Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 11:32

Sur le sentier côtier de la Pointe du Gouin à Camaret, je remarque ce nid qui emmitoufle les branches d'un prunellier : les chenilles sont bien visibles, et mon guide Quel est donc ce papillon de Heiko Bellmann chez Nathan me donne la solution : Euproctis chrysorrhoea (Linnaeus ,1758), le Bombyx cul-brun, ce papillon de nuit tout blanc, sauf lorsqu'il fait apparaître l'extrémité de son abdomen couleur fauve.

 

DSCN4797cc

 

bombyx-cul-brun 9697c

 

   Outre le prunellier,le Cul-brun pond aussi ses oeufs sur le pommier, le poirier,l'aubépine, le chêne pédonculé ou le charme, sous forme d'ooplaques allongées sur les feuilles ou les rameaux.

 

bombyx-cul-brun 9698c

 

  Ces chenilles ont confectionné à l'extrémité de ce rameau un nid communautaire d'une dizaine de centimètres à l'abri duquel elles ont hiverné sous leur forme initiale de 4 millimètres : mais les chaleurs estivales de ces derniers jours ( fin mars- début avril), elles sortent de leur moustiquaire et viennent se chauffer sur la canopée de leur tente, croquant à l'occasion un bourgeon bien tendre. Puis elles grandissent, terminent leur croissance de chenille, s'aventurent, mais, tel nos adolescents, reviennent au nid après chaque repas. On voit ici les "grands" qui crânent fièrement à l'extérieur, alors que les petits, encore en maternelle, doivent rester au chaud dans la smala.

 

bombyx-cul-brun 9685c

 

 

bombyx-cul-brun 9701c

 

 

 

 bombyx-cul-brun-9704cc.jpg

 

 

   Ces chenilles de 45 mm de long présentent une rangée subdorsale de stries blanches sur chaque flanc, pourvue sur les segments 9 et 10 d'une verrue médio-dorsale infundibuliforme rouge.  Celles-ci sécrètent un liquide que la chenille répand avec sa tête sur tout son corps, mais dont la fonction peut-être répulsive n'est pas connue avec certitude.Elle est dotèe de poils urticariants capables de provoquer de vives réactions cutanées.

 

bombyx-cul-brun-9696cc.jpg

 

 

 bombyx-cul-brun 0248c

 

DSCN4803cc

 

   Des nids semblables, j'en verrai par la suite des dizaines sur le sentier côtier, puis bien d'avantage, et je vérifierai cette règle que lorsqu'on a appris à reconnaître une chose, on constate combien on était aveugle et qu'on ignorait des observations pourtant bien visibles.

 

  Le Cul-brun est décrit par Linné sous le protonyme Phalaena chrysorrhea sous le n° 28 des Bombyces ; il cite en référence Réaumur et son histoire des insectes, I, phal,2,t 22.

  Il décrit ainsi la chenille : nodosa, pilosa, nigra, robro lineata.

 

Le nom du genre Euproctis -Hübner,1819 - signifie, sauf votre respect, " joli cul" par allusion à l'abdomen brun garni d'une bourre de poils dont la femelle se servira pour réaliser un feutrage couvrant les oeufs qu'elle a pondu.

 

  l'épithète chrysorrhoea  formé du grec chrysos, or, et de -rheo,s'écouler : il se rapporte aux belles fesses du papillon callipyge, et si Verlaine pouvait écrire Votre âme est un paysage choisi

                                                                     Que vont charmant masques et bergamasques, ...

...Linné, lui prend sa lyre et dit au Cul-brun Votre cul est une rivière d'or. Pourquoi pas.

   Spuler (1908) donne à chrysorrhoeale sens de "surabondance d'or", qualifiant la bourre prolifique de Madame Cubrun, qui finit par produire une masse plus importante que son propre abdomen.

  Enfin A.M.Emmet cite Haworth (1803) qui trouve que ce qualificatif de chrysorrhoea convient mieux à Euproctis similis, celui que nous appelons le Cul-doré, et il propose comme épithète spécifique phaeorhoeus, de -phaios, sombre, ce qui n'est pas galant.

Partager cet article
Repost0
Published by jean-yves cordier
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 19:38

  Assis  la lande rase de la falaise de Camaret où j'observe le lézard des murailles de l'article précédent, je regarde en attendant qu'il ressorte de sa cachette l'ajonc ras et la bruyère qui m'entoure... et je vois une masse de poils gris et jaunes à allure de chenille. Mais il y a une masse grise d'un coté du rameau de bruyère, et une masse jaune plus petite de l'autre coté : le même animal ?

 

bombyx-porte-brosse-dicallomera 9824c

 

Je parviens à les séparer et je me trouve devant une chenille très velue, comme un goupillon de nettoyage des bouteilles, avec des toupets de poils noirs, d'autres blancs, parmi l'éclatement des autres poils gris..

 

bombyx-porte-brosse-dicallomera 9730c

 

   Quand elle accepte de ne plus se mettre en boule, je vois mieux que ces toupets s'organisent en 5 faisceaux, chacun de couleur blanche autour d'un élément central noir.

 

bombyx-porte-brosse-dicallomera 9811c

 

bombyx-porte-brosse-dicallomera 9833c

 

   Un peu plus loin se trouve cette chenille grise et or qui ressemble beaucoup à la première, mais où je distingue une tête, les pattes et les fausses pattes.

 

 

bombyx-porte-brosse-dicallomera 9721c

 

  Elle porte aussi ses touffes noirs et blanches. je m'amuse à la photographier.

 

bombyx-porte-brosse-dicallomera 9774c

 

 

 

bombyx-porte-brosse-dicallomera 9736c

 

 

bombyx-porte-brosse-dicallomera 9839c

 

bombyx-porte-brosse-dicallomera 9779c

 

 

    Mais la petite chenille de rien du tout qui était accolèe à la première ? Elle possède la même organisation, c'est de la même famille :

 

bombyx-porte-brosse-dicallomera 9834c

 

 

 

 

bombyx-porte-brosse-dicallomera 9746c

 

 

 

    Mes recherches d'identification me conduisent à proposer le diagnostic suivant :

  Dicallomera fascelina (Linnaeus, 1758), le Bombyx porte-brosse, ou Agathe, ou la Patte étendue : parmi les papillons de nuit ou hétérocère, dans les Noctuidae,une Lymantriidae dont la chenille polyphage s'attaque aux feuilles d'arbres (chêne, peuplier, bouleau, ) ou des genets, de l'ajonc, de la bruyère calluna vulgaris, du lotier corniculé.

  Son nom de porte-brosse ou de Dark Tussock ( Touffes Noire) lui vient de ses brosses noires (et blanches), de même que son épithète spécifique de fascelina qui se rapporte aux faisceaux de poils : Linné la décrit ainsi dans Systema Naturae dixième édition, page 503 sous le nom protonymique de Phalaena fascelina, dans le groupe Bombyces : larva fasculata, pilosa, fasculis dorsalibus 5 albis, capitis anique fuscis.

  Le genre Dicallomera est monospécifique, on le doit à Butler qui rebaptisa dasychira fascelinaainsi en raison de la nervation alaire de l'imago mâle, " chez lesquels la deuxième et troisième branche de la veine médiane des secondaires est émise par un long pétiole."

 

  L'imago vole en juillet et août, il est attiré par la lumière.  Alors qu'UK moth la signale comme une espèce des landes cotières, curieusement lepinet.fr  indique "semble manquer près des côtes".

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by jean-yves cordier
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 13:09

  L'association Bretagne vivante propose un document à télécharger sur les premiers papillons du printemps :

http://www.bretagne-vivante.org/images/stories/expertises/atlas/lepidoptere/premiersl%C3%A9pidos201004.pdf

 

  Ce sont:

 •  La Grande tortue.

•  le Paon du jour.

• Le Citron.

•  La Petite tortue.

• Le Vulcain.

• Le Robert-le-diable.

•  L'Aurore de la cardamine.

• Le Piéride de la rave.

• Le Piéride du navet.

• La Thécla de la ronce.

• Le Cuivré commun.

• L 'Azuré des nerpruns.

• Le Tircis.

 

   Parmi ceux-ci, j'ai déjà vu  la Grande Tortue, le Paon du jour, le Citron, le Tircis, des Piérides : ma balade du 5 avril à Crozon me permet de voir l'Azuré (pas de photo, il passe trop rapidement sans se poser, cherchant les phéromones femelles), et puis :

 L'Aurore de la Cardamine Anthocaris cardamines, également peu enclin à se poser, ce qui explique que l' image ne soit là qu'en témoin de mon observation; je rappelle, pour l'avoir découvert récemment, que " aurore" désigne une couleur orangée.

 

aurore 9606c

 

Le Robert-le-diable Polygonia C album,qui aime à se poser sur les troncs ou les inflorescences, mais qui quitte son perchoir dés qu'il voit passer une jolie papillone ou un rival :

 

robert-le-diable 9678c

 

 Le Piéride du Navet Pieris napi . J'éprouve toujours des difficultés à le distinguer du Pieride de la rave Pieris ravae. Napi, ravae, ravae, napi... Théoriquement je devrais retenir le nom anglais de P.napi : the Green-veined White,le blanc veiné de vert, et le reconnaître à ses nervures nettement poudrées de vert sous les ailes postérieures. Mais que faire lorsqu'il ne montre que le dessus de ses ailes ? Ou encore lire mon excellent guide Vigot des Insectes de Heiko Bellmann : "ressemble à P.ravae, mais tache noire à l'extrémité des ailes antérieures plus courtes au bord antérieur qu'au bord externe".  Il m'a semblé que c'était le cas ici.

 

pieride 9633c

 

  

   Il reste donc à trouver la Petite tortue, la Thecla de la ronce, le Pièride de la rave,... et le Cuivré commun, si commun l'année passée que je ne me fais pas de Souci pour lui.

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by jean-yves cordier
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 12:13

Elle est minuscule, c'est sans-doute l'une de ses premières journèes de vie et son premier stade de larve . Si elle mesure deux centimètres, c''est comme pour les navires, en longueur hors-tout, bout-dehors et baton de tape-cul inclus ! Mais si j'évoque les bateaux, c'est que l'image me fait penser aux thoniers avec leurs perches démesurées par rapport à la coque, lorsqu'ils font route terre.

   Une sauterelle verte Tettigonia viridissima passe par sept stades larvaires, et à chaque stade elle doit abandonner sa carapace de chitine devenue trop étroite. Devenue majeure la crevette verte sera si fière que cela lui donnera des ailes : les ébauches alaires progressent à chaque mue, ainsi que la tarière  chez la femelle.

 

sauterelle 9592c

 

sauterelle 9595c

 

Partager cet article
Repost0
Published by jean-yves cordier
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 11:34

 

 

  C'est un classique de la photo macro, mais il était resté jusqu'à présent trop craintif pour me permettre un portrait. Mais au bord d'une falaise de Camaret, à dix mètres du bord, il avait aménagé une cavité avec un terrier à double sortie, et faisait ses apparitions régulières au seuil de l'une ou de l'autre. J'en profitais:

 

lezard-des-murailles 9734c

 

DSCN4530c.jpg

 

lezard-des-murailles 9792c

 

 

lezard-des-murailles 9801c

 

Partager cet article
Repost0
Published by jean-yves cordier
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 07:38

1. Le Bousier ou Géotrupe stercoraire, Geotrupes stercorarius( Linnaeus,1758).

   Le latinStercus, oris signifie "fumier", et le grec geo- et- tropos "transporter la terre", selon ma propre déduction.

 

bousier-geotrupe-stercoraire 9550c

 

  2. L'une des punaises des crucifères :Eurydema oleraceum (Linnaeus, 1758).

   Elle existe avec des taches blanches ou avec des taches noires, formes qui s'accouplent ensemble sans distinction de couleur. Elle appartient aux Eurydèmes, ou Strachies, et elle est un des parasites du chou avec sa collègue Eurydema ornata.

  Elle est parfois nommée Punaise potagère : l'épithète spécifique oleraceum vient du latin oleraceus,a, um : légume.

 

punaise-du-chou 9754c

 

 3. La punaise de la Jusquiame: Coryzus hyoscami (linnaeus, 1758).

 

   On peut la confondre avec le Soldat, ou Gendarme, ou Masque africain, Pyrrhocorus apterus :

 

 (Archive 2010 : pyrrhocorus apterus)

DSCN5952

 

Mais c'est une Rhopalidae, caractérisée par les nombreuses veines de l'hémélytre. Elle affiche les couleurs aposématiques de signalisation du danger de sa consommation, car elle se nourrit de jusqiame :

  Son épithète spécifique hyoscyami signifie "de la jusquiame", du grec huoskuamos, "la jusqiame" ou litteralement en grec "fève de porc", puisque c'est par une infusion de jusquiame que Circé transforma les compagnons d'Ulysse en cochons. L'hyoscamine, alcaloïde de la jusquiame, est l'isomère lévogyre de l'atropine et possède comme cette dernière des propriétés parasympathicolytiques.

   Par contre elle est presque dépourvue de glandes odoriférantes, comme les autres rhophalidae, ou "scentless plant bugs " des anglais, les punaises inodores.

  Son nom de coryzus ne renvoie sans-doute pas au coryza, mais ( je présume) du grec coris, punaise. L'auteur du genre Coryzus est  Carl Frederik Fallén, entomologiste suédois (1764-1830).

 

corysus-hyoscami 9629c

 

4. Un diptère : le grand Bombyle Bombylius major, (Linnaeus, 1758).

 

   Je l'avais mentionné comme parasite de l'abeille des sables, et effectivement Madame Bombyle, profitant de sa ressemblance avec un hyménoptère pour s'approcher des nids, pond ses oeufs à l'entrée des nids creusés en terrier dans le sol par les guêpes ou les abeilles.

Il dispose d'une longue trompe bien commode pour aspirer le nectar. Sa fourrure de poils pourrait le faire confondre avec un bourdon, mais il n'a qu'une paire d'aile, ce n'est qu'un diptère.

 

 

gd-bombyle 9641c

 

 

  5. Et ça?

 Une femelle de Syrphide sp., avec sa nervation alaire à faux bord que j'avais découvert chez l'Éristale gluante, avec son arista, ce long poil du troisième article de l'antenne, avec ses yeux séparés, ses pattes jaunes : une chrysotome, peut-être.

 

 

  insectes-9600c.jpg

 

insectes-9605c.jpg

 

 

 

6.  Trichocera hiemalis (De Geer, 1776).

 

trichocera-hiemalis-9655c.jpg

 

7 : noces de Tipules ?

 

 :trichocera-hiemalis-0441c.jpg

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by jean-yves cordier
3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 22:23

Colias croceus in copula :

 

DSCN4314c

 

 

DSCN4321c

 

DSCN4345c

 

 

DSCN4355c

 

 

DSCN4357c

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by jean-yves cordier
3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 22:16

      Les dunes de Goulien à Crozon sont envahies par des nuées qui se posent à terre, sur les joncs, les ajoncs, les prunelliers : des Bibionides, type Bibio marci ou autre .

   Ce qui frappe, c'est la différence entre le mâle, aux gros  yeux rapprochés, et la femelle aux petits yeux écartés l'un de l'autre.

bibionides 8916c

 

DSCN4199c

 

bibionides 0237cc

 

 

 

 

DSCN4236

 

DSCN4237c

 

bibionides 8927c

 

 

  On peut s'amuser à rechercher sur les images les éléments d'identification, comme l'éperon tibial, cette épine saillante à l'extrémité du tibia (chez la femelle, il l'aidera à enterrer ses oeufs)

 

bibionides 8962c (2)

 

     Les culturistes envieront ces fémurs très musclés, mais aussi très velus :

 

  bibionides 8982c

 

bibionides 8994cc

 

    Ou bien, outre leur carrosserie de traction-avant astiquée et lustrée comme pour le mariage de la petite soeur, nous pourrons observer les antennes  filiformes, comme celles de tous les nématocères (moustiques, tipules ) formées de 8 à 16 articles ronds comme des perles.

 

 

bibionides 9041c 

 

bibionides-9091c.jpg

 

 

   Ou encore admirer les pattes de mouche équipées de leur fameuses pulvilles séparées par l'empodium : Des Pieds-de-mouche, de la veuve et de l'orphelin.

 

bibionides-9050cc.jpg (

 

bibionides 9046c

 

 

   Ce mâle se livrait à un laborieux exercice de rétablissement sur barre fixe, qui dura plusieurs minutes : c'était un bon entraînement, pour aller plus tard agripper les fleurs d'ajonc.

 

bibionides 9071cc

 

bibionides 9080c

 

 

 bibionides 9102c

 

 bibionides 9107c

 

 

 bibionides 9118c

 

 

 

 

   Parfois, ils recevaient des amis à prendre l'apéritif :

 

bibionides 9116c

 

 

bibionides 9121c

 

 

   Et notre désormais familière Punaise de l'ajonc  :

 

bibionides 9130c

 

 

   Mais il faut aussi aller goûter aux fleurs des saules :

 

bibionides 9141c

 

bibionides 9147c

 

     Et il faut escalader les parois abruptes des fleurs de Prunellier :

 

 bibionides 9170c

 

bibionides 9178c

 

 

     Je n'ai photographié en butinage que des mâles, sauf exception : où étaient les femelles ?  En train de pondre leurs oeufs qui donneront des colonies de larves géophages favorables à la décomposition des matières végétales, mais destructrices des racines ?

 

  Non : elles avaient d'autres préoccupations : jouer au Mikado avec les messieurs :

 

bibionides 1391cc

 

  Ou faire les funambules :

 

bibionides 1394cc

 

bibionides 1397cc

 

 

   Pas facile, avec des échasses !

 

 bibionides 1403cc

 

Partager cet article
Repost0
Published by jean-yves cordier
3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 22:03

 

Date : 2 et 3 avril 2011 ; lieu Goulien.

1. La chenille de la Mélitée du plantain, Melitea cinxia L.

   Elle se reconnaît à sa tête rouge.

 

Son nid :

DSCN4302c

DSCN4296c

 

   ou mieux, sur le sentier vers Kerloc'h :

chenille-9587c.jpg

 

 chenille 8914c

DSCN4202c

 

 

 

chenille 8877c

 

chenille 8882c

 

 

 

 

chenille 8887c

 

chenille 8888c

 

 

chenille 8897c

 

 

 

chenille 8901c

chenille 8902c

 

 

 chenille 8905cc

 

 

 

 2. La chenille du Damier de la succise, Euphrydias aurinia Rott.

    Sa tête est noire, et le corps présente une bande latérale blanche ponctuèe de noir.

 

DSCN4281c

 

DSCN4280c

 

 

 

 DSCN4285

 

 

 

 

 

 

chenille 8950c

 

 chenille 8955c

 

chenille 9205c

 

 

  chenille 9228c

 chenille 9248c

 

Partager cet article
Repost0
Published by jean-yves cordier
3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 21:57

   Dimanche 3 avril, étang de Kerloc'h à Crozon : les premières Nymphes à corps de feu apparaissent, avec leurs yeux de porcelaine barrées de deux marques qui témoignent que leur émergence vient de survenir.

 

DSCN4379c

 

 

DSCN4382c

 

 

DSCN4403c

 

 

 

DSCN4386c

 

 

DSCN4421c

 

Partager cet article
Repost0
Published by jean-yves cordier

Présentation

  • : Le blog de jean-yves cordier
  • : 1) Une étude détaillée des monuments et œuvres artistiques et culturels, en Bretagne particulièrement, par le biais de mes photographies. Je privilégie les vitraux et la statuaire. 2) Une étude des noms de papillons et libellules (Zoonymie) observés en Bretagne.
  • Contact

Profil

  • jean-yves cordier
  • "Il faudrait voir sur chaque objet que tout détail est aventure" ( Guillevic, Terrraqué).  "Les vraies richesses, plus elles sont  grandes, plus on a de joie à les donner." (Giono ) "Délaisse les grandes routes, prends les sentiers !" (Pythagore)
  • "Il faudrait voir sur chaque objet que tout détail est aventure" ( Guillevic, Terrraqué). "Les vraies richesses, plus elles sont grandes, plus on a de joie à les donner." (Giono ) "Délaisse les grandes routes, prends les sentiers !" (Pythagore)

Recherche