Les statues extérieures (kersanton, Roland Doré, 1617) du porche de l'église de Guimiliau.
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Voir sur Guimiliau :
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La maîtresse-vitre de l'église de Guimiliau. (atelier quimpérois Le Sodec, v.1550)
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L'enclos paroissial de Guimiliau. I. La bannière Le Minor par Pierre Toulhoat (1992).
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PRÉSENTATION.
Attribution et datation.
On sait que le calvaire monumental de Guimiliau date de 1581 et 1588.
« Le porche de Guimiliau est un monument complexe et l'observation attentive révèle la participation de quatre mains différentes à son élaboration. L'équipe du Maître de Plougastel (1578-1621) est intervenue dès le début du chantier vers 1606 — une inscription à l'intérieur du porche le précise — jusqu'à 1617, date figurant sous l'architrave à droite de la grande agrafe feuillagée. Onze années ont ainsi été nécessaires pour monter le porche jusqu'à la voûte de pierre intérieure . » L'atelier du Maître de Plougastel a répondu aux goûts de l'époque, inspiré par le style renaissant adapté de Philibert Delorme et que l'on retrouve dans les colonnes doriques cannelées et baguées. » (E. Le Seac'h)
Le porche est principalement l'œuvre du Maître de Plougastel (1570-1621), anonyme installé à Landerneau et auteur, comme son nom de convention l'indique, du calvaire de Plougastel (1602-1604), mais aussi du calvaire de Locmélar, de l'intérieur du porche de Bodilis, et de bien d'autres œuvres, dans 31 paroisses (4 en Cap-Sizun, 3 dans le diocèse de Tréguier, 2 en Haute-Cornouaille, et toutes les autres dans le Léon au nord de l'Élorn).
Dans son Catalogue des ateliers de sculpture sur pierre Emmanuelle Le Seac'h attribue au Maître, à l'extérieur du porche, quatre scènes des piédroits et les voussures de l'arc d'entrée, les trois masques de l'architrave, quatorze petits masques sur les dais des contreforts
À l'intérieur du porche sud de Guimiliau, il est l'auteur des termes gainés et des deux bustes du fronton, du bénitier du trumeau, et des apôtres Pierre et Jean.
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Mais elle attribue d'autres éléments à une deuxième main, celle d'un compagnon, qu'elle baptise du nom de Valet du Maître de Plougastel. (Dans les archives, le "valet" est le bras droit du maître d'atelier, son second). Il a réalisé quatre scènes de l'arcature du porche, et est intervenu à l'intérieur du porche. Elle définit son style ainsi, à propos de quatre scènes des piédroits de l'extérieur du porche: "Les yeux sont globuleux, taillés en amande, avec des paupières ourlées. Le nez est droit, gros, avec des ailes larges. Les trous des narines sont creux, ce qui fait la particularité de ces sculptures. À l'inverse, les lèvres sont serrées, à peine dessinées. L'ensemble est relevé par une barbe bien peignée, avec des moustaches transversales qui démarrent sous les narines, laissant le haut des lèvres glabres. Le philtrum est inexistant. Une petite frange de cheveux reproduit la sinuosité des arcades sourcilières. ... Les visages suivent une inflexion au niveau des tempes contrairement aux visages du Maître de Plougastel qui sont tous ronds."
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Enfin, Roland Doré, qui a débuté dans l'atelier du Maître de Plougastel avant de prendre son autonomie, de sortir de l'anonymat et d'acquérir dans la sculpture du kersanton la célébrité qu'on saint, a réalisé le buste féminin du fronton, trois de quatre statues des niches des contreforts, et, à l'intérieur, six apôtres et le Christ Sauveur. Alors que le style du Maître de Plougastel se caractérise par son hiératisme, par la raideur des corps et ses visages ronds, Roland Doré s'affirme avec ses corps plus étirés, ses visages plus allongés et par le sourire espiègle et ingénu à la fois de ses personnages.
La statue de saint Sébastien, d'allure plus ancienne, n'a pas été attribuée par Le Seac'h, de même que les deux crossettes.
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Datation des œuvres de Roland Doré : 1624 ?
Si on suit toujours la publication d'E. Le Seach, on lit, page 204, ceci :
"Le montage du porche, qui aurait fait en 1617 selon l'année indiquée sur l'ouvrage, n'était pourtant pas terminé à cette date. L'atelier du Maître de Plougastel est repris par Roland Doré, vers 1621, à en croire d'une part la date inscrite sur la dernière œuvre datée du Maître de Plougastel au Relecq-Kerhuon et, d'autre part, le document d'archives daté de 1621-1622 de la réparation de la croix du cimetière de Hanvec qui mentionne "maître Rolland Doré et [...] ses compaignons". Le style pourtant est encore celui d'un débutant et Roland Doré n'atteint la maîtrise de son art qu'en 1624 sur le calvaire de Commana. C'est pourquoi je propose la date de 1624 comme date de reprise en main du chantier de Guimiliau par Roland Doré qui retaille à l'intérieur un lion de la frise en un masque aux rondeurs enfantines et au sourire ingénu, gallinacé, coq plutôt que paon, et à l'extérieur dans l'angle supérieur du fronton triangulaire le buste souriant de jeune fille tandis que les trois masques sont du Maître de Plougastel."
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Ce sont ces travaux qui rendent passionnants l'examen de ce porche.
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LE LION ET LE DRAGON (Kersanton, 1606-1617, atelier du Maître de Plougastel).
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Le chanoine Abgrall les décrivait ainsi :"Aux angles, deux gargouilles formées de deux chimères remarquablement galbées et d'une maigreur prodigieuse". Mais ce ne sont pas des gargouilles (qui assurent l'écoulement des eaux pluviales), mais des crossettes, comme à Pencran (1553), Landivisiau (1555-1565) et Guipavas (1563) où les sculptures de kersanton sont attribuées à l'atelier d'Henri et Bastien Prigent.
https://www.lavieb-aile.com/2017/01/le-porche-de-l-eglise-de-landivisiau.html
https://www.lavieb-aile.com/2017/03/l-enclos-paroissial-de-pencran-i.les-crossettes-du-porche-1553.html
https://www.lavieb-aile.com/2017/03/l-eglise-de-guipavas-i.les-crossettes.html
À Landivisiau et Pencran, ces crossettes forment un couple associant un lion et un dragon ailé. À Guipavas, ne se trouve qu'un dragon en kersanton (et un lion en pierre sur la façade opposée).
Nous trouvons donc à Guimiliau une véritable citation, un demi-siècle plus tard, des sculptures réalisées par l'atelier landernéen des Prigent qui avait précédé celui du Maître de Plougastel (notons que E. Le Seac'h n'en précise pas spécifiquement l'attribution ; mais leur emplacement ne permet pas d'autre hypothèse).
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Le dragon.
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Le lion.
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LE FRONTON.
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Deux colonnes cannelées aux chapiteaux corinthiens supportent un entablement composé d'une architrave moulurée, d'une frise et d'une corniche soutenue par des modillons.
L'inscription.
Sur la frise est sculptée l'inscription suivante : O QVAM : METVENDVS VERE : NON : EST : HIC : AL EST : LOCUS : ISTE IVD : NISI : DOMS : DEI.
Il s'agit d'un cantique grégorien qui reprend un verset de la Genèse 28:17 O quam metuendus vere non est hic al est locus iste nisi domus dei "O combien ce lieu est redoutable ! Vraiment ce n'est rien d'autre que la maison de Dieu.". On le trouve dans l'Antiphonaire des Vêpres pour la fête de dédicace d'une église.
https://gregorien.info/chant/id/5817/0/fr
https://cantus.uwaterloo.ca/chant/682215
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On retrouve cette inscription sur le chevet de l'église (voisine) de Lampaul-Guimiliau (vers 1627), sur le clocher de l'église Saint-Sauveur du Faou avec la date de 1628, et dans le porche (1640) de l'église de Gouesnou. Voir mes commentaires sur cette antienne dans l'article sur Le Faou.
Les inscriptions lapidaires de l'église saint-Sauveur du Faou (29).
https://www.lavieb-aile.com/article-eglise-de-gouesnou-inscriptions-et-armoiries-117905766.html
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Le buste féminin du sommet du fronton. Kersanton, Roland Doré, vers 1624 .
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"Au milieu et aux deux extrémités, au-dessus de la clef et des deux chapiteaux, sont trois bustes en cariatides, une femme et deux hommes ; ceux-ci coiffés d'une toque, celle-là, la tête nue, avec un collier de perles soutenant un médaillon. Dans le fronton qui couronne la corniche est un autre buste de femme ou de sirène. En dehors du fronton on voit deux têtes de chérubins." (Abgrall).
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Plus haut, règne le second entablement et le second fronton, dont les rampants aigus sont décorés de volutes ajourées remplaçant les crossettes de la période gothique. Au milieu de ce fronton, une niche formée de colonnettes ioniques abrite la statue de saint Miliau. Le saint Patron de l'église est assis, la couronne ducale en tête, la cordelière passée au cou. Il est vêtu du manteau ducal et tient de la main droite l'épée et de la gauche le sceptre. Le clocheton qui couronne l'ensemble du porche est encore plus beau et plus important que ceux des contreforts d'angle."
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Le buste masculin de l'architrave. Kersanton, Maître de Plougastel, vers 1617.
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Comparez avec le buste sculpté par le Maître de Plougastel sur le fronton du porche intérieur.
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Celui-ci porte sur le gilet boutonné un manteau plus riche que la veste de son collègue de l'intérieur, avec ses pans rabattus et ses manches plissées : c'est le portrait d'un marchand de toile, un de ces riches juloded qui sont les fabriciens de la paroisse. Mais à la différence du porche de Saint-Thégonnec, ces commanditaires élus pour un an à la tête de la gestion de la paroisse n'ont inscrit nul part leur nom.
On remarque sa longue chevelure et son bonnet large et plat.
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Le buste féminin de l'architrave. Kersanton, Maître de Plougastel, vers 1617.
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Elle pourrait se comparer également, pour son costume, à son homologue du porche intérieur. Mais celle-ci n'a pas le visage austère, le nez et le menton trop fort et le hiératisme de celle-là. Son collier rappelle celui des cariatides de l'atelier de Kerjean.
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Le buste masculin du coté droit de l'architrave. Kersanton, Maître de Plougastel, vers 1617.
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C'est sans doute ici le portrait du deuxième fabricien de l'année où les travaux ont été commandités. Il a la même chevelure à mèches crantées que son collègue, la même élégance pour le choix de son manteau, mais diffère par son chapeau, ceint d'une sorte de turban.
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Un ange à coté de l'architrave. Kersanton.
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Deux têtes d'anges, identiques, encadrent l'architrave. Ne seraient-ils pas l'œuvre de Roland Doré, vers 1624, puisque nous retrouvons les pupilles creuses, et le sourire aux commissures accentuées qui le caractérise ?
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L'agrafe feuillagée du sommet de l'arcature. Kersanton, Maître de Plougastel, vers 1617.
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LE SECOND FRONTON ET LA STATUE DE SAINT MILIAU (kersanton,1624 ?) .
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Dans sa niche à colonnes cannelées ioniques, la statue porte sur son socle une inscription dont je ne déchiffre que le début : S : MILIO : & POL...
Le saint patron de la paroisse fut prince de Cornouailles et roi de Cornouailles et d'Armorique en 510 avant d'être décapité. On le voit ici couronné, portant le sceptre et l'épée, ceint de deux chaines (qu'on présume d'or), mais il est vêtu, comme un prince de la Renaissance, d'une tunique courte serrée par une ceinture, de chausses et chaussures, d'une cape, et d'une fraise de style Henri IV. Il ne lui manque que la barbe pour être parfaitement contemporain du sculpteur qui l'a taillé. On appréciera la différence avec le saint Miliau du retable éponyme, en l'église de Lampaul-Guimiliau, qui porte certes couronne, épée, sceptre et chaine d'or, mais n'a pas ces détails vestimentaires.
Elle n'a pas été attribuée, notamment pas à Roland Doré; Elle est entourée de deux têtes d'anges, similaires à ceux de l'étage inférieure, et qui me semblent sortir, eux, de l'atelier de Roland Doré.
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LES CONTREFORTS.
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"Dans les contreforts d'angle, le soubassement est composé de panneaux encadrés de solides moulures sculptées dans le granit ; plus haut, immédiatement, viennent des sculptures en Kersanton. Les profils ont conservé toute la netteté, toute la finesse des premiers jours ; ils ont la pureté des plus belles moulures des temples grecs. D'abord, on voit une petite frise formée de cartouches alternant avec des têtes variées et la plupart grimaçantes. Dans deux des panneaux, de petits amours portent des cartouches ; à côté, est un petit personnage portant toque et grande braie. Les niches qui couvrent les côtés des contreforts sont formées de colonnettes supportant des dais en forme de lanternons. Elles abritent : 1° Un saint moine tenant un livre ; 2° Un saint évêque en chape, avec mitre et crosse ; 3° Un saint pape bénissant ; 4° Un saint Sébastien. Au bout de ces contreforts, un solide entablement supporte de beaux clochetons carrés, terminés par une coupole et une petite lanterne ronde." (J.M. Abgrall)
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Le contrefort de droite. Face extérieure. Saint Sébastien. Kersanton.
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Le contrefort de droite. Face intérieure. Un saint pape. Kersanton, Roland Doré, vers 1624.
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Le contrefort de gauche. Face intérieure. Saint évêque. Kersanton, Roland Doré, vers 1624.
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Le contrefort de gauche. Face extérieure. Saint moine cordelier. Kersanton, Roland Doré, vers 1624.
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LA PORTE SUD. LE BLASON DES GUENGAT.
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" Passé le porche, on voit se développer le mur du bas-côté Sud. Il est divisé en trois travées, séparées par des contreforts armés de bandeaux, de niches avec pilastres et dais, et surmontés de clochetons. Chacune de ces travées est percée d'une longue fenêtre à trois baies que surmonte un pignon terminé aussi par un clocheton.
Au bas du rampant du premier gable, tout contre le porche, est une pierre portant la date de 1642.
Dans cette même travée, près du contrefort, est percée une porte à plein-cintre, accostée de deux pilastres ioniques, et couronnée par un entablement et un fronton.
Au tympan de ce fronton est un blason portant trois mains bénissantes, 2 et 1, armes de Kerbalanec, le tout surmonté d'une couronne et entouré de la décoration de la Toison d'Or ou de l'Ordre de Saint-Michel. De l'autre côté du premier contrefort, on remarque une tourelle ronde noyée dans la muraille : c'est une cage d'escalier montant à une tribune intérieure, maintenant détruite ; c'était la tribune des seigneurs de Kerbalanec." (J.M. Abgrall)
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Cette porte est murée ; le blason en kersanton est bien conservé. On y voit le collier de l'Ordre de Saint-Michel dont on reconnaît les coquilles, et une couronne à trois fleurons. Les meubles sont-ils vraiment des "mains bénissantes", dont les deux derniers doigts sont repliés ? Je les décrit plutôt comme des mains apaumées, et je les attribue (avec Pol de Courcy et Louis Le Guennec) aux seigneurs de Guengat (d'azur à trois mains apaumées d'argent en pal), qui devinrent sieurs de Kerbalanec.
"La commune ne contient aucune chapelle. Les terres nobles étaient Kerbalanec, Penhoat-Huon et Coëtquelfen. Kerbalanec appartenait en 1636 à Gabriel Le Maucazre, capitaine de la paroisse de Guimiliau, et plus tard à la famille de Guengat, dont on voit les armes, trois mains appaumées, entourées du collier de l'Ordre de Saint-Michel, au-dessus d'une porte de l'église." (Le Guennec)
"Les voussures du porche renferment plusieurs scènes de l'Ancien et du Nouveau Testament délicatement sculptées en kersanton. Sur une porte latérale condamnée, on voit les armes de la famille de Guengat, fondue en 1636 dans celle de Kergorlay, et sur une pierre tombale , un écusson en losange, mi-partie de Cornouaille et de Kergorlay, armes répétées à l'extérieur de l'église, ainsi que sur le baptistère élevé en 1675 , « du temps de vénérable et discret messire H . Guillerm , recteur. » La cuve baptismale est entourée de colonnes torses enlacées par des vignes chargées de raisins, et par une variété charmante de fleurs , de fruits et même d'insectes. Ces colonnes supportent un baldaquin ayant pour amortissement un Dauphin , au -dessus duquel deux Renommées, embouchant la trompette, élèvent une couronne royale. De petits drapeaux, aux armes des donateurs, flottent au -dessous des trompettes, et l'on y reconnait , comme nous l'avons dit, les armes d'un sieur de Cornouaille et d 'une demoiselle de Kergorlay, sa compagne, possesseurs , au xviie siècle , de la seigneurie de Kerbalanec , dans la paroisse de Guimiliau." (Pol de Courcy)
Les armes de Kerbalanec étaient d'or à un arbre de sinople, sommé d'une pie au naturel.
Celles de Le Maucazre, d'or à trois roses de gueules alias à trois tourteaux de gueules.
Celles de Kergolay étaient un vairé d'or et de gueules.
Pour aller plus loin, il faut considérer que le titre de sieur de Guengat appartient, au XVIIe siècle, à la famille de Kergolay. ( Vincent de Kergolay (1669), Jacques-Claude, puis Gabriel-Claude et René-François).
Les Kergolay possédaient au XVIe siècle le manoir de Kervern à Guimiliau.
Il reste à comprendre la présence d'une couronne.
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SOURCES ET LIENS.
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— ABGRALL (Jean-Marie), 1883, L'église de Guimiliau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère.
https://societe-archeologique.du-finistere.org/bulletin_article/saf1883_0145_0161.html
— ABGRALL (Jean-Marie), 1912, Notice sur Guimiliau, BDHA
https://bibliotheque.diocese-quimper.fr/files/original/afef0cf82b371a72f35a42200cb9a127.pdf
— ABGRALL (Jean-Marie) 1924, L'église de Guimiliau, porche, calvaire, ossuaire, (Brest 1906, Morlaix, 1924 et 1935)
https://bibliotheque.diocese-quimper.fr/files/original/4c94b42ee1cf842a818f30319dac78c2.pdf
— DEBIDOUR (Victor-Henry), 1953, La sculpture bretonne: étude d'iconographie religieuse populaire, Plihon, 1953 - 245 pages, page 208.
— COUFFON (René), LE BARS (Alfred), 1988, Notice sur Guimiliau, Extrait de : Diocèse de Quimper et Léon, nouveau répertoire des églises et chapelles, Quimper, Association diocésaine, 1988. - 551 p.: ill.; 28 cm.
https://bibliotheque.diocese-quimper.fr/files/original/c5585b77d35c16ac2fe4dc3004e36d8f.pdf
— LE GUENNEC (Louis), Morlaix et sa région. page 268
— LE SEAC'H (Emmanuelle), 2014, Sculpteurs sur pierre en Basse-Bretagne, les ateliers du XVe au XVIIe siècle , 1 vol. (407 p.) - 1 disque optique numérique (CD-ROM) : ill. en coul. ; 29 cm ; coul. ; 12 cm . Note : Index. - Notes bibliogr., bibliogr. p. 373-395 Rennes : Presses universitaires de Rennes , 2014 Éditeur scientifique : Jean-Yves Éveillard, Dominique Le Page, François Roudaut.
— NANTEUIL (Alfred DE LA BARRE DE ), 1914, Guimiliau (S.F.A. - C.A. 1914) Non consulté.
— POTIER DE COURCY (Pol), 1864, De Rennes à Brest et à Saint-Malo: itinéraire historique et descriptif; L. Hachette et Cie, page 283
https://books.google.fr/books?id=3ueE6p-q1AYC&dq=guengat+kergorlay+guimiliau&hl=fr&source=gbs_navlinks_s
—ROYER (E.) 1979 : Guimiliau (Rennes, 1979) . Non consulté.
—TUGORES (M.M.) 1979 : Eglise Saint-Miliau, la tribune des orgues (B.S.A.F. 1979) Non consulté.
—WAQUET (H.), 1952, Guimiliau (Châteaulin, 1952) - Guimiliau (Châteaulin, 1977) - Non consulté.
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