Sculptures et inscriptions lapidaires (1695-1704) de l'église de Plozévet. Statues de la Vierge à l'Enfant, de la Vierge de Pitié, de sainte Marie-Madeleine et de saint Alar (Éloi).
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Voir sur Plozévet :
- La chapelle Saint-Ronan et son sarcophage médiéval.
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Inscription lapidaire du fronton:
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LE PENNANRVN (?)
P. LE PENNEC F.1695.
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Suggestions généalogiques :
-Jean PENNARUN (1654-1703, vicaire à Plozévet, décédé au presbytère :
https://gw.geneanet.org/mcff?n=pennarun&oc=1&p=jean
-Pierre LE PENNEC (1654-1716), laboureur domicilié à Kermenguy à son mariage en 1702, et décédé à Kervinily.
https://gw.geneanet.org/eguillard1?n=pennec+le&oc=3&p=pierre
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Note : La sacristie porte l'inscription : "V. ET. D. M. I. PEN(NARVN). R/Y. GENTRIC. F. 1701." soit "Vénérable et Discret Messire Jean Pennarun Recteur Yves Gentric fabricien en 1701".
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La tour du clocher : inscription lapidaire.
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V. M. LE PENNARVN ----GOFF P. 1704.
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LES ARMOIRIES DE L'ENFEU (BRAS NORD DU TRANSEPT).
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"Sous la fenêtre du bras Nord du transept se trouve un enfeu, c'est une niche funéraire destinée à recevoir une tombe. Il est possible que des seigneurs y aient été enterrés, mais nous n’en n'avons pas de preuve. Sur le mur au fond de l’enfeu, une sculpture en bas-relief érodée, et de ce fait difficile à lire, est placée dans un rectangle bien plus haut que large. Peut-être provient-elle de la tombe haute qui était placée dans le chœur de l’église, « chargée de cinq écussons des armes pleines ou seigneurs de Lanavan » (Conen de Saint-Luc, notice paroissiale Mahalon 1915).
La sculpture montre un écu en position oblique, et au-dessus, un heaume surmonté d'un "arraché de cygne" en guise de cimier. Ce type de panneau pouvait être placé sur le côté d’un tombeau.
Actuellement, deux cygnes sont encore visibles sur l'écu, représentation relativement rare en héraldique. Ils doivent être l’emblème d’une famille seigneuriale de Lanavan, manoir du Sud de Mahalon, à la limite de Plozévet. Probablement la famille GEFFROY, qui y a vécu pendant une bonne partie du XVIe siècle."
IPNS Histoire et Patrimoine raconte, Autrefois à Plozévet, n°18, septembre 2016 http://commune.plozevet.free.fr/index.php?static17/autrefois
http://commune.plozevet.free.fr/data/documents/autrefois/autrefoisaplozevet18.pdf
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Peut-on deviner les armoiries qui ont été érodées ou bûchées ? Je vois trois oiseaux tenant dans leur bec des poissons.
Enfeu des seigneurs de Lanavan dans l' église de Plozévet (Bulletin diocèsain d'Histoire et d'Archéologie , année 1931- Diocèse de Quimper)
https://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/9789330ac3d730aa7c3378800b833b77.pdf
1 - Le blason des PENFRAT dans l' église de Plozévet et dans la chapelle Saint-Michel de Mahalon
"Parti d’azur, à l’éléphant d’argent portant une tour d’or et au chevron d’argent accompagné de trois cignards de même". A Mahalon, dans la chapelle Saint-Michel, à droite du choeur, une tombe sur laquelle était sculpté un éléphant portant un château (armes des Penfrat); - A Plozévet, dans le choeur, une tombe haute chargée de cinq écussons des armes pleines ou en alliance des seigneurs de Lanavan et, dans la maîtresse-vitre, un écusson parti au 1, d'azur à l'éléphant d'argent portant une tour d'or ; au 2, d'azur au chevron d'argent accompagné de trois cignards de même, 2, 1. Enfin, le blason de Lanavan se voyait à la Trinité, dans la fenêtre de l'abside, au-dessous des armoiries des Rohan et des Le Barbu.
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LA VIERGE À L'ENFANT. Bois polychrome, XVIIe siècle (selon pop.culture.gouv).
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Elle mesure 130 cm de haut, 45 cm de large et 50 cm de profondeur.
https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/PM29004501
Inscrit M.h au titre d'objet 1989/04/12.
Elle est remarquable par le bandeau occipital, que je surnomme "chouchou", et qui se retrouve comme un leitmotiv dans tant de statues de la Vierge et de Marie-Madeleine dans la statuaire du Finistère au XVIe et du tout début du XVIIe siècle. Voir l'annexe de mon article sur la Vierge de la chapelle Saint-Sébastien de Saint-Ségal. Ce bandeau est ici large, lissé (comme toujours ou presque), et rassemble le flot de la chevelure avant qu'elle ne se libère derrière les épaules.
Bien que le genou gauche soit fléchi, le corps n'est pas hanché, et seule la tête s'incline vers la gauche.
La main droite retient le pan gauche du manteau bleu, tandis que le pan droit est fixé à la ceinture dorée qui sert de troussouère.
Les pieds sont nus sous la robe jaune-orangé.
La Vierge ne regarde pas son Fils, mais un point du plancher, avec un regard las ou triste, tandis que Jésus, assis sur l'avant-bras gauche de sa mère, et tenant le globus cruciger des deux mains, fixe un point du plafond. Son visage est un peu gras, un peu disgracieux et trop adulte.
Cette absence de complicité, et même de destination des regards crée un malaise, comme si les deux saints personnages traversaient un moment difficile. C'est théologiquement inconcevable, mais cela confère à cette statue son climat et son originalité.
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LA VIERGE DE PITIÉ EN BOIS POLYCHROME, DU XVIe SIÈCLE.
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https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/PM29004502
Elle mesure 82 cm de haut, 41 cm de large et 22 cm de profondeur. Elle est placée sur le tabernacle de l'autel du bras sud du transept, devant une grande toile représentant l'Ange gardien (?) ou Tobie guidé par l'ange Gabriel.
Elle est classée M.h au titre d'objet au 1989/04/12.
L'une de ses particularités est de tenir son fils tête à gauche. Elle est assise sur une cathèdre, est vêtue d'un manteau bleu et est coiffée d'un voile rabattu devant la gorge. Son regard est tourné vers la gauche, dans le vide.
Le Christ, de taille proportionnellement plus petite, est allongé sur ses genoux, jambes fléchies, bras droit soutenu par sa Mère et bras gauche pendant. Plus que le sentiment de chagrin ou de douleur, c'est l'impression d'absence, d'anesthésie émotionnelle et de dévastation qui domine.
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https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/PM29004502
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MARIE-MADELEINE. BOIS POLYCHROME .
Coté nord du chœur.
Je n'en trouve pas la description sur la base pop.culture.gouv, pourtant je l'admire beaucoup. On sait que la sainte est réputée pour son élégance et sa coquetterie, véritable attribut au même titre que le flacon de parfum ou d'aromate qu'elle porte dans sa main gauche. Cette coquetterie est aussi, subtilement, celle de ses yeux, aux axes légèrement décalés.
Je retiens d'abord de son costume les crevés de sa manche droite, et où le coude est largement entaillé pour laisser s'échapper une étoffe blanche bouffante de manière excessive et provocatrice. Nous ne sommes plus sans doute dans la mode Renaissance qui vit apparaître ces taillades, mais dans la seconde partie du XVIe siècle sous Henri II ou un peu plus tard. Le maniérisme est patent également dans le geste précieux et affété de la main droite, ou dans la coiffure sophistiquée dont les nattes serpentines, à peine retenues par un diadème, se nouent et se dénouent.
Le cou est souple et fin, le port de tête délicat. La petite bouche minaude et le nez fin et droit contrastent avec les grands yeux largement ouverts, mais songeurs. Les sourcils et le front sont épilés, cela va sans dire. On ne peut s'empêcher de penser à Ingres.
Couffon la date du XVIIIe.
Finalement, je trouve, mais non sur pop.culture, la notice de la base Palissy (avec une photo de 2010) : selon celle-ci, elle la date du quatrième quart du XVe siècle elle est classée MH au 1991/11/19, et mesure 133 cm de haut, 38 cm de large et 25 cm de profondeur. Le dos est creux.
https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/PM29001352
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Sainte Barbe. Bois polychrome.
Coté gauche du chœur, à l'angle du transept.
Elle porte son attribut, la tour témoin de son attachement au dogme de la Trinité. La palme du martyre l'a quittée.
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Saint Éloi (sant Alar). Bois polychrome. Fin XVIe siècle (Couffon)
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On connait peut-être la légende de saint Eloi, qui, pour ferrer un cheval, trouva plus commode de sectionner la patte, d'y placer le fer, puis de la remettre en place.
La légende est un peu plus compliquée que cela, je l'ai raconté dans mon article sur le vitrail du Miracle de saint Eloi de la chapelle Notre-Dame-du-Crann à Spézet.
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Une bannière de saint René. Début XXe ?
Saint René correspond à saint Ronan (celui de Locronan par exemple), qui a sa chapelle à Plozévet.
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SOURCES ET LIENS.
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— COUFFON (René), LE BARS (Alfred), 1988, Notice sur Plozévet.
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/f0547dd502285d509467f930ed5105e3.pdf
EGLISE SAINT-DEMET (I.S.) En forme de croix, elle comprend une nef de cinq travées avec bas-côté nord de l'extrême fin du XIVè siècle, séparée par un arc diaphragme de la même époque d'un vaste transept, et un choeur profond à chevet plat, datant du XVIè siècle ainsi que le porche méridional.
Ce dernier est voûté sur croisée d'ogives : sur les parois intérieures, deux niches encadrées de colonnes encastrées en nid d'abeilles ; sur le fronton, inscription : ".../ LE PENNEC. F. 1695." L'arcature séparant la nef du bas-côté et comportant quatre arcades en plein cintre et une en tiers-(point provient d'un édifice antérieur remontant au XIIIe siècle et sensiblement contemporain de Pont-Croix. Les archivoltes, simplement épannelées, reposent au-dessus des chapiteaux sur des culots, dont l'un, contre le pignon ouest, est figuré. La façade ouest est du début du XVè siècle ; le clocheton date de 1793.
La sacristie porte l'inscription : "V. ET. D. M. I. PEN(NARVN). R/Y. GENTRIC. F. 1701." Mobilier : Autel en tombeau galbé installé face au peuple. Deux autels latéraux avec retables classiques à colonnes lisses (XVIIIè siècle ou XIXè siècle) et tableau : le Rosaire au nord et l'Ange gardien (?) au sud. Sur la vasque des fonts baptismaux, représentation de saint Pierre avec ses clefs, l'Ankou avec sa charrette et deux paysans au champ, illustration de l'évangile : "De deux hommes qui travaillent au champ, l'un sera pris, l'autre laissé."
Statues anciennes - en bois polychrome : Vierge à l'Enfant, XVIIè siècle, sainte Anne seule, XVIIIè siècle, sainte Marie Madeleine, saint Joseph, XVIIIè siècle, saint Ronan dit "Sant Reun", XVIIè siècle, saint Démet en évêque, XVIIè siècle, saint Alar ferrant un cheval, fin XVIè siècle, saint Corentin, XVIIè siècle, autre Vierge à l'Enfant, XVIIè siècle, saint Mathurin, XVIIè siècle, saint Jean-Baptiste, XVIIè siècle, saint François d'Assise, XVIIè siècle; - en pierre blanche : Pietà, XVIè siècle.
Vitraux : verrière du transept Nord, verre peint du XIXè siècle. Dans la fenêtre axiale à réseau flamboyant, vitrail d'H. de Sainte-Marie, 1957, qui a remplacé une ancienne Passion. Orfèvrerie : calice en argent, 1673 (C.).
Le porche sud est entouré de deux fontaines qui sourdent sous les fondations. - A 50 m, à l'angle nord-est de l'église, autre fontaine, dite Feunteun Sant-Délo. Près de l'église, croix de granit avec Christ ressuscité au revers du Crucifix.
— MONUMENTUM.FR
https://monumentum.fr/eglise-saint-demet-pa00090280.html
— PÉRENNÈS ( Henri), 1941, Plozévet (Brest, 1941).
http://www.infobretagne.com/plozevet.htm
— Pop.culture.gouv
armoiries
Congrès archéologique de France - Volumes 114 à 115 - Page 228
Société française d'archéologie - 1956 - Extraits
LA CHAPELLE DE LA TRINITÉ par M. André MUSSAT A la limite des régions du Cap-Caval ... Voici peu encore, la maîtresse vitre gardait des armoiries : Lanavan (3), Mahalon (4) et, en supériorité, Rohan (5) et Le Barbu (6).
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ABGRALL (Jean-Marie), 1909, "Esquibien", BDHA, Quimper, Kerangall.
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/f096b4a373bfb45f5ec65f9f1a363fcf.pdf
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l'église Saint-Démet (XIII-XIVème siècle). Il s'agit d'un édifice en forme de croix qui comprend une nef de cinq travées avec bas-côté nord du XIVème siècle, séparée par un arc diaphragme d'un vaste transept et d'un choeur en saillie datant du XVIème. Le porche méridional date du XV-XVIème siècle. L'arcature, séparant la nef du bas-côté et comportant quatre arcades en plein cintre et une en tiers point, provient d'un édifice antérieur remontant au XIIIème siècle. La façade ouest est du début du XVème siècle. Le clocheton date de 1793 et la sacristie, qui date de 1701, porte l'inscription "V. et D. MI. I. Pennarun. R. Y. Centric. F. 1701". Le vitrail de M. Hubert de Sainte-Marie à la maîtresse vitre date de 1957. L'église abrite les statues de saint Démet en évêque, saint Jean-Baptiste, saint Mathurin, saint Corentin, saint Michel, saint Alar (XVIIème siècle), saint Charles, la Vierge-Mère (XVIIème siècle) et une Pietà ;
A la "Montre" de l'Evêché de Cornouailles de l'an 1481 qui s'est tenue à Carhaix les 4 et 5 septembre, revue militaire à laquelle tous les nobles devaient participer munis de l'équipement en rapport avec leur fortune, les nobles suivants de Plozévet (Plouzevet) étaient présents :
Henry de Kerboguy, représenté par Henry son fils, en pal et vouge ;
Jehan Gourchat, en pal et vouge.
A la "Montre" de l'Evêché de Cornouailles de l'an 1562 qui s'est tenue à Quimper les 15 et 16 mai, les nobles suivants de Plozévet (Plouzevet) apparaissent :
Le sieur de Kersaudy, représenté par Maître Christophe de Kersaudy, garde, dict faire homme d'armes ; Kersaudy (de). — D'azur, au léopard d'argent.
Jehanne le Flouch, default ;
Henry le Rougeart, default ;
Pierre le Goarec, default ;
La dame de Lescongar, default.
EGLISE SAINT-DEMET (I.S.)
En forme de croix, elle comprend une nef de cinq travées avec bas-côté nord de l'extrême fin du XIVè siècle, séparée par un arc diaphragme de la même époque d'un vaste transept, et un choeur profond à chevet plat, datant du XVIè siècle ainsi que le porche méridional.
Ce dernier est voûté sur croisée d'ogives : sur les parois intérieures, deux niches encadrées de colonnes encastrées en nid d'abeilles ; sur le fronton, inscription : ".../ LE PENNEC. F. 1695." L'arcature séparant la nef du bas-côté et comportant quatre arcades en plein cintre et une en tiers-(point provient d'un édifice antérieur remontant au XIIIè siècle et sensiblement contemporain de Pont-Croix. Les archivoltes, simplement épannelées, reposent au-dessus des chapiteaux sur des culots, dont l'un, contre le pignon ouest, est figuré. La façade ouest est du début du XVè siècle ; le clocheton date de 1793.
La sacristie porte l'inscription : "V. ET. D. M. I. PEN(NARVN). R/Y. GENTRIC. F. 1701."
Mobilier : Autel en tombeau galbé installé face au peuple. Deux autels latéraux avec retables classiques à colonnes lisses (XVIIIè siècle ou XIXè siècle) et tableau : le Rosaire au nord et l'Ange gardien (?) au sud. Sur la vasque des fonts baptismaux, représentation de saint Pierre avec ses clefs, l'Ankou avec sa charrette et deux paysans au champ, illustration de l'évangile : "De deux hommes qui travaillent au champ, l'un sera pris, l'autre laissé."
Statues anciennes - en bois polychrome : Vierge à l'Enfant, XVIIè siècle, sainte Anne seule, XVIIIè siècle, sainte Marie Madeleine, saint Joseph, XVIIIè siècle, saint Ronan dit "Sant Reun", XVIIè siècle, saint Démet en évêque, XVIIè siècle, saint Alar ferrant un cheval, fin XVIè siècle, saint Corentin, XVIIè siècle, autre Vierge à l'Enfant, XVIIè siècle, saint Mathurin, XVIIè siècle, saint Jean-Baptiste, XVIIè siècle, saint François d'Assise, XVIIè siècle; - en pierre blanche : Pietà, XVIè siècle.
Vitraux : verrière du transept Nord, verre peint du XIXè siècle. Dans la fenêtre axiale à réseau flamboyant, vitrail d'H. de Sainte-Marie, 1957, qui a remplacé une ancienne Passion. Orfèvrerie : calice en argent, 1673 (C.). * Le porche sud est entouré de deux fontaines qui sourdent sous les fondations.
- A 50 m, à l'angle nord-est de l'église, autre fontaine, dite Feunteun Sant-Délo.
Près de l'église, croix de granit avec Christ ressuscité au revers du Crucifix.
B.S.A.F. Chanoine Abgrall, 16-8-1913. - H. Pérennès : Plozévet (Brest, 1941). - A. Mussat : La chapelle de la Trinité (S.F.A. - C.A. 1957).
1903, 170, 172 (église et chapelles);
1909, 59-60 (église); 1920, 178-179 (monuments historiques);
1928, XXXII (écusson sur un cadran solaire);
1929, XVIII (sarcophage, statue de saint Ronan), XXXVI (chapelle Saint-Démet);
1934, XXVII (manoir de Kerguinaou et croix armoriée);
1956, XIX, XXII (calvaire et manoir du bourg); 1965, CV (maison du corsaire);
1966, XLVI (moulin à vent de Keringar);
1971, 440 (calice, M.C.); 1972, 670 (monuments historiques et sites).
Monumentum
https://monumentum.fr/eglise-saint-demet-pa00090280.html
Fiche Mérimée : PA00090280
Mobilier classé Monument Historique conservé dans l'édifice :
Statue : Vierge à l'Enfant
Statue : Saint Jean-Baptiste
Statue : Saint Démet
Statue : Sainte Anne
Statue : Saint Joseph
Statue : Saint François d'Assise
Statue : Saint Corentin
Statue : Vierge à l'Enfant
Statue : Saint Mathurin
Groupe sculpté : Piéta
Statue : Saint Ronan
Dernière mise à jour de la fiche Monumentum : 2020-07-10
POP
—Pietà en bois polychrome XVIe https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/PM29004502
— Vierge à l'Enfant bois polychrome XVIe
Bois : taillé, peint (polychrome)
Vierge à l'Enfant
H = 90 ; la = 30 ; pr = 18
https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/PM29004501
WIKIPEDIA
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ploz%C3%A9vet
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SOURCES ET LIENS.