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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 03:36

Zoonymie (étude du nom)  du papillon la Thécla du Bouleau Thecla betulae Linné, 1758.


La zoonymie (du grec ζῷον, zôon, animal et ónoma, ὄνομα, nom) est la science diachronique  qui étudie les noms d'animaux, ou zoonymes. Elle se propose de rechercher leur signification, leur étymologie, leur évolution et leur impact sur les sociétés (biohistoire). Avec l'anthroponymie (étude des noms de personnes), et la toponymie (étude des noms de lieux) elle appartient à l'onomastique (étude des noms propres).

 

Elle se distingue donc de la simple étymologie, recherche du « vrai sens », de l'origine formelle et sémantique d'une unité lexicale du nom.

 

 

 

Résumé. 

— Thecla : ce nom de genre créé par Fabricius en 1807 n'est certainement pas une référence à la vierge et martyre du 1er siècle sainte Thècle, les noms de saint ayant été écartés par Linné des noms génériques ; le rapprochement avec les 49 noms de genre créés dans la même publication de 1807, dont 18 épithètes de Vénus et 19 noms de femmes de l'antiquité, fait suggérer d'y voir soit Théocléa prophétesse de Delphes et première philosophe grecque (comme Pamphila et Hipparchia, dont on retrouve le nom parmi les genres de Fabricius), soit Thekla, jeune fiancée malheureuse de la trilogie Der Wallenstein de Schiller, et dont Schubert a mis en musique les poèmes. Ce prénom féminin grec, mais encore en usage peut aussi marquer le souvenir d'une contemporaine de Fabricius, de même qu'en ornithologie le Cochevis de Thékla Galerida theklae doit son nom Thekla Brehm, la fille de son découvreur.

— betulae : du latin betula, "le bouleau" ; ce papillon fait partie des petits "plebeii" (les "ploucs") que Linné désigne par leur plante-hôte, comme rubi, spini, quercus, etc. Mais alors que la plante-hôte réelle de cette espèce, le Prunellier, avait été identifiée par Éléazar Albin en 1720, puis à nouveau par Roesel en 1746 et Benjamin Wilkes en 1747,  Linné, qui a observé cette espèce dans les forêts riches en bouleaux du Småland en Suède, donne une plante erronée. A sa décharge, la chenille est difficile à découvrir. L'autorité de Linné est telle que son erreur fut répétée au XIXe siécle (Duponchel 1849), et Oberthür en 1910 évoquait encore de nombreux arbres plutôt que le prunellier. Gérard Luquet l'affirmait encore en 1986 pour justifier son nom vernaculaire.

— Les premiers noms vernaculaires de ce papillon furent ceux des anglais Pétiver, Albin et Wilkes entre 1704 et 1747 : "The Brown Hairstreak". En 1762, Geoffroy créait le nom "Le Porte-queue fauve à deux bandes blanches", modifié en 1779 par Engramelle en "Le Porte-queue à bandes fauves", qui était encore en usage au XXe siècle. Godart choisit "Le Polyommate du Bouleau" transcrit de son nom scientifique. "Le (sic) Thécla du Bouleau" apparaît en 1869, et reste utilisé ponctuellement.  En 1986, Gérard Chr. Luquet écarte le nom d'Engramelle, jugé trop long, et le remplace par "La Thécla du Bouleau", transcrit du nom scientifique et entérinant le lien avec le Bouleau comme plante-hôte. En 2013, Perrein proposait "La Thécla orangée", qui se dégage de cette difficulté.

Thecla betulae fut représenté la première fois par Hoefnagel en 1630, décrit et nommé la première fois par Pétiver en 1704 avec ses deux formes sexuelles. Sa chenille fut décrite et illustrée par E. Albin en 1720, qui identifie aussi le Prunellier comme plante-hôte. Roesel en 1746 et Wilkes en 1747 décrivent et illustrent la chrysalide. Les œufs, connus de W.Dale 1890 furent photographiés et minutieusement décrits par W. Tutt en 1910. Enfin la répartition, très sous-estimée en raison des mœurs des papillons, qui volent ou restent posés à la cime des grands arbres, se révèle presque ubiquitaire depuis le XXIe siècle, où une recherche des œufs ou le battage systématique des prunelliers révélant les larves, sont pratiqués pour la réalisation d'atlas régionaux.


               I. Nom scientifique.


1. Famille et sous-famille.

a) Famille des Lycaenidae, William Elford Leach, 1815. Les Lycènes.

       Leach, William Elford, 1790-1836  "Insecta" pp. 329-336."Entomology". pp 646-747 in D. Brewster éditeur, Brewster's Encyclopaedia Edinburgh, [Edinburgh, volume 9, 1, 04/1815 pp. 57-172  : selon Sedborn 1937] [Philadelphia, E. Parker,1816? selon BHL Library]  page 718. [ Article publié anonymement et attribué à Leach, qui avait annoté son propre manuscrit]

 

La famille Lycaenidae tient son nom du genre Lycaena de Fabricius (1807). Elle comprend les Blues ou Azurés, les Coppers ou Cuivrés et les Hairstreaks ou Thécla, et nos Argus, soit les sous-familles des  Polyommatinae Swainson, 1827, Lycaeninae [Leach, 1815] et Theclinae Butler 1869.


b) Sous-famille des Theclinae Butler, 1869 : les Thèclas ou Thècles et les Faux-Cuivrés.

Les Theclinés se distinguent par la présence d'une courte queue sur les ailes postérieures. Ils portent le nom de Hairstreaks ["cheveux-stries] en anglais, en raison (W. Dale) des lignes fines qui traversent la face inférieure de leurs ailes.

Elle comprend trois tribus en France :

  • Tribu des Tomarini Eliot, 1973 (Genre Tomares ).
  • Tribu des Theclini Butler, 1869 (Genres Thecla, Quercusia et Laeosopis).
  • Tribu des Eumaeini Doubleday, 1847.

 

 

 

    

2. Nom de genre : Thecla Fabricius, 1807.

 

a) Description originale :

Thecla, Johan Christian Fabricius 1807  "Die Neueste Gattungs-Eintheilung der Schmetterlinge aus den Linneischen Gattungen Papilio und Sphinges""Nach Fabricii systema glossatorum Tom 1" , in Johann Karl Wilhelm Illiger*, Magazin für Insektenkunde, Karl Reichard Braunschweig [Brunswick] (6) page 286 n°35 . 

 

— Type spécifique: Papilio betulae Linné déterminé par désignation postérieure par Swainson 1821.

— Description :

 Taster lang, dreigliedrig : zweites Glied länger gefranzt, drittes walzenförmig, nakkt. Fühler nach aussen dikker. (Beine gleich, vollständig). Hesperia Betulae, Spini, Quercus, 8 Art.

— Ce genre renferme une seule espèce en France (T. betulae), et trois espèces au total, T. betulina en Chine et Corée, et T. Ohyai.

 

b) caractéristiques.

— En 1821, Swainson reprend le genre de Fabricius et en donne une nouvelle description dans Zool. Illustr. (2) 482 page 26  Pl 69: 

Antennae ending in a lengthened, compressed, and obtuse club Palpi excerted, approximating, covered with scales, but without hairs, the last joint naked, slender, acute. Eyes semi-circular. Anterior wings trigonal, the hinter dentated, generally tailed, with an obtuse concave lobe at their anal angle, which is generally in motion when the insect is at rest. Thorax strong ; body slender.

-Trad. Antennes se terminant par une massue allongée, étroite et pointue. Palpes [proéminentes?], couvertes d'écailles, mais sans poils, le dernier article nu, mince, pointu. Yeux semi-circulaires. Aile antérieure triangulaire, l'aile postérieure dentelée , généralement dotée d'une queue, avec un lobe concave et obtus à leur angle anal, qui est généralement en mouvement lorsque l'insecte est au repos. Thorax fort; corps svelte.

 

 


Origine et signification du nom thecla.

 


— W. Dale 1890 p. 37 :

Thecla, a Virgin and Martyr. Butler's lives of the Saints, IX, 286.

-Trad. Thecla, Vierge et Martyre. Butler, Livre des Saints, IX : 286.

— Ramann (1870-1876) page 22 :

ist ein Frauenname, der aus der deutschen Sprache stammt, denn bei den Cheruskern kommt dieser Name schon vor. In den Alten Sprachen finden wir denselben nicht. 

-Trad. : Est le nom d'une femme  qui vient de la langue allemande, car il était déjà connu chez les Cherusker [Confédération tribale de l'ancienne Germanie]. Dans les langues classiques, nous ne pouvons pas les trouver.

— Spannert (1888) page 22 :

Altgriechischer Frauenname, noch in der Jetztzeit ebenso gebräuchlich.

-Trad. :Ancien nom féminin grec, encore utilisé à notre époque.

— Arnold Spuler (1903-1908) page 52 : 

Aus dem Griechischen stammender Frauenname.

-Trad. Prénom féminin d'origine grecque.

— L. Glaser (1887) page 116:

"Vorteffliche", altdeutscher Name, griech. θεάκαλή, schöne Göttin ?

—  A.M. Emmet (1991) 

le nom d'une vierge et martyre commémorée par l'église grecque orthodoxe. Fabricius était plus enclin que la plupart des autres entomologistes à puiser pour la sources de ses noms, dans  des personnages  historiques ou littéraires  en dehors de la période classique, comme par exemple grotiana et Vanessa. [grotiana honore la mémoire de Hugo Grotius (1583-1645), juriste des Pays-Bas ; Vanessa reprend le nom d'une héroïne de Swift dans un poème de 1713]

— Hans A. Hürter (1998):

 Cet auteur ne se prononce pas, mais se contente de citer diverses sources signalant l'origine grecque de ce prénom féminin, ou les saintes qui l'ont porté.

—Doux et Gibeaux (2007) :

Thécla ou Thècle, Thecla : selon Spuler, "Nom de femme, d'étymologie grecque". Interprétation confirmée par Emmet. qui précise qu'il s'agit d'un prénom féminin porté par une vierge et martyre (Sainte Thècle) commémorée par l'église orthodoxe grecque. Fabricius est sans conteste l'un des rares auteurs à avoir puisé hors de la mythologie grecque ou de l'antiquité latine. En fonction de cette étymologie, il convient de rappeler ici que les mots Thècle et Thécla sont exclusivement féminin. 

 

— Perrein et al (2012). 

De sainte Thècle, vierge et martyre née à Icone — aujourd'hui Konia en Lycaonie (Turquie)— vivant au Ier siècle après J.C., commémorée par l'Église grecque orthodoxe.

Discussion.

Fabricius avait déjà utilisé ce nom, comme nom spécifique, lors d'une modification en 1796 du nom de son Papilio liria (Ent. Syst. (3),1 p. 239), transformé en Papilio thecla, cité dans l'Index page 128 et connu actuellement sous le nom d'Ectima thecla (Fabricius, 1796) (Funet Ectima). 

 En règle — celle que Fabricius s'est donnée—, les noms de genre créés en 1807 par cet auteur reprennent des épithètes de Vénus : ce n'est pas le cas ici, puisqu'il s'agit d'une reprise d'un nom plus ancien. 

 L'hypothèse la plus facile est d'y voir la reprise du nom de sainte Thècle, comme le propose W. Dale puis A.M. Emmet, suivi par Gibeaux puis Perrein : "le nom d'une vierge et martyre commémorée par l'église grecque orthodoxe."

Sainte Thècle d'Iconium (l'actuelle Konia), jadis fêtée le 23 septembre, est, selon les "Actes de Paul et Thècle" (dont la validité n'est pas reconnue), une jeune vierge qui, convertie par l'apôtre et ayant échappé au bûcher, suivit saint Paul dans ses périples en provoquant de nombreux miracles avant de s'installer dans un ermitage de Séleucie d'Isaurie, en un lieu nommé Haghia Thecla et amené à devenir l'un des principaux buts de pèlerinage de l'antiquité tardive. L'Église catholique a supprimé ce culte en 1969.

 

 Cette hypothèse me semble très peu probable. Linné avait établi comme règle —pour la botanique, certes— d'exclure des noms toute référence religieuse. "Il ne faut point user des noms génériques pour se concilier la faveur, ou conserver la mémoire des saints [...] je conserve les noms génériques poétiques, les noms tirés de la Mythologie" (Linné, Philosophie botanique, page 216-217, trad. 1788), condamnant ainsi l'herbe de sainte Cunégonge (Eupatoire), de sainte Barbe ( Vélar), de sainte Catherine (Impatiens), de sainte Claire (Valériane), de sainte Othilie (Delphinette), etc. Aucun des autres noms de Fabricius ne correspond, à ma connaissance, à un nom de saint ou de sainte. Les autres auteurs de noms zoologiques ont aussi respecté cette règle. D'ailleurs, hormis les anglo-saxons Dale et Emmet, les autres auteurs évitent cette hypothèse trop facile. Ainsi Arnold Spuler (1908) reste prudent : "Nom de femme, d'étymologie grecque".

 Il est plus difficile bien-sûr de proposer une autre piste. Le prénom Thécle vient du grec ancien θεός, theós (« Dieu ») et κλέος, kléos (« gloire, renommée »), Theoklês dont  le féminin est Theôkleia, abrégé en Thekla, schéma sur lequel est aussi construit des noms comme Thimokleos, Aristokleos, Damokleos (Damoclès), Polycles, Cleodice, Cléodore, Cléodoxe, et Cléopâtre (gloire du père).

  Theoclea est un prénom qui a été porté par la sœur d'Alexandre Sévère.

Première hypothèse : Théocléa, philosophe grecque.

Plus intéressant, ce nom désigne une  prêtresse grecque, tutrice du philosophe et mathématicien Pythagore que celui-ci avait rencontré à Delphes, et active vers 600 avant notre ère. Nommée Thémistoclée , elle aurait eu selon Diogène Laerce VIII, 8 pour disciple Pythagore, et l'influença principalement dans le domaine moral. Elle est pour cette raison appelée parfois "La première femme philosophe". 

Selon ma synthèse de l'article Wikipédia en anglais,

 Thémistoclée, Themistoclea, ou Themistokleia , grec ancien : Θεμιστόκλεια ; aussi nommée Aristoclea ou  Théocléa  était une prêtresse à Delphes au 6e siècle avant notre ère. Diogène Laerce rapporte  les affirmations de Aristoxène de Tarente qui fait d'elle la professeur de Pythagore, puisqu'il dit que Pythagore a obtenu la plupart de ses doctrines morales de la prêtresse de Delphes Thémistoclée. Porphyre (233-305 ) l'appelle Aristoclea ( Aristokleia ), et répète l'affirmation selon laquelle elle a été le professeur de Pythagore. La Souda ou Suida, encyclopédie grecque  de le fin du IXe siècle  l'appelle  Théocléa ( Theokleia ) et affirme qu'elle était la sœur de Pythagore, mais cette information provient probablement d'une corruption et l'incompréhension du passage à Diogène Laërce. 

Nous avons donc, attestée sinon dans les faits, du moins dans la littérature et donc dans les sources d'inspiration de Fabricius, une femme philosophe dont le nom varie de Themistokleia à Theokleia. Or la forme abrégée de ce prénom Theokleia est Thekla ou Thecla.

 Cette hypothèse semble moins farfelue si on examine les 49 genres créés en 1807 par notre auteur. 

Parmi les 49 noms de genre créés par Fabricius, 19 sont des épithètes de Vénus, et 18 autres sont des noms de femmes célèbres ; on y trouve deux philosophes,     Pamphila et Hipparchia. Thecla serait ainsi la troisième. Hipparchia est la sœur du philosophe Métrocle, et l' amante du philosophe grec Crates (disciple de Diogène). Pamphila est une femme philosophe d'Épidaure du temps de Néron, fille de Sotéridas et épouse de Socratide, et auteur des Hypomnémata ; Citée par Diogène Laerce, Suidas (la Souda), ou Aulu-Gelle.

 

Deuxième hypothèse : Thekla, héroïne de Schiller aux chants repris en lieds par Schubert.

  Dans la trilogie de Schiller The Wallenstein (achevée en...1799) concernant la carrière tragique du général Wallenstein pendant la guerre de Trente Ans, Thekla ou Thecla est la fille du duc Wallenstein, chef de l'armée de Ferdinand II de Habsbourg, et cette héroïne est promise au jeune Piccolimini. L'un des moments remarquables est  le "Monologue de Thécla", (IV, 12).

  A la fin de la trilogie, le sort de Thekla restait incertain. En réponse aux demandes de renseignements du public, Schiller a écrit en 1802 le poème Thekla, eine Geisterstimme, [Thecla, une voix de fantôme] dans lequel Thécla, désormais passée dans l'autre monde, répond au public:

Il débute ainsi : "Wo ich sei und wo mich hinge wendet, als mein flücht'ger Schatte dir entschwebt ?" 

Où suis-je, et où ai-je été lorsque mon ombre flottante s'est évanouie ? N'ai-je pas terminé, fait mes adieux ? N'ai-je pas aimé, n'ai-je pas vécu ? Posez-vous la question aux rossignols lorsque leur mélodie poignante vous charme par un jour de printemps ? Ils ne vivent qu'aussi longtemps qu'il aiment. Ai-je retrouvé celui que j'ai perdu ? Croyez-moi, je suis uni à lui en une place où il n'y a plus de séparation, et où les larmes ne coulent plus.

 

 Schubert mis le poème en musique deux fois, la première fois dans le lied D73, et la seconde fois en 1817 dans l'opus 88 n°2 D595, sous le titre Thekla, eine Geisterstimme Thekla

Schubert avait publié auparavant, en 1801, le lied Thekla « Des Mädchens Klage » dans le troisième volume de Kleine Balladen und Lieder. Ce poème de Schiller qui commençe par "Der Eichwald brauset" date de 1798 , et donne aussi la parole à Thekla affligée.

Des Mädchens Klage  D6 , D191, D389.

Troisième hypothèse : une référence privée à une femme contemporaine de Fabricius.

       Fabricius a aussi pu vouloir rendre un hommage discret à une femme prénommée Thécle. On sait par exemple que l'alouette nommée Le cochevis de Thékla Galerida theklae  trouve là l'explication de son nom : Elle a été décrite par l’ornithologue allemand Christian Ludwig Brehm en 18571, qui  a dédié cette espèce à sa fille, Thekla Brehm (1833-1857).

 Très connue aussi est la cousine de Mozart, Maria Anna Thekla Mozart (1758-1841 ), surnommée aussi la Bäsle : ses amours avec Amadeus, et leurs échanges épistolaires et scatologiques, sont fameux.

 

                            Archéo-taxonomie du genre.


Le genre Thecla décrit par Fabricius en 1807 et reprit par Swainson en 1821 a été adopté de façon variable. 

Rappelons qu'en 1758 Linné classait ces papillons dans les Papilio Plebejus Rurales, et leur donnait des noms liés, soit à la plante-hôte, soit à des hommes célèbres en Grèce. En 1773, Fabricius les incluait dans ses Hesperia. En 1801, Schrank classa l'espèce-type dans son genre Cupido. En 1804, Latreille avait créé son genre des Polyommatus, et Godart y classera en 1821 Papilio betulae. Des noms considérés comme junior sont aujourd'hui ceux de Theclaria, Rafinesque, 1815 ; Aurotis Dalman, 1816; Zephyrus, Dalman, 1816 ; Zephyrius ; Billberg, 1820 ; Theda, Motschulsky, 1866 ; Tecla Reed, 1877; Ruralis Tutt, 1906.

 

Par exemple, en 1910, Oberthür, dans ses Études de Lépidoptérologie comparée fasc.4 p. 61, utilisait le nom de Zephyrus betulae, et le même auteur écrit avec Houlbert en 1912-21 dans leur Faune armoricaine  : "Dalman avait donné en 1816 le nom de Zephirus à quelques grandes espèces de Thecla dont les ailes supérieures ne possèdent que onze nervures et dont les ailes inférieures portent des queues rudimentaires : les quatre ailes sont larges, avec le bord externe très convexe, le dessous, ordinairement d'un gris perle ou d'un fauve jaunâtre est ornée de bandes plus claires très agréablement variées" (p. 192).  

 

En 1967, Hemming écrivait :

During the latter part of the XIXth century the name Thecla Fabricius was widely misused for the Strymonid Hairstreaks consequent upon the mistaken action of Scudder (1872, 4th Ann. Rep. Peabody Acad. Sci. 1871 : 50) in rejecting Swainson's type-selection of Papilio betulae Linnaeus and in seeking to set up Papilio spini [Dennis & Schiffermüller] as type-species ; in the same period the true Theclids were normally placed in Zephyrus Dalman, 1816 (a nominal genus bearing a name which is a junior objective synonym of Thecla Fabricius, its type-species also being Papilio betulae Linnaeus).

- Trad. : Au cours de la dernière partie du XIXe siècle, le nom Thecla de Fabricius a été largement utilisé à mauvais escient pour les "Porte-queue Strymonids*" par la conséquence  de l'action erronée de Scudder (1872, 4e Ann Rep Peabody Acad Sci 1871... 50) en rejetant l'espèce-type Papilio betulae Linné de Swainson  et en cherchant à mettre en place Papilio Spini [Denis & Schiffermüller] comme espèce-type ; dans la même période, les vrais Theclinés étaient normalement placés dans le genre Zéphyr Dalman, 1816 (un genre nominal portant un nom qui est synonyme objectif secondaire de Thecla Fabricius, son espèce-type étant également Papilio betulae Linné).

* Du genre Strymon, Hübner 1816-1818.

 

 

 

 3.  Nom d'espèce : Thecla betulae (Linnaeus, 1758).

 

a) Description originale

      Linnaeus, C. 1758. Systema naturæ per regna tria naturæ, secundum classes, ordines, genera, species, cum characteribus, differentiis, synonymis, locis. Holmiæ. (Salvius). Tomus I: 824 pp. page 482 .

 — habitat in Betula, Pruno spinosa

— Localité-type :  : Småland, Suède, lectotype désigné par Honey et Scoble (2001) cf. Fauna suecica infra, où Linné indique cette localité. 

Selon Dupont et al. 2013, cette espèce est présente dans presque toute la région paléarctique sauf le nord de l’Afrique. Elle est aussi présente en Chine et en Corée. Elle est signalée partout en France. Les chenilles se nourrissent sur Prunus spinosa L. . 

— Description :

n°146.  P[apilio] P[lebejus] alis subcaudatis fuscis ; primoribus macula reniformi fulva, subtus luteis fascia fulva. 

-Trad. : Papillon plébéien aux ailes sub-caudées brunes ; tache fauve réniforme sur les antérieures, dessous fauve à bande jaune. 

— références données par Linné: (étudiées infra)

  • Fauna suecica n° 792
  • Wilkes pap. 61 t.1 a.2.
  • Roesel Insecten belustigung I. pap. 2. t.6.
  • Ray, Historia insectorum, page 130 n°10.
  • Réaumur, Ins. I. t. 28. f.1-7.
  • Albin Ins. t.5. Fig.7.
  • Petiver gazophylacii t. II fig. 11.

 

 

b) étymologie. 

 

 Spuler (1903-1908) page 54 : 

 

— Doux et Gibeaux (2007) 

      Bouleau : allusion à la plante nourricière de la chenille de cette espèce mentionnée par Linné.  betulae : genitif du mot latin Betula, "Bouleau".

— Perrein et al. (2012) :

Du latin betulla, "bouleau", emprunté au gaulois betu-betua, même sens, "du bouleau", pour Linné qui présume la plante-hôte, aujourd'hui très exceptionnellement attestée.

 

Linné a décrit le genre betula dans son Species plantarum (1) de 1753 page 982, mais le nom était utilisé avant lui (Bauhin, Pinax) par les latins, qui l'ont repris du gaulois betua, à comparer avec  les mots bezv en breton, besew en cornique, bedw en gallois et beith en gaélique (Wiktionnaire). 

 

 


                         Archéo-taxonomie de l'espèce.

L'étude de ce nom doit maintenant être associée à d'autres, avec lesquels il est tissé selon des motifs compliqués.

1.  Les publications qui précèdent celle de Linné 1758.

Placées dans l'ordre chronologique :

 

  • Jacob Hoefangel, 1630, Diversae insectarum, tab.12 fig.1.
  • James Petiver 1704 gazophylacii  t. II fig. 11.
  • John Ray, 1710 Historia insectorum, page 130 n°10.
  • Albin Eleazar 1720 Ins. t.5. Fig.7.
  • Réaumur, 1734 Mémoires pour servir à l'histoire des Insectes. I. t. 28. f.1-7.
  • Linné , Fauna suecica 1746 n° 792
  • Johann August Roesel 1746 Insecten belustigung I. pap. 2. t.6.
  • Benjamin Wilkes 1747-1749  pap. 61 t.1 a.2.

 

a) Hoefnagel 1630, Diversae insectarum planche 12 fig.1.

 La "description" se résume à la présence sur cette planche du premier papillon.

n26_w627

 

 

b) James Petiver 1704 gazophylacii page 18 t. II fig. 11.

 

f. 10 Papilio minor fuscus, duplici linea inferne praeditus [Mas]. The brown double Streak. This and the last are very rare fly, I first saw them in Mr Sam. Dales Collection in insects.

 -Trad. : f. 10 Petit papillon brun, deux lignes sur les ailes inférieures (mâles). Le Brun à double stries. Ce papillon et le dernier (suivant) sont très rares, la première fois que je les ai vu, ce fut dans la collection d'insectes de Mr Samuel Dale*.

f. 11. Papilio minor fuscus : campo aureo, linea gemina subtus ornatus (Faemina). An Hoef. tab.12 fig.1. The Golden Brown double Streak. This and the last may be male and female. Caught by my neighbour Mr Benj. Harris, August 31, 1702 in the Hest near Croydon.

 f. 11. Petit papillon brun, plage or, orné d'une double ligne en dessous. (Femelle). Le Brun et Or à double stries. Celui-ci et le précédent sont peut-être le mâle et la femelle. Attrapé par mon voisin Mr Benj. Harris, le 31 août 1702 dans le Hest près de Croydon [à une quinzaine de Km au sud de Londres].

* on se souvient peut-être que le nom anglais du Grand Mars changeant a été "The Mr Dale's Purple Eye", parce que le pharmmacien londonien Pétiver l'avait aussi observé dans sa collection ; j'avais alors signalé que   Samuel Dale (1659-1739) était aussi apothicaire (et peut-être médecin) en la ville de Braintree, Essex, à 50 km au nord-est de Londres. C'était un grand ami du naturaliste John Ray, "le Père de l'Histoire Naturelle britannique", qui habitait à Black Notlay, à un mille au sud de Braintree. Il participait avec lui à des sorties de collecte d'insectes. Il est l'auteur en 1693 d'une Pharmacologia (à l'époque, un traité de botanique appliquée), et d'une Histoire des Antiquités de Harwich et Dovercourt (1730), qui est un traité de géologie décrivant les fossiles de la montagne de Harwich. Son nom est attaché à un fossile, Buccinum dalei Sowerby, 1825. Il est en relation avec divers correspondants (Pétiver, Sloane) à qui il envoie des spécimens. Pétiver le cite dans son Gazophylacii une seconde fois page 58 en faisant référence, pour le Curcuma officinalis à sa Pharmacologia. Il faisait aussi parvenir des papillons à John Ray, qui décrivit en 1710 dans son Historia insectorum un Papilio minor qui passa pour la première description de Cyaniris semiargus.

Pétiver a vu cette espèce "dans la collection de Mr Dale" : on ignore donc à quelle date ce dernier l'a capturé, dans une fourchette 1690-1704.


c) John Ray 1710 Historia insectorum, page 130 n°10

Papilio minor, alis exterioribus nigricantibus, macula in medio lata arcuata fulva. (Lire la suite de la description latine sur le lien)

-Trad. Petit papillon, Ailes extérieurs noirâtres papillon mineures, large tache fauve en arc au milieu. 

 

d) Eleazar Albin : 1720 Ins. planche V page 23. Fig.7.

Cet auteur donne la première description de la chenille, la première identification correcte de la plante-hôte, et la première illustration couleur du papillon. 

The Caterpiller a is of a light sea-green colour. It was taken near Hornsey-Wood the 8th of June feeding on the Black-Thorn, and the 18th of June it tyed itself up after the manner of the white Butterfly, and the 16th of July came forth the Hair-streak Butterfly. The upper side of the wings, marked b, are of a dark brown, with a large spot of orange-colour in each upper wing, and three small spots of the same colour toward the bottom of each under wing . The under side of the wings c are orange-colour, with large streaks of dark red edged with white, and a shade of bright red on the edges of both the upper and under wings. This caterpillar is very rare and scarce to be met with.

-Trad. La chenille (a, fig.7) est d'un vert d'eau délicat. Elle a été prise près de Hornsey-Wood [Quartier du nord de Londres, avec ses chênes vénérables] le 8 Juin alors qu'elle se nourrissait sur un  Prunellier, et le 18 Juin, elle se fixa elle-même à la façon d'une Piéride, et le 16 Juillet émergea le Hair-streak Butterfly [Thécla du Bouleau]. Les faces supérieures des ailes, marquées  b, sont d'un brun foncé, avec une grande tache de couleur orange sur chaque aile supérieure, et trois petites taches de la même couleur vers le bas de chaque aile postérieure. Le dessous des ailes sont de couleur orange, avec de grandes bandes rouge foncé bordées de blanc, et une nuance de rouge vif sur les bords à la fois  des ailes antérieures et postérieures. Cette chenille est très rare et il est rare d'en rencontrer une.

 

La taverne de Horney-Wood à Harringay 240px-Old_HW_Tavern_sm.jpg Wikipedia

 


e) Réaumur, 1734 Mémoires pour servir à l'histoire des Insectes. I. Mémoire 11 t. 28. fig. 1-7.

"les chenilles cloportes de l'orme" page 455. Réaumur se trompe sur la plante-hôte, et la gravure de Simmoneau n'est pas excellente, mais la description pendant cinq pages de la technique de filage du fil de soie de la chenille mérite le plus grand respect.


f) Linné,  1746 Fauna suecica, page 241 n°792. Ou 1761 page 283 n°1070.

792 page 241 Papilio hexapus ; alis secundariis angulo-dentatis : subtus flavo alboque flammeis.

Hoffn. Ins. t.12 f.1. Pet. gaz.fig 10 et 11. Ray Ins.  page 130 n.10 

 Habitat in Betula ; praesertim in Smolandia [Småland] obvius.

-Traduction : "Habite [la chenille se nourrit du] bouleau ; surtout présent en Smolandia." Le Smalånd est une province du sud-est de la Suède, où la famille de Linné était établie et où il est né. Elle est en grande partie couverte de forêts, notamment de bouleaux comme le signale Linné dans Flora suecica page 283.


g) Johann August Roesel 1746 Insecten belustigung I. Classe 2. page 37 planche VI.

 

Cet auteur et surtout cet illustrateur de talent donne une très belle illustration du papillon sous ses deux faces, mais aussi de la chenille qu'il nomme Schild-Räuplein ou "Chenille en bouclier" (ou en écu), et de la chrysalide avec son changement de couleur du vert au rouge-brun. Il donne aussi une description détaillée de la chenille, mais déplore de ne pouvoir donner des informations sur les œufs. Il donne comme plante-hôte le Prunellier et les Prunus. (On voudra bien corriger mes erreurs de transcription).


 Das dicke graß-grüne und gelb-bordirte Schild-Räuplein und dessen Veränderung zum papilion. 

§1.  Zuvonderst muß ich mich erklären, warum ich dieses raupen-Beschlecht mit dem Namen, Schild-Räuplein beleget habe, weil vielleicht nicht jedermann meinen Berveggrund zu dieser Benennung sogleich errathen dörste. Es mögten wol gar einige, die es niemalen in Natur gesehen, sich einbilden, als c b es mit einem herten Schildlein, auf die Art, wie die Schild kröten,tedecket sei, welches sich doch keinesweges also verhält. Blos dessen äuserliche Figur, oder die Aehnlichkeit, welche es hierinnen mit einem Schilde hat, hat mich dazu veranlasset. Es ist dieses Räuplein unten am Bauche ganz blatt ; oben her aber, so weit man es im sizen oder kriechen zu sehen bekommt, breit gewölbet, wie aus der I. Figur unserer VI Tabelle zu erkennen. Man siehet, so lange man es nicht auf den Rücken kehret, weder Kopf noch Füsse daran, jedoch lassen sich alle Belenke deutlich unterscheiden und abzehlen. Es hat auch die gewöhnliche Unzahl und Ordnung derer Füsse, wiervol solche sehr klein sind. Der Leib ist in der Mitte sehr dick, verlieret sich aber an deeden Enden, sonderlich gegen den Hintertheil zu, etwas schmäler. Die Grundfabe der haut ist gras-grün. Oben über den Rücken hi, lausen ein Paar gelbe, etwas  erhabene Börtlein, welche fornen an dem Kopfe am weitesten von einander abstehen und sich immer mehr und mehr nähern, ie weiter sie fortgehen, bis sie endlich hinten bei dem lezten Absaze völlig zusammentressen. Der Zwischenraum davon ist flach-niedergedruckt. Mit einem dergleichen gelben Börtlein ist auch unten an dem Bauche der ganze Leib  rings-herum umzogen. Un jeglicher Seite des leibes siehet man  9 bis 10 weise, schief lausende Linien, deren jegliche, von dem oberen gelben Börtlein an bis an die Einfassung des Bauches, hinterwarts über 3 Velenke herunter gezogen ist. So viel war von der Gestalt und denen Farben dieses Räuplein  zu erwehnen.

§2. Von der Farbe und Figur derer Eier, aus welchen diese Räuplein ettspringen, kan ich noch zur Zeit keine Beschreibung machen. Sie können nicht gros fein und find vermuthlich einzeln an die Blätter zerstreuet (weil auch die Räuplein selber, Zeit. Ihres lebens einzeln herumwandern,) und um dieser ursache wegen hält es schwer, dieselbigen auszugehen, wann man nicht ganz von ungefehr eines oder das andere findet. Es lebet und wendet dieses raupen-Geschlecht auf Schlehen-Stauden und Pflaumen-Bäumen. Ob es, auser denen Blättern besagter Gewächse, noch anderes Futter fresse ? Ist mir unbewust, dann ich habe sie mit jenen allezeit gefüttert, und sonst auf keinem Gewächse angetroffen.

 Gegen die Mitte des Frühling, bis zu Anfang des Sommers, pflegen sie sich sehen zu lassen. Man darf aber zuweilen viele vergebliche Gänge thun, ehe man eine findet, und kommet es hierinnen mehr auf das Glücke, als aus Fleiß und Mühe an. Denn, es ist nicht genug, daß diese raupen, wermöge ihrer Kleinigkeit und grünen Farbe, nebst dem daß sie noch meistentheils an der Unterseite der Blätter sizen, schon halb unsichtbar sind ; sondern ihre wunderliche Figur machet noch überdis ein Blendwerk, wodurch man kan leichtlich betrogen werden, und die raupe vor ein bloses Beulen-gewächs des Blates ansehen.

§ 3.  Das Kriechen dieser raupen gehet nicht geschwinder, als bei einer kleinen Schnecke. Wann sie an dem Termin ihrer Verwanderung sind, bleiben sie gleich auf der derjenigen Stelle fizend, wo sie sich befinden, es sei nun auf einem Blate oder Aste, bevestigen sich, nach Art aller Raupen von gegenwärtiger Classe, mit zarten Fäden um den leib, wie auch an ihrem hintersten Abfaze, nd sezen sich solchergestalt auser Gefahr, wen der Gewält des Windes heruntergeschmissen zu werden. Bei annähernder Verwandlungs-Zeit verändert sich die grüne Farbe ihrer haut in eine röthlichte, welche je länger je dunkeler wird, bis sich endlich der Balg völlig abstreiset, und die fig.2 abgebildete Puppe, so darunter schon ihre völlige Gestalt angenommen, auf einmal zum Vorschein kommet.

 

 

 

                   n182_w279

 

 

 


h) Benjamin Wilkes 1747-1749  pap. 61 t.1 a.2.

      .

The Brown Hair-streak-Butterfly. The Caterpillar of this butterfly is seldom found : which, I believe, is owing to the oddness of its shape and colour, which are exactly represented in the plate. I took four of them by beating the Black-thorn, and fed them on the same till the middle of June, at which time they changed into the chrysalids, and the fly was bred in the middle of August. This butterfly delights to settle on the Maple-tree, &c. by beating the branches whereof the fly will rife, and may be taken in your net. The Black-Thorn. Prunus sylvestris. Germ. Emac.

-Trad. : Le Porte-queue brun : La chenille de ce papillon est rarement trouvée, en raison, je crois, en raison des bizarreries de forme et de couleur, qui sont représentées exactement sur l'illustration. J'en ai pris quatre d'entre eux en battant les Prunelliers, et les ai nourris avec le même [prunellier] jusqu'à la mi-juin, date à laquelle elles se sont transformées en  chrysalides, et le papillon a été élevé dans le milieu de Août. Ce papillon se plaît à s'installer sur l'Érable arbre, etc. et en battant les branches atteintes par le papillon, il peut être pris dans votre filet. Prunellier. Prunus sylvestris . Allemand :Emac.

Voir la Planche 117 des Copper Paltes and English Moths and Butterflies de B. Wilkes .

 

 

Les publications notables qui suivirent celle de Linné.

— Hufnagel, 1766 Tabelle... in Berlin magazin, 2  page 68 n°23 P. betulae

 — [Denis & Schiffermüller], 1775, Wiener Verzeichniss, Famille O n°2 page 186 : Birkenfalter (papillon du bouleau).

— Fabricius, E.S.III 1 277. 69 H.R. betulae

— Lewin, 1795 Ins Planche 42 fig. 1-5.

 

— Hübner, 1796-1836 Sammlung europaïscher Schmetterlinge page 58 : Weißbirkenfalter (Papillon du Bouleau blanc] ♂ n° 383 ;♀ 384-385  http://www.biodiversitylibrary.org/item/89180#page/66/mode/1up

— Schrank, Fauna boica II page 218.

— Haworth, 1803

— Esper 1777, Schmetterlinge in abbildungen I planche XIX f.2 page 256. P.P.R. Betulae Der Nierenflekt La planche 19 montre "la chenille sur un bouleau blanc, près de la chrysalide"

— Bergsträsser, Nomenclatur, planche 36 et 70.

— Ochsenheimer, 1807, Die Schmetterling von Europa (1) page 114 Pap. betulae

 — Stephens, 1828.

— Curtis 1829 Brit. Ent. p.264

— J. O. Westwood 1840  Gen. Syst. , et 1860 The Butterfly of G.B and theirs transformations, p.88

— Henry Noel Humphreys   British butterflies and their transformations page 85 plate XXV

W. Dale, 1890 Hist. Brit. Butt. page 37 : description des œufs, de la chenille, de la chrysalide et des imagos, puis présentation des observations en Grande-Bretagne. Il décrit le parasitage par trois espèces d'Ichneumons.

https://archive.org/stream/historyofourbrit00dalerich#page/38/mode/2up/search/hair-streaks 

— En 1908, J.W. Tutt consacre une étude (très) détaillée de Thecla betulae (sous le nom Rurales betulae) dans le volume IX de A national history of the British Lepidoptera page 273 à 319 et Planche XI où il donne des photographies des œufs, des larves avec ou sans parasitisme, de la chrysalide et de l'imago.

 

— Oberthür, 1910 Études de lépidoptérologie comparée 1910 fasc.4 page 61.

 

— Oberthür et Houlbert, 1912-21 Faune armoricaine, Zephirus betulae 


 

 L'identification de la chenille et de la plante-hôte. 

E. Albin a signalé la bonne plante-hôte, le Prunellier Prunus spinosa en 1720, Roesel en 1746 l'a confirmé, comme B. Wilkes, mais Linné n'a pas suivi ces auteurs et indique fallacieusement comme plante le Bouleau en 1758. Geoffroy répète la même erreur, puis Godart associe le bouleau au prunus spinosa et au Prunus domesticus, comme son élève Duponchel en 1849. Voici ce qu'écrivait Oberthür en 1910 :

   Je crois que les plantes nourricières de la chenille de Zephyrus betulae, en Bretagne, sont principalement : ulmus campestris, quercus sessiflore et pedunculata. Tutt, en faisant le recensement des « foodplants » de Ruralis betulae, d'après les indications des auteurs, ne cite pourtant ni le chêne ni l'ormeau, mais il relève les noms d'arbres et d'arbustes que je transcris comme suit : Prunus spinosa, prunus domestica, prunus padus, betula alba, corylus, amygdalus nana (cum flore pleno), le chêne (oak), le peuplier (poplar), l'aulne (alder), le nerprun (buckthorn), l'abricotier (apricot), le cerisier (cherry), le pêcher (peach). Il a oublié de nommer l'épine-vinette indiquée par le P. Engramelle et le tilleul cité par Esper.

La description des œufs, et l'appréciation de la densité de population.

      Sans étude exhaustive, la plus ancienne description, avec photographies d'une qualité exceptionnelle pour l'époque, est celle de W. Tutt en 1908. Alors que la présence du papillon est très sous-estimée lorsqu'on se base sur l'observation des imagos, la recherche systématique des œufs sur les prunelliers, à l'aisselle des branches ou des épines, fait apparaître une présence insoupçonnée et très répandue de l'espèce. Ainsi, Oberthür la jugeait rare en Bretagne et très rare en Finistère, alors que la recherche des œufs révèle qu'elle occupe toute la bande côtière de Bretagne, notamment en Finistère, ainsi que l'intérieur des terres en Ille-et-Vilaine. Il n'est pas exagérée de dire que, sur ce point, les connaissances  ont attendu le XXIe siècle.

Les soins par les fourmis. 

La larve sort de l'œuf au printemps en perçant un trou dans le haut de l'œuf et entre immédiatement dans un bourgeon en développement. La coquille n'est pas consommé et peut être trouvé un peu après que la larve a émergé. Après la première mue, la larve se repose le jour sur un tapis de soie située sur la face inférieure d'une feuille, et s'alimente loin de son lieu de repos la nuit, retournant au lieu de repos   comme l'aube. La larve vert clair est très bien camouflé, se mariant parfaitement avec la feuille sur laquelle il est assis. La larve entièrement alimenté laisse la plante hôte avant la nymphose, changeant de couleur pour adopter un brun terne pour maintenir l'excellent camouflage car il se mêle aux feuilles mortes. Il y a 3 mues au total.

 La chrysalide est formée dans une crevasse dans le sol, entre la litière de feuilles ou à la base d'une plante. Il a été connu pour une nymphe d'être enterré par les fourmis, qui trouvent qu'il est très attractif, dans une cellule lâche de la terre sèche. Cette étape dure environ 4 semaines. (UK Butterfly).

Ce maternage de la chrysalide par la fourmi est connu depuis les années 1980 ; il est étudié dans l'article de T. Lafranchis et P. Kan (Oreina 2012 en ligne)

 


                                        Illustrations :

      Esper, Planche XIX fig 1, image Openlibrary.org

               dieschmetterling01espe_0085.jp2&scale=4.

Jacob Hübner, Sammlung, fig 383-385 BHL

              n154_w569

 

 

 

 

 

              II. Noms vernaculaires.


        Les premiers noms donnés à ce papillon furent les noms anglais de "The Brown double Streak" et "The Golden brown double Streak", Pétiver, 1703 ; "The Brown Hairstreak", Ray, 1710, "The Hairstreak" Butterfly, Albin 1720.

          En France, il reçut les noms de  "Porte-queue fauve à deux bandes blanches " (Geoffroy, 1762) ; "Le Porte-queue à bandes fauves" (Engramelle, 1779) ; "Le Polyommate du Bouleau" (Godart, 1821) ; "Le Thécla du bouleau"  (seconde partie XIXe et P. Robert 1934) ; "La Thécla du Bouleau" (G. C. Luquet, 1986) ; "La Thécla orangée" (C. Perrein, 2013)

 

I. Les Noms français. 

 

1. Le Porte-queue fauve à deux bandes blanches, Geoffroy, 1762.

  Étienne Louis Geoffroy Histoire abrégée des Insectes qui se trouvent aux environs de Paris, Volume 2 page 58 n°27.

Papillons à six pieds. II, Les petits Porte-queues.

"Ce papillon est fort rare dans ce pays, je n'ai jamais trouvé que le seul que j'ai. M. Linnaeus dit que sa chenille vient sur le bouleau : elle est du nombre des chenilles cloportes"

 

— Dans l'édition latine par Fourcroy en 1785 de l'Histoire des insectes de Geoffroy page 243 n°27, cette espèce est nommée P. betulae, avec la mention habitat sylvas, larva betulam, "vit dans les bois, la chenille sur le bouleau".

 

 

 

2. Le Porte-queue à bandes fauves , Engramelle, 1779.

Jacques Louis Engramelle Papillons d'Europe, peints d'après nature, Volume 1 page 152 Planche 35 fig. 70 a-f  par J.J Ernst gravée par J.J. Juillet  1779.  

 


3. Polyommate du bouleau, Latreille et Godart 1819

Latreille et Godart Encyclopédie méthodique, Paris : Vve Agasse tome 9, page 647 n° 110.

Cet article permet de disposer de l'ensemble des références bibliographiques sur cette espèce, notamment par les auteurs germaniques, autrichiens ou suisses.

Latreille avait crée en 1804 le genre des Polyommates ("à plusieurs yeux", un équivalent d'Argus), défini par "des palpes inférieurs de longueur moyenne, ou courts". (Considérations générales sur l'ordre des insectes p. 355).

 

 

 

6. Le Polyommate du bouleau, Godart 1821,

      Jean-Baptiste Godart, Histoire naturelle des lépidoptères ou papillons d'Europe, Paris : Crevot 1821/1823, page  181 planche IX fig. 1 (♀) peinte par Delarue et gravée par Auguste Dumenil. 

 


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 Ce nom a été repris  par Hippolyte Lucas (1834) page 25, P.A. Duponchel et Guenée 1849 , par Le Borgne de Kermorvan en 1836 pour le Finistère (in E. Souvestre), Achille Pénot 1831 (Haut-Rhin), Henry Milne-Edward 1843,  Aristide Dupuis 1863.

7. "Le Thécla du Bouleau" est utilisé dès 1869 par Guillaume Louis Figuier (Les Insectes), puis dans diverses revues, et enfin par Paul Robert (1934).

 

 

La Chenille.

 

 Le Polyommate du bouleau (Duponchel, 1849).

P.A.J. Duponchel, 1849 Iconographie et histoire naturelle des chenilles page 77 planche 7 par Dumenil fig. 27 a (chenille) et b (chrysalide). Image BHL

Cette chenille vit sur le bouleau blanc (betula alba), le prunier épineux (prunus spinosa), et principalement sur le prunier domestique (prunus domestica) ; ausi son papilon se rencontre-t-il le plus souvent dans les jardins fruitiers que dans les bois. Elle ne paraît qu'une fois dans le courant juin, et sa transformation en chrysalide a lieu ordinairement à la fin de ce mois. L'insecte parfait se montre du milieu de juillet jusqu'en septembre. Cette espèce se trouve dans toute l'Europe, mais elle est solitaire et abondante nulle part.

La plante représentée est le bouleau blanc (Betula alba).

On constate que l'illustration est assez exacte, si on la rapproche des photographies d'un site comme lepiforum. Comment concilier cette exactitude avec l'erreur de la plante-hôte ?

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6. La revue des noms vernaculaires par Gérard Luquet en 1986.

       Dans la révision des noms vernaculaires français des rhopalocères parue dans la revue Alexanor en 1986, Gérard Christian Luquet propose comme nom principal "La Thécla du Bouleau", et comme nom accessoire "La Thècle du Bouleau" tout en citant "Le Porte-queue à bandes fauves" d'Engramelle pour l'écarter en raison de sa longueur. 

  Une note 35 indique :

"Contrairement à ce qu'indique Le Cerf ( 1944 Atlas des Lépidoptères de France, I. Rhopalocères,  Editions Nérée Boubée et Cie, Paris p. 62) la Thécla du Bouleau se développe aussi sur le bouleau".

Aujourd'hui, aucun des sites de références ne confirment que le Bouleau est aussi une plante hôte de Thecla betulae : lepinet, lepiforum, UK Butterflies, Butterfly Guide, Papillons de Poitou-Charentes, etc. Tolman et Lewington donnent uniquement P. spinosa.  Lafranchis écrit "Le Bouleau est cependant cité comme plante-hôte occasionnelle en Allemagne et en Scandinavie" sans donner ses sources. Luquet lui-même écrit aujourd'hui "Les chenilles se nourrissent sur Prunus spinosa L." [Dupont et al. (2013)]. Or, le nom "La Thécla du Prunellier" est déjà attribué au Satyrium pruni. Cela montre les risques que prennent les nomenclateurs lorsqu'ils introduisent le nom d'une plante-hôte pour créer un zoonyme, scientifique ou vernaculaire. Il faudrait corriger par exemple les noms de Linné pour napi, rubi, ou betulae, et, déjà, les noms de G. Luquet pour l'Azuré de la Sarriette ou le Thécla du Bouleau. Or, un nom zoologique a comme objet de créer un signifié arbitraire mais consensuel, et tout changement rend ce consensus hasardeux. Des noms comme "Vulcain", ou "Apollon", qui n'ont pas à se justifier en fonction des caractères de l'espèce, sont beaucoup plus judicieux, et combien plus plaisants à utiliser !

  Dans son travail de création ou de réorganisation des noms vernaculaires, G. Chr. Luquet a regroupé les membres de la sous-famille des Theclinae (ses Théclines) sous les mêmes noms de "Thécla de-" (11 espèces) ou de Faux-Cuivrés de-" ( 7 espèces), éliminant tous les anciens noms de "Porte-Queue". 

 Par ailleurs, Gérard Chr. Luquet rappelle à nos esprits étourdis —au mien tout du moins— que le nom de "Thécla" (ou "Thècle") est du genre grammatical féminin, comme le prénom dont il est issu.

 

 

6'. "La Thécla orangée".

Je découvre ce nom mentionné par Perrein et al. (2013) à coté de celui de "Thécla du Bouleau"; ces auteurs ne  commentent pas cette mention, que je n'ai pas retrouvé attesté auparavant. Il peut s'agir d'une tentative de se dégager élégamment de la problématique du nom piégé par une plante-hôte erronée.

 

 

7. Noms vernaculaires contemporains :

 

  Charles Oberthür et Constant Houlbert , dans leur Faune armoricaine de 1912-1921, utilisent le nom scientifique de Zephirus betulae L., mais utilisent dans leur texte page 194 le nom "Le Porte-queue à bandes fauves". 


—Bellmann / Luquet 2008 : "La Thécla du Bouleau".

— Blab, Luquet 1988 : "La Thécla du Bouleau"

— Chinery / Luquet 2012  : non représentée

— Doux & Gibeaux 2007 : "La Thécla du Bouleau".

— Higgins & Riley /Luquet 1988 : "La Thècle du Bouleau". 

— Lafranchis, 2000 : "La Thécla du Bouleau" .

— Perrein et al., 2012 : "Thécla du Bouleau, Thécla orangée".

— Tolman & Lewington / P. Leraut 2009 : "Thécla du bouleau".

— Wikipédia : "La Thècle du bouleau ".


    

 

III. Les noms vernaculaires dans d'autres pays.

 

 

  • "Nierenfleck-Zipfelfalter" en allemand : "taches réniformes-pointe-papillon ou Porte-queue à tache réniforme"
  • "Ruostenopsasiipi"  en finnois
  • "Pazik brzozowiec" en polonais
  • "Brezov plavorepac" en croate : Plavorepac du bouleau.
  • "Bērzu zefīrs" en letton : zefirs du bouleau.
  • "Ostrôžkár brezový"  en slovaque : ...du bouleau.
  • "Ostruháček březový" en tchèque : ...du bouleau.
  • "Beržinis zefyras" en lithuanien 

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  • "Topacio" en espagnol : le Topaze
  • "Guldhale" en danois  : Queue d'or.
  •  "Nyírfa csücsköslepke" en hongrois : du bouleau
  • "Sleedoornpage" en néerlandais : page ? du Prunellier
  • "Eldsnabbvinge" en suédois
  • "Kase-siilaktiib" en estonien
  • "Slåpetornstjertvinge" en norvégien : Papillon à queue du Prunellier
  • "Huşgüzeli" en turc : la belle du bouleau.
  •  

     

     

     

    Langues celtiques  : 

    1. langues gaéliques :  irlandais (gaeilge) ; écossais (Gàidhlig ) ; mannois ( gaelg :île de Man).

    •  en irlandais

    •  en mannois.
    • "" en gaélique écossais*

    2. Langues brittoniques : breton (brezhoneg) ; cornique (kernevek); gallois (Welshcymraeg).

    •  pas de nom en breton ; 

    • " Brithribin brown " en gallois.

     *Liste des noms gaéliques écossais pour les plantes, les animaux et les champignons. Compilé par Emily Edwards, Agente des communications gaélique, à partir de diverses sources.   http://www.nhm.ac.uk/research-curation/scientific-resources/biodiversity/uk-biodiversity/uk-species/checklists/NHMSYS0020791186/version1.html

     Voir aussi :http://www.lepidoptera.pl/show.php?ID=70&country=FR

     

     

           


    IV. Les noms vernaculaires en anglais (M.A. Salmon, 2000).

           La Thécla du bouleau est nommé par les anglais The Brown Hairstreak, le (papillon) Brun aux stries (comme des cheveux). Il appartient à un groupe de cinq Hairstreak, avec le vert (Green Hairstreak, Callophrys rubi), le violet (The Purple Hairstreak, Quercusia quercus), le noir (The Black Hairstreak, Satyrium pruni), et celui aux lettres blanches ( The White letters Hairstreak, Satyrium w-album).

    Son nom a été successivement :

    • "The Brown double Streak", mâle : Pétiver, 1703.
    • "The Golden brown double Streak", femelle : Pétiver, 1703.
    • "The Brown Hairstreak", ou Hair-Streak, ou Hair Streak : mâle : Ray, 1710 ; Wilkes, 1747-49 ; Harris, 1766 ; Jermyn, 1824 ; Rennie, 1832 ; Humphreys & Westwood 1841 ; Wood, 1852 ; et la plupart des auteurs suivants
    • "The Golden Hairstreak, femelle : Ray, 1710.
    • The Hairstreak Butterfly, Albin 1720.

     

     

     

     

     


                                   Mes images.

    Œuf sur Prunus spinosa, St-Hernot, Crozon (29), 24-02-2014.

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                 Bibliographie, liens et Sources.

     

     

    — Funet : Thecla    

    — Inventaire national du patrimoine naturel (Muséum) : Thecla betulae

    — UK Butterflies : Thecla betulae

    — lepiforum : Thecla betulae

     —Images : voir les superbes dessins de Hübner ().

    HÜBNER, Jacob, 1761-1826 Das kleine Schmetterlingsbuch : die Tagfalter : kolorierte Stiche,  Insel-Bücherei ; . http://www.biodiversitylibrary.org/item/138312#page/35/mode/1up

     

                     I.  Zoonymie des lépidoptères :


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    — GLASER L, 1887 Catalogus etymologicus Coleoperum et Lepidopterum. Erklärendes und verdeutschendes namensverzeichnis der Käfer und Schmetterlinge fûr Liebhaber und wissenschaftliche Sammler, R. Friehändler : Berlin 1887, 396 pages. BHL Openlibrary.

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    — WALCKENAER (C.A.) 1802,  Faune parisienne, insectes, ou, Histoire abrégée des insectes des environs de Paris classés d'après le système de Fabricius; précédée d'un discours sur les insectes en général, pour servir d'introduction à l'étude de l'entomologie accompagnée de sept planches gravées Paris : Dentu 1802 en ligne BHL.  

     

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    — ZIMMER, (Dieter E., rédacteur du mensuel Der Zeit) 2012 A guide to Nabokov's Butterflies and Moths et Butterflies and Moths in Nabokov's Published Writings , Web version 2012.


     

                               III. Boite à liens. 

          Liste des références d' auteurs avec les liens vers leurs publications:  http://www.ukbutterflies.co.uk/references.php

    Taxonomie : Global Butterfly Information System :http://www.globis.insects-online.de/search

    Abréviations de références utilisées par Linné et autres auteurs : Animalbase

    Fabien Raimbault, A la recherche des noms d'insectes...ou les principes de la recherche étymologique appliquée à l'entomologie :http://www7.inra.fr/opie-insectes/pdf/i86raimbault.pdf

    Les papillons du Systema Naturae de 1758  :   http://en.wikipedia.org/wiki/Lepidoptera_in_the_10th_edition_of_Systema_Naturae

    Albin :http://gdz.sub.uni-goettingen.de/dms/load/img/?PPN=PPN477852769

    Billberg http://www.biodiversitylibrary.org/item/105024#page/87/mode/1up

    Boisduval chenille 1832 :   http://www.biodiversityheritagelibrary.org/bibliography/51588#/summary

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    Frisch https://archive.org/stream/johleonhardfrisc01fris#page/n7/mode/2up

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    Geoffroy latin par Fourcroy :  http://archive.org/stream/entomologiaparis02four#page/n3/mode/2up

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    Ochsenheimer 1808 http://archive.org/stream/dieschmetterling12ochs?ui=embed#page/180/mode/1up

    Petiver James, Musei petiveriani centura prima 1695 digitalisé par Google  (accès partiel)

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    Petiver, Papilionum brittaniae 1717  in Opera Books .google  

    Ray  : https://archive.org/stream/historiainsector00rayj#page/n11/mode/2up

    Réaumur : http://www.biodiversitylibrary.org/item/50298#page/11/mode/1up

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    Rottemburg : 

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    Schneider 1787 http://books.google.fr/books?id=VnY-AAAAcAAJ&pg=PA241&lpg=PA241&dq=schwarzgestrichelter+schmetterling&source=bl&ots=c5RGnFNYx4&sig=-HkttVMLK2SZP6KRw5MXfvJCYxI&hl=fr&sa=X&ei=

    AHwGU7m9LoLm7Abd7oGICg&ved=0CC8Q6AEwAA#v=onepage&q=schwarzgestrichelter%20schmetterling&f=false

    Scopoli Entomologia carniolica 1763

       http://www.biodiversityheritagelibrary.org/bibliography/34434#/summary

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    Scudder http://biodiversitylibrary.org/page/3076769#page/269/mode/1up

    Spuler : http://www.biodiversitylibrary.org/bibliography/9477#/summary

    Tutt vol.1 1906 : http://archive.org/stream/naturalhistoryof08tutt#page/n8/mode/1up

    Tutt vol.2 1908 : http://archive.org/stream/naturalhistoryof09tutt#page/n4/mode/1up

    Tutt v3 1909 :http://archive.org/stream/naturalhistoryof10tutt#page/n4/mode/1up

    Tutt v4 1914 : http://archive.org/stream/naturalhistoryof04tut#page/n4/mode/1up

     

     De Villers 1789 :  https://archive.org/stream/carolilinnaeient02linn#page/

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    • "Il faudrait voir sur chaque objet que tout détail est aventure" ( Guillevic, Terrraqué).  "Les vraies richesses, plus elles sont  grandes, plus on a de joie à les donner." (Giono ) "Délaisse les grandes routes, prends les sentiers !" (Pythagore)
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