quimper [XII-XVe siècle], Quimper. p.21,
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/1e08593c46eb46336af146045b16d0f4.pdf
— MACIAS-VALADEZ (Katia), 1997, "Les vitraux des fenêtres hautes de la cathédrale de Quimper : un chantier d'expérimentation et la définition d'un style quimpérois", Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, t. LXXV, p. 204-242.
— OTTIN (Louis), Le Vitrail, son histoire, ses manifestations diverses à travers les âges et les peuples, Librairie Renouard, H. Laurens éditeur, Paris, s.d. [1896] In-4°, 376 pages, 4 planche en couleurs, 15 phototypies, 12 planches en teinte hors texte, 219 gravures, de signatures, marques et monogrammes.
https://archive.org/stream/levitrailsonhist00otti#page/42/mode/2up
— THOMAS (Abbé Alexandre), 1892, Visite de la cathédrale de Quimper. Arsène de Kerangal, Quimper 170 pages,
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/c9d5dca31c276caf2782d0a4b99a85ce.pdf
— THOMAS (Abbé Alexandre) 1904, La cathédrale de Quimper, 1904, J. Salaun, 97 pages, p.51