Les vitraux de la cathédrale de Rouen III. Les baies 34 (panneaux de la Vie de saint Jean-Baptiste, 1499) et 36 (Pentecôte, offerte par Jean de Nonancourt, vers 1340-1350) au transept sud.
.
.
Voir :
.
Voir aussi sur la cathédrale de Rouen :
-
Les vitraux de la cathédrale de Rouen I. La baie n°30 ou Panégyrique de saint Romain (1521).
-
Les vitraux de la cathédrale de Rouen. II. La baie 32 dite des "Saint-Innocents" (1448-1450).
.
Voir sur Rouen :
.
.
PRÉSENTATION.
La cathédrale possède 52 fenêtres dont 12 du XIIIe siècle, 6 du XIVe siècle, 22 du XVe siècle, 3 du XVIe siècle, 9 du XXe siècle.
XIIIe siècle
Baies n° 9 et n°11 Verrière de la vie de saint Joseph vers 1220-1230
Baie n°10 Verrière de la Passion vers 1220-1230
Baie n° 12 Verrière du Bon Samaritain vers 1220-1230
Baie n°13 Verrière composite avec fragments des Sept Dormants d'Éphèse et de saint Pierre vers 1204
Baie n°14 Verrière composite : vie des saints Pierre et Paul, martyre des saints André et Barthélémy vers 1220-1230 et 1er quart XIVe
Baie n°23 Verrière de la vie de saint Julien l'hospitalier vers 1220-1230
Baie n°27 vers 1230
Baie n°29 vers 1230
Baie n°31, vers 1230
Baie n°39 Verrière de saint Vincent et saint Laurent XIIIe siècle
Baie n°53 Verrière composite : « Belles Verrières » et Noli me tangere vers 1200 et 1210, 1220-1230 et 1468-1469 (Guillaume Barbe)
Baie n°51 Verrière composite : « Belles Verrières » et la Passion du Christ vers 1200-1210, 1220-1230 et 1468-1469
Baie 121, Rose des Libraires, vers 1280
XIVe siècle
Baie n° 3, Chapelle de la Vierge Verrière composite avec écus de Guillaume de Flavacourt vers 1310
Baie n° 5, Chapelle de la Vierge. Verrière des saints Ouen, Ansbert, Godard et Filleul vers 1310.
Baie n° 6, Chapelle de la Vierge. Verrière des saints Romain, Évode, Victrice et Innocent vers 1310
Baie n° 7, Chapelle de la Vierge. Verrière des saints Marcellin, Maurice, Silvestre et Eusèbe vers1310
Baie n° 8, Chapelle de la Vierge. Verrière du martyre de saint Prétextat et saints Maurille, Rémy et Hugues vers 1310
Baie n°36 : Vitrail de la Pentecôte offert par Jean de Nonancourt. 1340-1350
.
XVe siècle
Baie n° 1, Chapelle de la Vierge. Verrière de l'Annonciation, saints Michel et Jacques le Majeur. Guillaume Barbe vers 1470
Baie n° 2, Chapelle de la Vierge. Verrière des saintes Catherine, Madeleine, saints Pierre et Jean-Baptiste . Guillaume Barbe vers 1470
Baie n° 32 :Vitrail des Saint-Innocents Guillaume Le Fève et Confrérie des saints Innocents 1449-1450
Baie n°41 , Verrière des saints Claire, évêque, Madeleine et Éducation de la Vierge, 1465, Guillaume Barbe
Baie n°43 Verrière des saints Marguerite, Madeleine, Nicolas et Vierge à l'Enfant 1468-1469 Guillaume Barbe
baie n°44 Verrière composite : Vierge à l'Enfant couronnée, saints Simon, Nicolas et sainte Catherine 1466-1467.
Baie n°47 Verrière des saints Éloi, Laurent, Jean-Baptiste et Nicolas 1468-1469 Guillaume Barbe
Baie n°49 Verrière des saints Michel, Julien, Guillaume et Geneviève 1468-1469 Guillaume Barbe
Baie n°51 Verrière composite : « Belles Verrières » et la Passion du Christ vers 1200-1210, 1220-1230 et 1468-1469 Guillaume Barbe
Baie n°55 : Vitrail de saint Victor, Vierge à l'Enfant, sainte Agathe et saint Sébastien 1468-1469 Guillaume Barbe
Baies 100, 101 et 102, fenêtres hautes du choeur vers 1430
Baie 105, Saint Pierre. 1433
.
XVIe siècle
Baie n°28 Vie de Saint-Romain, Jean Barbe ? 1511-1512 et 1521
Baie n° 30 Panégyrique de Saint-Romain, 1521
Baie n° 34, Vie de saint Jean-Baptiste, 1499
Baie n°54 Verrière des apôtres du Credo apostolique (saints Pierre et André), le Christ et saint Pierre marchent sur les flots vers 1500
Baie n°56 Verrière des apôtres du Credo apostolique (saints Jacques le Majeur et Jean l'Évangéliste), l'Ascension vers 1500
Baie n°58 Verrière de l'Incrédulité de saint Thomas vers 1500
Baie n°62 Verrière des apôtres du Credo apostolique (saints Paul et Jude), le Christ et les pèlerins d'Emmaüs vers 1500
XXe siècle
Vitraux des Chapelles de la nef
Chapelle Ste Jeanne d'Arc
.
.
Toutes les informations techniques proviennent du volume VI du Corpus Vitrearum.
.
.
La baie 34 (transept sud). Fin du XVIe siècle [1499] et Flandrin-Latron 1960.
.
.
La baie 34 mesure 9 m de haut et 1,95 m. de large. Elle ne comporte qu'une seule lancette. Dans une vitrerie de complément de S. Flandrin-Latron ont été incorporés deux panneaux de la vie de saint Jean-Baptiste provenant de l'église Saint-Laurent de Rouen et donnés par Eustache de la Quérière au XIXe siècle, après les avoir achetés en 1811. Ils avaient été d'abord placés en baie 24.
Note. E. de la Quérière est l'historien de l'église Saint-Laurent, actuellement Musée Le Secq des Tournelles. Il écrit dans sa monographie sur Saint-Laurent :
"Les premières vitres, aux couleurs éclatantes, occupaient les fenêtres. Les premières vitres avaient été posées en 1464. D'autres dataient de 1499 et 1520. Une de ces vitres peintes, représentant la vie de saint Jean-Baptiste (elle décorait la chapelle Saint-Jean, collatéral sud), fut acquises, il y a 54 ans, par l'auteur de cette monographie qui en fit don à l'église cathédrale. Mais, par une conséquence de l’incurie de ceux à qui avait été confié ce vitrail, on ne put en employer que deux panneaux qui furent placés à la chapelle des Fonts, dite du Saint-Esprit . » Eustache de La Quérière, 1866, "Saint-Laurent, église paroissiale de Rouen, supprimée en 1791"
Voir :
- https://www.patrimoine-histoire.fr/Patrimoine/Rouen/Rouen-Musee-Le-Secq-des-Tournelles.htm
- https://www.rouen-histoire.com/Eglises_Rouen/St-Laurent.htm
.
.
.
Au registre inférieur : le Baptême des Juifs par Jean-Baptiste dans le Jourdain.
.
Ce panneau assez bien conservé mesure 1 m sur 0,50m et comprend des émaux et des pièces peintes à la sanguine.
Jean-Baptiste, pieds nus, vêtu de sa tunique en poils de chameau, verse l'eau du Jourdain sur la tête de trois hommes nus qui sont dans le fleuve. En aval, deux hommes habillés semblent s'y laver, et sur la rive en contre-bas des hommes ou femmes (dont la moitié haute est coupée par le fragment) se rhabillent.
Au bord inférieur se voit un pont à trois arches.
.
.
.
Au registre supérieur : saint Jean-Baptiste conduit en prison.
.
Ce panneau assez bien conservé mesure 30 cm sur 0,50m ; il est incomplet ; le saint a peut-être été restauré en 1840.
Jean-Baptiste, dans la même tenue vestimentaire, mais bras liés, est mené en prison par deux soldats. L'un porte une armure, un casque à plumet, une tunique, et une épée (un officier). L'autre n'a ni cuirasse ni casque, mais une épée, son chapeau conique rouge peut le désigner comme un Juif.
.
.
.
.
La baie 36 (transept sud) : verrière de la Pentecôte. Vers 1340-1350 ; début du XXe ; 1956-1957.
.
.
Cette baie d'une seule lancette mesure 9 m. de haut et 1,20 m. de large. C'est une verrière composite où des panneaux anciens provenant des baies 24 et 26 éclairant l'ancienne chapelle du Saint-Esprit ont été placés en 1955-1956. Ces verrières avaient été offertes par Jean de Nonancourt, archidiacre du Vexin français, qui y figure en donateur sous une inscription nominative.
Les panneaux anciens sont placés dans une vitrerie losangée par Jean-Jacques Gruber.
.
.
.
La Pentecôte. Maître de la légende de Saint-Nicaise ?, 1340-1350.
.
Sous un dais à 3 arcatures, 3 gables, arc-boutants et pinacles, la colombe du Saint-Esprit plane au dessus des apôtres sur un fond damassé bleu ("à rameaux enlevés"), entre deux anges qui lancent leur encensoir en volant. La pointe du bec de l'oiseau forme le sommet d'un dôme rouge détachant les langues de feu sur la tête des apôtres, tous barbus sauf Jean. Pierre se reconnaît à sont "toupet". Les robes sont de verres de six couleurs différentes. Trois têtes sont restaurées : deux à gauche et une à droite.
Bordure : alternance de niches et de baies à deux lancettes. Des anges, dont l'un qui joue d'une lyre. Un archevêque ; un prophète.
Note : mon cliché ne montre pas la statuette du Christ en majesté représenté au dessus du gable central. Ni les masque feuilles en fermaillet de l'amortissement.
.
Cette Pentecôte est attribuée au maître de la Légende de Saint-Nicaise auteur de la verrière éponyme (baie 18) de l'église Saint-Ouen de Rouen (Jean Lafond).
Les bordures à petits personnages ont été subtilisés par Jules Boulanger au début du XXe siècle (1909-1918), et refaites à l'identique, sauf un fragment qui subsiste à gauche du donateur.
.
.
.
Deux clercs agenouillés mains jointes.
.
Les personnages se détachent sur un fond de grisaille losangé à motifs de feuilles de chêne et glands. Grisaille et jaune d'argent, sauf plusieurs pièces (col manchettes, bas de robe) en verre bleu, ce qui pourrait être un indice pour reconnaître ici des chanoines.
Bordures : deux personnages dont un portant la mitre et bénissant.
.
.
.
L'archidiacre Jean de Nonancourt.
.
Le clerc, qui est tonsuré, est représenté agenouillé, mains jointes, dans l'attitude du donateur, de quasi profil tourné vers sa droite, le regard levé vers la Vierge ou le Christ qu'il vénère (dans la disposition initiale du vitrail). Il porte un manteau de cérémonie bleu à motifs damassés en rouelles, des parements (manches, bas de la robe) violets, au dessus d'une robe blanche. Une inscription en lettres gothiques en latin révèle son identité.
.
Jean de Nonancourt était archidiacre du Vexin français, ce territoire du diocèse de Rouen étant l'un de ses six archidiaconés avec le Grand archidiaconé, le Grand Caux, le Petit Caux, Eu, et le Vexin Normand.
"Travaillant à l'origine partout où l'on réclamait sa présence, l'archidiacre en vint à être associé à des territoires spécifiques, appelés archidiaconés. Les pouvoirs généraux des archidiacres étaient à la fois d'ordre administratif et judiciaire. Les archidiacres étaient responsables des prêtres de paroisse placés sous leur juridiction et avaient à inspecter les objets liturgiques tels que vêtements, vases et livres : ils étaient responsables de la distribution des Saintes Huiles et du Saint Chrême ; ils avaient juridiction sur les doyens ruraux ; enfin ils devaient garder le célibat. Ils semblent avoir le plus communément jugé des contestations relatives aux charges ecclésiastiques ou à des églises du ressort de leur archidiaconé, quoique, à d'autres moments, ils aient été délégués comme juges par le roi ou le pape ."
Je trouve ce personnage mentionné ici :
Fol. 256, v°. – Abandon par « Yon, seigneur de Garencières, chevalier, » au chapitre cathédral d'Évreux, de tous ses droits au patronage de l'église de Garencières. Ce bénéfice était alors vacant par la résignation qu'en avait faite Jean de Nonancourt, prêtre, entre les mains de l'évêque d'Évreux. (7 janvier 1300, n. s.)
Il est nommé dans les bulles de Clément VI dans la fondation du collège des Clémentines de Rouen.
Sur une famille de Nonancourt, voir :
https://gw.geneanet.org/pierfit?lang=fr&n=de+la+famille+de+nonancourt&oc=0&p=histoire
Mais, en me référant au cardinal Nicolas de Nonancourt , qui est figuré en donateur sur un vitrail de la cathédrale d'Évreux, la baie 16, je peux penser qu'ici aussi, ce Jean de Nonancourt signale seulement par son nom son origine géographique, plutôt que familiale.
.
Si je déchiffre l'inscription, je lis :
[---] IOHAÑES . DE . NONÃCURIA.
Le premier mot est certainement un titre. Je propose MAGISMAGISTER. MAGISTER.
Nona Curia est le nom latin de Nonancourt, Eure (par ex : Beata Magdalena de-) mais on trouve aussi NONANCURIA, NONANCORT, NONANCURTIS, NONENCORS (Auguste Le Prevost, Dictionnaire...) et même NONE IN CURIA (ici). Le tilde sur le A dans l'inscription correspond à la graphie NONANCURIA.
.
Je suis alors dirigé vers ce texte du 30 juin 1348, sujet d'un épreuve écrite de l'Ecole des chartes de 1868: l'archidiacre du Vexin français, en latin Vulgassini Francie, y est nommé, et qualifié "d'Honorable et discret homme". L'archidiacre accompagne Jean du Prato, l'évêque d'Evreux (1328-1333) qui figure sur la baie 200 des vitraux de la cathédrale d'Evreux vers 1330 , et qui devint ensuite recteur de l'une des portions de l'église Notre-Dame de Louviers (Beate Marie De Loco Veris).
https://www.lavieb-aile.com/2019/11/les-vitraux-du-xive-siecle-de-la-cathedrale-d-evreux.ix.la-baie-200-v.1330-1333-offerte-par-l-eveque-jean-du-prat.html
Le texte est extrait du Cartulaire de Louviers. Jean du Prato, délégué pour la viconté de Pont-de-l'Arche, des commissaires généraux chargés de percevoir les deniers de l'emprunt autorisé pour le duc de Normandie dans cette province, donne quittance à Robert de Quevilly, receveur du Bailliage de Rouen, de douze livres à lui dues pour ses honoraires à l'occasion de sa recette.
.
« Omnibus hec visuris, offlcialis Rothomagensis, salutem in Domino. Notum facimus quod in nostra presencia constitutus vir discretus magister Johannes de Prato, rector alterius portionis ecclesie Beate Marie de Loco Veris, a venerabili et discreto viro magistro Johanne de Nonancuria, archidiacono Vulgassini Francie in ecclesia Rothomagensi, ac nobili viro domino Johanne de Mellomonte, milite, et provido viro Johanne Fabri, cive Rothomagensi, generalibus deputatis1 in bailivia Rothomagensi deputatis mutui concessi serenissimo principi domino duci Normannie, commissarius in vicecomitatu Pontis Arche quoad collectionem mutui supradicti, recognovit et confessus fuit se habuisse et récépissé in pecuniis numeratis, per manum Roberti de Quevilly, receptoris baillivie Rothomagensis, duodecim libras turonensium pro stipendiis ipsius Johannis ratione mutui * supradicti, super qua pecunie summa dictus Johannes omnes et singulos quorum intéresse posset quitavit, omnino renuncians excepcioni pecunie non recepte et non numerate. Datum anno Domini M° CCC° XL VIII, die veneris post nativitatem beati Johannis Baptiste. TURVILLA. VIII d. Mutui. »
.
Puis j'accède à cette fiche qui procure de précieux renseignements :
http://studium-parisiense.univ-paris1.fr/individus/53113-johannesdenonacuria
Maître Jean de Nonancourt (alias Jean Fessier) fut conseiller-clerc au parlement de Paris en 1319, cité au pénitencier de Rouen en 1329, chanoine de Rouen de 1308 à 1349, archidiacre du Vexin français de 1340 à 1349.
Jean de Nonancourt a fondé une chapellenie de Marie-Madeleine en la chapelle Saint-Jean-dans-la-Nef du collatéral nord de la cathédrale de Rouen, où se trouve l'une des "Belles Verrières", la baie 53. (Blondeau p. 86).
.
.
Dans la bordure : deux anges.
.
.
.
Panneau de grisaille losangée (XIVe siècle) à motifs de glands et de feuilles de chêne sertis dans une bordure du XVe siècle à points de couleur et feuilles d'acanthe en grisaille et jaune d'argent.
.
Au centre du panneau, à la place du ferraillet d'origine, un médaillon du XVe siècle de 21 cm de diamètre représente saint Nicolas et saint Jean-Baptiste (qui tient l'agneau sur le bras droit).
Sur le panneau inférieur, de même composition, le médaillon porte le monogramme marial.
.
.
.
Soubassement : inscription de 1956.
.
.
SOURCES ET LIENS.
.
— BLONDEAU (Caroline), 2014, Le vitrail à Rouen 1450-1530, "L"ecu de voirre". Corpus Vitrearum, Presses universitaires de Rennes, page 86.
— CALLIAS-BEY (Martine), CHAUSSÉ (Véronique), GATOUILLAT (Françoise), HÉROLD ( Michel) 2001, Les vitraux de Haute-Normandie - Corpus vitrearum, Paris, CNRS éditions / Éditions du Patrimoine, coll. « Recensement des vitraux anciens de la France - volume VI », 2001, 495 p. (ISBN 2-271-05548-2 et 2-85822-314-9), p. 332-353.
— LE MAHO, Jacques ; CARMENT-LANFRY, Anne-Marie. La Cathédrale Notre-Dame de Rouen. Nouvelle édition [en ligne]. Mont-Saint-Aignan : Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2010 (généré le 24 mars 2022). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/purh/3779>. ISBN : 9791024010670. DOI : https://doi.org/10.4000/books.purh.3779.
https://books.openedition.org/purh/3788#tocto2n1
— TANGUY (Jacques)
http://www.rouen-histoire.com/Vitraux/Transept_S/Fen36.htm
.
Non consultés :
Martine Callias Bey, Rouen, Cathédrale Notre-Dame, Les verrières, Itinéraires de patrimoine no 25, Rouen, 1993.
Anne-Marie Carment-Lanfry, La Cathédrale Notre-Dame de Rouen, Connaître Rouen, Rouen, 1977.
Louis Grodecki, Les Vitraux, dans n° spécial des Monuments historiques de la France, 1956, 2, p. 101-110.
Jean Lafond, « Le vitrail en Normandie de 1250 à 1300 », Bulletin monumental., t. 111, p. 317-358.
Jean Lafond, Le Commerce des vitraux étrangers anciens en Angleterre, au xviiie et au xixe siècles, RSSHN, 1960, p. 5-15.
Eustache-Hyacinthe Langlois, Mémoire sur la peinture sur verre, Rouen, 1823.
Eustache-Hyacinthe Langlois, Essai sur la peinture sur verre, Rouen, 1832.
Yves Lescroart, La Cathédrale Notre-Dame de Rouen, Paris, Éditions du Patrimoine, coll. « Cathédrales de France », 2000, 96 p., p. 66-77
Armand Loisel et Jean Lafond, La Cathédrale de Rouen, Paris, 1924.
Monum, Les Vitraux de Haute-Normandie, éd. du patrimoine, Paris, 2001.
Françoise Perrot, Le vitrail à Rouen, Connaître Rouen, t. II, Rouen 1972.
Alfred Rudolf et Eugène Levasseur, Les Vitraux de la cathédrale de Rouen, Rouen, s.d.
— RITTER (Georges), 1926, Les Vitraux de la cathédrale de Rouen, XIIIe, XIVe, XVe et XVIe siècles. Reproductions en héliotypie, publiées avec une introduction historique et des notices iconographiques. Non consulté.
— WIKIPEDIA
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vitraux_de_la_cath%C3%A9drale_de_Rouen
https://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Baie_36_-_cath%C3%A9drale_Notre-Dame_de_Rouen?uselang=fr
.