La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers.
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Voir aussi :
Sur Louviers :
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La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
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PRÉSENTATION.
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Le visiteur remontant le bas-coté sud depuis le fond de l'église examine successivement les baies 28, 26, 24, 22 et 20 puis parvient à cette baie 18 juste avant le porche sud pour constater une rupture de style : les n°26, 24, 22 et 20 relevaient de l'atelier rouennais du Maître de la Vie de saint Jean-Baptiste, avec leurs verdures aux mille fleurs fréquentées par les perdrix, tandis que nous abordons l'œuvre du flamand Arnoult de Nimègue (1445-1540), et le mécénat du cardinal Georges II d'Amboise lors de son archiépiscopat à Rouen (1513-1550). Georges II est le richissime "neveu" du cardinal Georges d'Amboise, introducteur du style italien Renaissance en France, notamment par son mécénat sur le château de Gaillon, résidence d'été des archevêques de Rouen.
Arnoult de Nimègue installa son atelier à Rouen entre 1503 et 1513, au service de l'abbé de Saint-Ouen de Rouen Antoine Bohier (qui sera abbé de Fécamp puis d'Issoire, archevêque de Bourges en 1514 puis cardinal). [C'est son frère Thomas qui fit construire Chenonceau.]
"Son style (d'Arnoult de Nimègue) se caractérise par des visages au modelé subtil, l'emploi de la sanguine pure et surtout par l'utilisation très étendue de la grammaire décorative de la première Renaissance, apprise sur le chantier de Gaillon : Guichardin voit en lui « le plus grand imitateur des dessins d'Italie ». Son influence dans la peinture sur verre normande, particulièrement forte, se fait sentir pendant un demi-siècle. L'imitation des maîtres romains conduit, dans ses dernières œuvres (cathédrale de Lichfield), à un certain dessèchement de la forme et à un assombrissement de la tonalité." (Françoise Perrot, E. Universalis) https://www.universalis.fr/encyclopedie/arnoult-de-nimegue/
"Il emprunte les tissus damassés, les lourdes étoffes chargées de cabochons et de fermoirs orfévrés au vocabulaire nordique. En revanche, l'architecture qui se déploit au dessus des personnages s'attache aux formes antiques : grotesques et pilastres corinthiens ornés de putti. les visages peints à la sanguine montrent des figures assez caractérisées, mises en valeur par des traits de couleur brune. Il domine également le travail du verre : la subtilité de la palette employée confère à ses œuvres une grande clarté." (Caroline Blondeau).
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Le peintre expérimente de nouvelles peintures et Jean Lafond identifie "un émail de couleur rosâtre, une sanguine utilisée à Saint-Godard, puis à Fécamp, à Louviers et aux Andelys.
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Datée vers 1526 par Jean Lafond, et entre 1510-1515 par Callas-Bey et al. , cette baie relève, comme les précédentes, de la campagne de reconstruction de la façade sud.
C'est une ouverture de 3,80 m de haut et 2,20 m de large divisée par son remplage en trois lancettes et un tympan à 8 mouchettes et 3 soufflets. Elle représente les trois filles de sainte Anne : Marie Jacobé fille de Cléophas, la Vierge Marie fille de Joachim, et Marie Salomé fille de Salomas : ces "trois Marie" forment donc, avec leurs enfants, une Sainte Parenté de la Vierge selon une tradition du triple mariage de sainte Anne détaillée dans la Légende dorée au XIIIe siècle, et que rejettera le Concile de Trente.
Les panneaux inférieurs des lancettes, qui devaient nous présenter les donateurs dont la devise figure au tympan, ont été perdus et remplacés en 1903 par Maurice Muraire : deux anges jouant de la harpe encadrent un angelot tenant un cartouche avec cette précision édifiante : RESTAURATION OFFERTE PAR LES DAMES DE LA CONFERENCE SAINT VINCENT DE PAUL LES ENFANTS DE MARIE LES MERES CHRETIENNES.
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La partie supérieure des lancettes et le tympan reçoit un arc de triomphe tripartite portant un couronnement architectural, déclinant le vocabulaire de colonnes-candélabres cannelées à chapiteaux, de médaillons à l'antique ou florentins, d'inscriptions sur les entablements imitant le marbre, etc.
La construction privilégie une composition très frontale, dont la profondeur est faible (surtout rendu sous le cintre des arcs latéraux par de petits paysages clairs), dont les principales et rares lignes de perspective convergent sur le sommet de la main de la Vierge. Ce point focal est aussi celui vers lequel se dirige l'axe des deux sœurs de la Vierge. D'autres lignes ne respectent pas ce point de construction. La Vierge à l'enfant est aussi droite et hiératique que les colonnes qui l'entourent. Les deux Marie semblent des mannequins tournés de trois-quarts. Aucune des trois mères n'ébauche l'un de ces gestes familiers et tendres par lesquels les peintres des enluminures traitant du même thème (le Maître de Jouvenel BnF lat 3211, Fouquet dans les Heures de Chevalier) animent la scène.
Seuls les enfants introduisent un peu d'humanité dans cette verrière, et on comprend que Le Mercier ait émis l'hypothèse (non confirmée) que les trois femmes étaient des allégories de la Bienfaisance, de la Foi et de la Sagesse.
On remarquera aussi l'absence de sainte Anne.
Le caractère froid et énigmatique s'accentue à la lecture des inscriptions, qui renvoient (tout comme la devise De tout Rien) à la vanité de l'existence : rien à voir avec l'oraison des Heures d'Angers (vers 1450) : Troys seurs de noble lignage// Par ce nom Marie nommees// ...-... Vous requerra devotement.// Amen" (cf. Annexe)
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La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
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La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
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LA LANCETTE GAUCHE : MARIE JACOBÉ (OU MARIE CLEOPHAS) ET SES QUATRE ENFANTS .
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Inscription :
SVB SOLE NIL ALIVD Q[am] BENEFACERE
ET LETARI ECCLESIASTES 3° CAPITVLO
Ecclésiaste 1 Sub sole nil novi, "rien de nouveau sous le soleil".
Ecclésiaste 3:12 Et cognovi quod non esset melius nisi laetari, et facere bene in vita sua "J'ai reconnu qu'il n'y a de bonheur pour eux qu'à se réjouir et à se donner du bien-être pendant leur vie; "
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Marie Cleophas est coiffée d'un turban rejeté (maladroitement à mes yeux) très en arrière. Son manteau pourpre agrafé sur l'épaule droite et sa robe bleu-vert ne montrent aucune ornementation.
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La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
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Les quatre enfants de Marie Jacobé et de son mari Alphée : saints Simon (scie), Jacques le Mineur (bâton de foulon) Jude Thaddée (hallebarde), et Joseph le Juste — ou Barsabas— (croix).
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Comme dans l'enluminure du Maître de Jouvenel (et donc d'une manière médiévale et naïve que Fouquet évita d'imiter), les quatre enfants portent la tenue ou l'attribut qui les caractérisent dans leur vie adulte, y compris les pieds nus propres aux apôtres.
Tête de Joseph restauré anciennement. Médaillon des colonnes modernes..
La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
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Lancette centrale : La Vierge Marie et son Fils.
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Inscription :
CVNCTA SUB SOLE VANITAS ET AFLICTIO
SPIRITVS ECCLESIASTES PRIMO CAPITVLO
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Vidi cuncta quae fiunt sub sole, et ecce universa vanitas et afflictio spiritus.
"J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil; et voici, tout est vanité et poursuite du vent."
Il est difficile de comprendre pourquoi ces inscriptions ne se conforment que de façon fragmentaire au texte de la Vulgate.
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La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
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La Vierge semble tenir un objet (tige d'une fleur) entre pouce et index, mais ce dernier est absent.
Tête, médaillons et une partie de la robe restitués.
Ses monogrammes MA (restitués) sont à ses pieds.
La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
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Lancette gauche : Marie Salomé et les deux fils de Zébédée, saints Jean l'évangéliste et saint Jacques le Majeur.
Inscription :
SVPER SOLEM ET STELLAS SPECIOSOR
ST SAPIENCIA ECCLESIAST. VII. CA IO
Ce texte ne correspond à rien dans l'Ecclésiaste 7.
Voir Ecclésiaste 3:12 Et cognivi quod non esset melius nisi laetari et facere bene in vita sua "Et j'ai reconnu qu'il n'y avait rien de meilleur que de se réjouir et de bien faire durant sa vie".
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La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
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Marie Salomé est coiffé d'un turban agrémenté de colliers de perles, et elle porte une robe bleue dont le décolleté est richement souligné par des perles et des pendeloques. Elle tient un livre.
La tranche dorée du livre est obtenue par gravure à l'outil du verre coloré violet : le verrier a ôté par meulage ("gravure") le verre violet jusqu'à faire apparaître le verre blanc (de doublage), puis il a peint ce verre blanc au jaune d'argent.
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La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
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Les enfants de Marie Salomé sont les fils de Zébédée, Jean l'évangéliste et Jacques le Majeur.
Saint Jean tient la coupe de poison et Jacques porte la tenue de pèlerin (bourdon, besace, pèlerine).
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La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
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LE TYMPAN.
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Angelots tenant soit des étendards évoquant les bannières des légionnaires romains, soit des guirlandes.
Cartouche avec la devise DE TOVT RIEN.
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La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
La verrière des Trois Marie ou de la Parenté de la Vierge (Arnoult de Nimègue, vers 1510-1515), ou baie 18 de l'église de Louviers. Photo lavieb-aile.
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CONCLUSION.
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Laurence Riviale consacre les pages 149 à 158 de Le Vitrail en Normandie entre Renaissance et Réforme à "La parenté de la Vierge : l'Arbre de sainte Anne ou les Trois Marie." Ce titre de paragraphe mériterait un point d'interrogation car il expose plus de difficultés qu'il n'en résout.
En effet, les 13 verrières normandes illustrant ces deux thèmes se divisent en deux groupes : soit A. une arborescence généalogique de sainte Anne, soit B des niches d'un arc de triomphe.
A.
- Rouen, Saint-Maclou , baie 5, 1440-1450
- Evreux, baie 3, 1467-1469, dans une Vie de la Vierge
- Rouen, Saint-Vincent , baie 4, 1520-1530
- Rouen, Saint-Nicaise
- Rouen, Saint-Eloi
- Darnétal (Seine-Maritime) Saint-Ouen de Longpaon , 1555. Arbre à 14 pers.
- Houppeville (Seine-Maritime), baie 2, vers 1544
B.
- Louviers baie 18 ,1510-1515
- Serquigny , baie 5, 1561
Dans la verrière de Serquigny (Eure) , Marie Salomé et Marie Jacobé encadrent sainte Anne, et non la Vierge. Mais le vitrail est désigné sous le terme des Trois Marie, et peut-être Anne était-elle accompagnée initialement de la petite Marie?
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En définitive, la baie 18 de Louviers est la seule à mériter le titre de Trois Marie, la seule à ne pas présenter sainte Anne. D'autre part, cette singularité s'accompagne d'un corpus d'inscription parfaitement étranger au thème de la Sainte Parenté, ou de toute invocation. Enfin, elle n'est pas intégrée à un cycle de la Vie de la Vierge.
Au contraire, elle fait suite à deux verrières des Apparitions du Christ ressuscité.
Or, dans ce cycle, on remarque l' absence d'une scène absolument majeure, celle de l'apparition des anges aux trois saintes femmes, au Sépulcre. Cette scène est cruciale car c'est sur la constatation du tombeau vide et sur les paroles des anges que se fonde la certitude de la Résurrection, conforté par les apparitions qui vont suivre, à Marie, à Marie Madeleine, aux Apôtres, à Pierre, à Thomas, aux Apôtres au Cénacle, avant l'Ascension devant les Apôtres. Cette scène est majeure car c'est sur elle que repose la liturgie, la liturgie chantée et la dramaturgie liturgique de la Semaine Pascale. C'est elle qui donne son nom à l'Office du Saint-Sépulcre suivant l'usage de Rouen, et de sa musique à notation carrée (Graduale rhotomagense BnF latin 904 du XIIIe siècle), c'est elle qui est l'objet de la dramaturgie "des trois Marie" (Coussemaker p.256), elle qui fait l'objet d'une très riche iconographie.
Seulement, les trois Marie sont alors Marie-Madeleine, Marie Jacobé et Marie Salomé.
Laurence Riviale présente longuement ce culte des trois Marie autour de Rouen (page 156-158) et évoque plus rapidement, à Louviers, "une confusion entre deux cultes" celui des Trois Marie découvrant le tombeau vide, et celui des trois Marie filles de sainte Anne. Il faut reconnaître que ces deux cultes sont bien proches.
L'absence de la scène des saintes femmes au Sépulcre dans le cycle de la Résurrection à Louviers me semble être un argument très fort pour suspecter cette "confusion". Les commanditaires auraient-ils commandé une verrière "des trois Marie" du tombeau vide, et le peintre-verrier Arnoult de Nimègue aurait-il réalisé ces "Trois Marie" de la Parenté dans une incompréhension telle qu'il aurait peint un tableau très neutre et désincarné des saintes et y aurait associé des considérations sur l'Ecclésiaste ?
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ANNEXE. L'oraison aux Trois Marie.
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Pierre Rezeau, Les prières en français adressées aux saints dans les Livres d’Heures du xive au xve siècle.
https://books.openedition.org/pup/2835?lang=fr
Après une invocation aux Trois Maries, qui rappelle leur ascendance et leur parenté avec le Christ (str. l et 2), l’auteur s’adresse à chacune d’elles : la Vierge Marie (str. 3), Marie-Cléophas (str. 4), Marie-Salomé (str. 5) et dit la confiance que doit avoir en elle le chrétien (str. 6). Mettant à part la Vierge, il détaille ensuite les cas où leur intercession est particulièrement efficace (str. 7 et 8), pour terminer par un appel à leur patronage (str. 9).
1. O trois seurs de noble lignage,
par ce nom Maries nommées,
chascun doibt a vous de courage
recourir pour vos renommées.
Jhesucrist vous a tant amees
que de vous trois a voulu faire
ses mere et antes tant famées
qu’on ne pourrait vos sains noms traire,
2 Vous estes, selon l’Escripture,
de saint Abraham descendues
et par degrés selon nature
des roys et des prestres venues.
Oncques ne fu dessoubz les nues
lignie plus digne de mémoire :
filles estes de Anne tenues,
de trois maris comme on doibt croire.
3. Marie, roÿne des cieulx
l’ainsnee, eustes Joachim pere,
Joseph espous et Jhesus fieulx,
sans corruption ne misère.
Nul ne pourroit ce hault mistere
assés prendre, tant soit soubtilz,
car sur nature, vierge et mere,
enfantastes Dieu vostre filz.
4. Vous secunde Marie, fille
Cleophas et d’Alphëus femme,
quatre filz selon l’Euvangille
eustes de luy, très sainte dame :
Joseph, le juste sans diffame,
saint Jaques le mineur, saint Jude
et Symon, qui de corps et d’ame
ont mis en Dieu tout leur estude.
5. Salomas, vous, tierce Marie,
eustes pere, et en mariage
Zebedee, en qui compaignie
enfantastes selon l’usage,
saint Jaques le grant, et, le sage
euvangeliste Jehan après ;
bien eureux est tel saint lignage,
qui est de Jhesucrist tant prés.
6. Puis que de Jhesus, roy céleste,
vous estes doncques tant prochains,
je tien pour certain que requeste
ne vous refuse entre aultres sains,
pour quoy doivent pécheurs humains
vous servir en grant confiance.
Les malades rendes tous sains,
qui en vous ont bonne espérance.
7. Quant est a vous, c’est une mer,
mere de Dieu, pour ce m’en tais.
Si doibt on vos seurs reclamer
pour leurs miracles et beaux fais
qu’elles montrent sur clers et lais
qui du cueur les veullent requerre :
aveugles, fiévreux, contrefais
guérissent, aussi de la pierre.
8. De ces choses a leur trespas
leur fist Dieu ottroy, don et grâce,
et de plusieurs qu’on ne peult pas
dire, qui n’auroit grant espace. 60
Entre aultres, femme ne trespasse,
grosse d’enfant, qui les reclame
de bon cueur, mais naist tout en place
par l’ottroi de chascune dame.
9. O miroir de virginité
et de l’estat de mariage
et aussi de viduité,
sainctes dames de hault parage,
impetrés a l’umain lignage
paix en tous lieux generalment
et pardon a qui de courage
vous requerra dévotement.
Amen.
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Voir aussi :
— PARIS, Bibl. nat., lat. 1147, f. 8-9v°
— Heures des trois Maries, (1529) : f. 14v° (PARIS, Bibl. nat., Rés. H 1010
— Jean de Venette Bnf fr 23434
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9063129q/f9.image
— Jean de Venette Bnf fr 12468
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9061520r.image
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SOURCES ET LIENS.
SOURCES ET LIENS.
— Office du tourisme Seine-Eure :
— BLONDEAU (Caroline), 2014, Le vitrail à Rouen 1450-1530, Presses Universitaires de Rennes .
— CALLIAS BEY (Martine), CHAUSSÉ (Véronique), GATOUILLAT (Françoise), HÉROLD (Michel), 2001,"Les vitraux de Haute-Normandie", Corpus vitrearum Recensement VI, CNRS éditions, page 171
— COUSSEMAKER (E. de ) . Drames liturgiques du moyen âge, p. 195-200; d'après le ms. d'Orléans et avec transcription de la musique.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9061520r/f3.image
— GASTÉ (A.), 1893 , les Drames liturgiques de la cathédrale de Rouen, dans les Annales de la Faculté des lettres de Caen, 4e année, n° 1 et 2; réimpr. avec additions dans la Revue catholique de Normandie, et tiré à part (Évreux, 1893, in-8°) ;, p. 65-68; d'après le ms. Y. 110 et Y108 de Rouen.
http://resolver.sub.uni-goettingen.de/purl?PPN526027401
https://gdz.sub.uni-goettingen.de/id/PPN526027401?tify={%22pages%22:[71],%22panX%22:0.176,%22panY%22:0.811,%22view%22:%22info%22,%22zoom%22:0.347}
— HÉROLD (Michel),1995, Louviers, église Notre-Dame, les verrières, [16] p. Édition : [Rouen] : Connaissance du patrimoine de Haute-Normandie , cop. 1995, France. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Commission régionale Haute-Normandie Illustrateur : Thierry Leroy (photographe) .
— LAFOND Jean, 1963, Les vitraux de Notre-Dame de Louviers, par Jean Lafond . Louviers et Pont-de-l'Arche. Nouvelles de l'Eure, n° 15, Pâques 1963. (pp. 42-47). Non consulté.
— LAFOND (Jean), 1930, Arnoult de Nimègue et son œuvre : études sur l'art vitrail en Normandie, Rouen, Lecerf, , 20p.
— LE MERCIER (E.) Monographie de l'église Notre-Dame de Louviers Ch. Hérissey et fils, 1906 - 212 pages
— MÂLE (Emile), 1898, L'art religieux du XIIIe siècle en France: étude sur l'iconographie du Moyen -Age...
— REYNAUD Nicole, 2006, Jean Fouquet, Les Heures d'Etienne Chevalier, Ed Faton.
.— RIVIALE (Laurence), 2007, Le vitrail en Normandie entre Renaissance et Réforme (1517-1596), Presses Universitaire de Rennes.
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