L'enclos paroissial de Dirinon. II. Le calvaire (1450).
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Sur Dirinon, voir :
L'enclos paroissial de Dirinon I : les crossettes, les inscriptions et sculptures extérieures.
L'enclos paroissial de Dirinon III. la Poutre de Gloire (1623).
L'enclos paroissial de Dirinon V. Les sablières (1623), les blochets et poinçons.
Les croix et calvaires de Dirinon
Les calvaires de Dirinon . I. Le calvaire du bourg (XVe siècle).
Les calvaires de Dirinon . III. La croix de Kermélénec (1568).
Les calvaires de Dirinon IV : la croix de Kerniouarn / Kerpierre (XVe siècle).
Les calvaires de Dirinon V : La Grange, échangeur de la Voie express.(XVe siècle).
Les calvaires de Dirinon VI : la croix de Coménec ou Croas-Guénolé (vers 1610)
Les calvaires de Dirinon VII : La croix de Ty-Croas (XVIe siècle).
Voir aussi, par l'atelier de sculpture du Folgoët (1423-1509):
- Le gisant de la chapelle Sainte-Nonne à Dirinon (vers 1468).
- L'église Notre-Dame de Rumengol (29). II. Le calvaire. ( vers 1450).
- L'église Notre-Dame de Rumengol. III. Le porche sud (vers 1468).
- Le porche de La Martyre (vers 1450)
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Revue de littérature.
J'aime débuter ma visite en rassemblant les informations disponibles .
– Jean-Marie Abgrall (1907) :
"Sur le calvaire voisin du chevet de l'église, se voient les armes des sieurs de Toutenoutre : d'argent à trois hures de saumon coupées, d'azur."
– Yves-Pascal Castel in Atlas des croix et calvaires consulté en 2017:
"Dirinon no 1, cimetière, k. 5 m. XVè s. Deux degrés. Socle: O CRUX AVE. CROIX DU XVIIè SIECLE RESTAUREE POUR LA MISSION DE 1909 DONNART. Fût à pans semés d’hermines. Branche, écu aux armes Du Louet, statues géminées: Vierge-sainte Barbe, Jean - Pierre. Croix fleuronnée, dais, crucifix, Vierge à l’Enfant."
– René Couffon (1988):
"Dans l'enclos (site classé), croix en kersanton du XVe siècle, restaurée par Donnart en 1909 : statues géminées sur le croisillon, Vierge à l'Enfant au revers ; écu aux armes des Du Louët."
– Emmanuelle Le Seach (2014) : non décrit (!), mais référence capitale pour l'atelier du Folgoët, auquel le gisant de sainte Nonne est attribué.
– Chanoine François Falc'hun (1986).
"Le Calvaire du cimetière de Dirinon : la partie supérieure, sculptée en un seul bloc de kersantite, est de belle facture : sous un dais de décor flamboyant sont rassemblés sept personnages : vers l'ouest, le Christ, encadré par la Vierge et saint Jean ; vers l'est, la Vierge à l'enfant, saint Pierre, tenant la clef dans la main droite, et Marie-Madeleine portant dans sa main gauche le vase des aromates."
– Infobretagne :
"le calvaire de l’enclos paroissial (XVème siècle), restauré en 1909, avec statues de saint Pierre et sainte Barbe"
— Topic-topos :
"Sous un dais au décor flamboyant, sont rassemblés sept personnages : vers l'ouest, le Christ encadré par la Vierge et saint Jean ; vers l'est, la Vierge à l'Enfant, saint Pierre tenant la clef, et Marie Madeleine portant le vase des aromates. Le nœud porte les blasons des familles Du Louët et Simon de Kerbringal"
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Je ne m'arrêterai pas sur l'emmarchement à deux degrés, sur le socle avec l'inscription O Crux Ave ("Salut, ô Croix") et sur le fût à pans semés d'hermines datant de la restauration après la mission de 1909 (recteur J-F. Corre). L'entreprise Donnart, installée Boulevard de la Gare à Landerneau par Jean Guillaume, –qui a travaillé pour le sculpteur Larchantel– et ses frères, a employé jusqu'à 100 personnes pour tailler la pierre, principalement du kersanton ; elle possédait une carrière de kersantite, celle de Kersafloc'h à Loperhet. Les frères Alain et Mathieu se réservait la sculpture des églises (Christ, bourdons, ...). Source Bernard Kernéis.
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A. LA FACE ORIENTALE : VIERGE À L'ENFANT.
Comme c'est la règle, la face principale (Crucifixion) est tournée vers l'ouest pour témoigner de la foi dans la Résurrection face au couchant de la mort. Au dos de celle-ci, face à l'est, sous un dais à accolade, la Vierge à l'Enfant est entourée sur le croisillon de saint Pierre et de sainte Marie-Madeleine.
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Sous les pieds de Marie se voit un écu à trois têtes animales : ce sont les armes de la famille du Louet, Sr. de Lesquivit : d'or à trois têtes de loup de sable arrachées de gueules.
"La famille possédait les domaines de Liorzinic en Plougastel-Daoulas, du Plessix et de Lesquivit en Dirinon, de Coëtjunval en Ploudaniel, de Keranhoat, Kerhoënt et Kerrom (Minihy du Léon), Kerguiziau en Bohars, de Quijac en Lambézellec, de Penanvern en Saint-Martin-des-Champs, de Pirvit en Plédran, de Kerangarz, Treffilis et la Fosse en Lannilis, de Coëtivy en Plouvien, de la Villeneuve en Plouézoch, du Rest et Trévéhy en Plouénan, de Lesplougoulm en Plougoulm, de Penaot en Mahalon.
"La famille du Louet est présente aux réformations et montres de 1426 à 1534, paroisses de Plougastel-Daoulas, Dirinon et Ploudaniel. Cette famille semble originaire de Plougastel-Daoulas (la chapelle de Notre-Dame de la Fontaine-Blanche dans cette paroisse possède un blason de la famille du Louët de Liorzinic).
Macé du Louët, fut conseiller du duc de Bretagne Jean IV en 1391. Son fils Pierre du Louët, sieur de Liorzinic, se maria avec Marguerite de Launay. Leur fils, Alain du Louët, marié avec Marguerite de La Palue. Leur fils, Jean du Louët, marié avec Françoise de La Lande. Leur fils, Pierre du Louët, sieur de Kerhanhoat [Kerancoat], marié vers 1515 avec Marguerite de Coëtmenech, dame de Coëtjunval, dont il prit les armes " (Wikipédia, Loperhet)
"Macé, conseiller du duc Jean IV en 1391 ; Pierre, Sr. de Liorzinic, marié à Marguerite de Launay, veuve en 1426, laissa de ce mariage : Alain, vivant en 1448, époux de Marie de la Palue, père de Jean, marié à Françoise de la Lande, dont : 1° Pierre, Sr. de Kerhanhoat, marié vers 1515 à Marguerite de Coëtmenec'h, dame de Coëtjunval, dont il prit les armes : 2° Jean, auteur des Srs. de Lesquivit, marié à Isabeau Simon, de la maison de Kerbringal.
Six chevaliers de l'ordre du Roi depuis 1573 ; René, abbé de Daoulas en 1581, mort en 1598 ; René, évêque de Cornouaille en 1642 mort en 1666.
La branche de Keranhoat fondue dans du Harlay, puis Montmorency-Luxembourg ; la branche de Lesquivit fondue dans Kerguern ; la branche de Penanvern fondue au XVIIè dans Marbeuf.
Le Sr. de Trémaudez, débouté à la réformation de 1668, portait les premières armes." (Pol de Courcy, Nobiliaire..)
L'auteur de l'article "Dirinon" sur Wikipédia (consulté le 10-02-2017) reprend la lecture d'Abgrall 1907 et voit dans ces armoiries des hures de saumons :
" La famille Du Louët, seigneur de Liorzinic à Plougastel-Daoulas et de Keranhoat en Loperhet, etc., était aussi seigneur du Plessix et de Lesquivit en Dirinon. L'actuel château de Lesquivit, qui date du xviiie siècle a été construit par des membres de la famille Du Louët à l’emplacement de l'ancienne enceinte médiévale « Castel ar Roue », édifiée par la même famille Du Louët18.
En 1585, le manoir de Pennarun (Penn a Run signifie en breton : "à l'extrémité de la colline") passe par alliance aux Toutenoutre, par le mariage de Jérôme de Toutenoutre avec Gilette Le Louët. La Chambre des comptes de Bretagne possède des archives concernant un certain « Olivier de Toutenoutre, écuyer, seigneur de Penanrun et autres lieux » et les Archives du Finistère conservent un acte du 22 septembre 1718 concernant une dame Marie de Keroudant, veuve douairière de Louis Toutenoutre, seigneur de Penanrun, et autres lieux, demeurant en son manoir de Penanrun, paroisse de Dirinon. Les armes des seigneurs de Toutenoutre (d'argent à trois hures de saumon coupées d'azur) se trouvent sur le calvaire situé dans l'enclos paroissial de Dirinon." Wikipédia.
Si ce calvaire date des années 1450, les armoiries correspondent aux couples Alain du Louët (décès avant 1517) / Marie de la Palue, ou Jean du Louët / Françoise de la Lande, ou encore Jean, sr de Lesquivit / Isabeau Simon. Les armoiries de la Palue peuvent être, d'après mes recherches, d'argent au lion morné de sable surmonté d'un lambel de gueules mais je lis aussi : "les seigneurs de la Palue, ramage de la famille de Léon, dont ils portaient les armes :d’or au lion de sable brisé en chef d’un lambel de gueules. ". Par contre (cf. infra), celles des Simon de Kerbringal sont de sable au lion d'argent, armé et lampassé de gueules. A suivre...
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1°) La Vierge à l'Enfant.
Une couronne est posée sur la longue chevelure libre. La Vierge porte un manteau à fermail au dessus d'une robe ras-du-cou et tombant très as, ne laissant voir que le bout de chaussures rondes. Elle présente un fruit rond (donc, une pomme) à son Fils. Celui-ci, en robe à pli médian, tend la main droite, index tendu, en direction peut-être de ce fruit. L'autre main, vide, pend le long du corps. L'ensemble, comme le reste du calvaire, est envahi par un lichen blanc regrettable. Des photos plus anciennes montrent mieux la chevelure de l'Enfant, en boules ou macarons, typique de l'atelier du Folgoët, comme nous le verrons.
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Saint Pierre et Vierge, Face orientale du Calvaire (vers 1450) de Dirinon . Photographie lavieb-aile.
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2°) Saint Pierre, à la droite de la Vierge.
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3°) Sainte Marie-Madeleine à gauche de la Vierge.
Elle tient un objet perdu dans la main droite, et un vase d'aromate dans la main gauche. Sur l'île de Lilliput, il y a les Petits-boutiens et les Gros-boutiens, et, pour ce personnage, il y a les Sainte-Barbiens et les Sainte-Marie-Madeliens. Sainte Barbe protège de la foudre (fort mal, le clocher de Dirinon en sait quelque-chose), et tient avec elle une tour percée de trois fenêtres, que l'on a pu reconnaître dans l'objet à chapeau pointu ici présent. L'objet perdu de droite serait, en toute logique, alors, une palme du martyre. Mais qui a déjà vu Santez Barba juchée sur le culot d'un calvaire breton ? Alors que sainte Marie Madeleine, caractérisée par sa longue chevelure et son vase de parfum (ou d'aromate), est constamment placée au pied de la croix dans les Passions finistériennes des maîtresse-vitres, et qu'elle forme avec Marie et Jean, un trio de compassion dans les Déplorations.
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B. LA FACE OCCIDENTALE / LE CHRIST ENTOURÉ DE LA VIERGE ET DE SAINT JEAN.
La croix : Les branches des fleurons sont à choux carrés. Le dais carré gothique flamboyant est caractérisé par ses arcs en accolades.
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Vue de trois-quart : les statues sont géminées. Vierge / Marie-Madeleine et Jean / Pierre.
Certes, les statues sont géminées, comme le fera plus tard Roland Doré. Mais, avec une virtuosité incroyable, c'est l'ensemble du calvaire avec ses sept personnages et sa croix qui est sculpté dans un seul bloc de kersanton !
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1°) Le Christ.
Titulus JNRJ (INRI). Tête baissée et inclinés, yeux clos, le Christ aux traits paisibles est figuré après sa mort. Ses cheveux sont longs, ceints de la couronne d'épines. Le perizonium, plus plissé et moins gracieux qu'à Rumengol, est noué sur la droite. Les mains sont clouées dans la paume. Les pieds sont cloués ensemble, pied droit sur le pied gauche. La représentation du thorax est assez réaliste, les côtes sont marquées. L'écoulement du sang des plaies n'est pas représenté.
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2°) Saint Jean.
Mains croisées sur le ventre, traits lisses, les yeux ouverts mais inexpressifs, le disciple préféré du Christ semble figé dans l'attente.
La caractéristique qui est remarquable est sa coiffure, en boules ou macarons méchés, car elle est reconnaissable comme relevant du style du premier atelier du Folgoët, décrit par Emmanuelle Le Seac'h. C'est elle qui a souligné ces cheveux "ébouriffés", "méchés" (aucun terme n'est parfaitement descriptif) qu'elle a retrouvé sur l'autel des Anges du Folgoët (vers 1445), sur le coffre du tombeau de Gatien de Monceaux (Musée départemental breton de Quimper, vers 1420), sur le coffre du tombeau de l'évêque Alain de Lespervez (vers 1455), ou coiffant les anges du porche sud de la cathédrale de Quimper, du porche de La Martyre (1450-1468) ou des apôtres du porche Rumengol (vers 1468), sur saint Jean du calvaire de Rumengol et de celui de Plomodiern, mais qui se retrouvent aussi sur l'ange tenant un écu du gisant de sainte Nonne à Dirinon, et, nous venons de le voir, sur l'Enfant-Jésus de ce calvaire.
Pourtant, E. Le Seac'h, qui a dressé le catalogue raisonné des ateliers de sculpture de Basse-Bretagne, a bien attribué le gisant de sainte Nonne au grand atelier ducal du Folgoët (1423-1509), mais n'y a pas inclus ce calvaire.
Comparer avec le calvaire de Rumengol, qui est contemporain de celui de Dirinon (vers 1450) photo lavieb-aile:
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3°) La Vierge.
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Notez les yeux en amandes, ourlés, qui sont, avec les pommettes saillantes et l'arcade sourcilière prononcée, l'ovale marqué et les lèvres fines, une des caractéristiques de l'atelier du Folgoët (Le Seac'h, p. 74 et 77)
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4°) L'écu au pied de la croix.
Il porte les armoiries des Simon, sieur de Kerbringal, de sable au lion d'argent armé et lampassé de gueules : un blason qui se retrouve sur le coté du gisant de sainte Nonne, et sur le reliquaire en argent de la sainte.
Selon le Nobiliaire de Pol de Courcy :
"SIMON, sr de Kergoulouarn, par. de Plouvorn, — de Tromenec, par. de Landéda, — de Bigodou, par. de Saint-Martin-des-Champs, —de Kerbringal, par. de Dirinon, — de Kerannot, par. de Saint-Thégonnec, —de Kergadiou, —de la Palue, par. de Plougoulm, — de Pensez, par. de Plouvien, — de Poulhalec, — de Keropartz, par. de Lanmeur, — de Kerénez, par. de Kerlouan , — de Kersalliou, par. du Minihy de Léon, — de Kerven, — de la Lande.
Anc. ext., réf. 1669, neuf gén.; réf. et montres de 1428 à 1862, par. de Plouvorn , Plougoulm et Landéda, év. de Léon, Dirinon, év. de Cornouailles, et Plougaznou, év. de Tréguier.
De sable au lion d'argent, armé et lampassé de gueules. Devise : C'est mon plaisir.
Eudes, croisé en 1248; Yvon, archer dans une montre de 1378 reçue par Olivier Le Moine, capitaine de Lesneven, père de 1° Yvon, sr de Kergoulouarn, marié vers 1400 à Catherine de Kerouzéré, • dont Guillaume, époux en 1437 d'Adelice Le Barbu, dame de Tromenec; 2° Hervé, sr de Kerbringal, dont la postérité s'est fondue dans Silgny."
Vers 1450, je peux penser que c'est Hervé Simon de Kerbringal qui a fait timbrer ici ses armes, mais je ne trouve pas de données sur ce personnage. Mais nous avons vu supra que Jean du Louet a épousé Isabeau Simon de Kerbringal, ce qui me conduit à proposer l'hypothèse que c'est ce couple qui est le commanditaire de ce calvaire. Cependant, j'ignore la date précise de leur mariage. Ou bien, ce sont les deux familles, déjà proches, qui se sont unies pour financer et ordonner cette construction, suivant en cela l'exemple du mécénat des ducs de Bretagne (Jean V et ses fils, puis François II) au Folgoët, à Quimper ou ailleurs.
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Écu des Simon de Kerbringal. Face occidentale du Calvaire (vers 1450) de Dirinon . Photographie lavieb-aile 2016.
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Discussion .
La paroisse –ou la commune– de Dirinon conserve trois témoignages de l'activité de mécénat religieux des seigneurs locaux datant du milieu du XVe siècle. Le calvaire de l'enclos paroissial (Familles du Louët de Lesquivit et Simon de Kerbringal) et le le gisant de sainte Nonne semblent sortir du même atelier de sculpteurs, celui du Folgoët (1423_1509). Le reliquaire de sainte Nonne , datant de 1450, porte les blasons des familles Simon de Kerbringal, de Maufuric de Lézuzan, de Goulezre et du Rouazle. Il est l'œuvre d'un orfèvre de Morlaix.
Ce sont les seuls témoins de la vie religieuse du XVe siècle, puisque l'église actuelle et sa chapelle furent mises en chantier en 1577, 1588 et 1593 selon les inscriptions lapidaires.
L'intérêt majeur est de conserver l'un des rares calvaires finistériens du XVe siècle, et de le situer dans le cadre stylistique du premier atelier de sculpture sur pierre (kersanton) de Basse-Bretagne.
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SOURCES ET LIENS.
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— ABGRALL (Chanoine Jean-Marie), 1907, Notice sur les paroisses : Dirinon, in Bulletin Diocesain d'Histoire et d'Archéologie, Quimper.
https://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/bdd181929b72800d010461e5f4ff222d.pdf
—APEVE (Association pour la Promotion des enclos paroissiaux de la vallée de l'Élorn), 2013, "Dirinon", texte, photos, mise en page : François LE MEN, Jean PRZYGODA, Pierre CHAMARD-BLOIS.
— Infobretagne "Enclos paroissial de Dirinon" : http://www.infobretagne.com/enclos-dirinon.htm
— CASTEL (Yves-Pascal), "Dirinon" Calvaire n°421, Atlas des croix et calvaires du Finistère, Société Archéologique du Finistère, Quimper Atlas en ligne :
http://croixetcalvaires.dufinistere.org/commune/dirinon/dirinon.html
— CASTEL (Yves-Pascal), 1980, Atlas des croix et calvaires du Finistère, Société Archéologique du Finistère, Quimper, 370 p.
— CASTEL (Yves-Pascal), 1993, Croix et calvaires de Dirinon, Progrès de Cornouaille /Courrier du Léon 9 mars 1993
0954 Dirinon, Croix et Calvaires... 03.09.93.,” Collections numérisées – Diocèse de Quimper et Léon, consulté le 5 février 2017, https://diocese-quimper.fr/bibliotheque/items/show/2456.
https://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/71f7516bf9d58e7cc2eaa4246f072eb5.jpg
— COUFFON (René) & LE BRAS (Alfred), 1988, "Dirinon" Diocèse de Quimper et de Léon, nouveau répertoire des églises et chapelles, Quimper, Association diocésaine, 1988, 551 p.
http://diocese-quimper.fr/images/stories/bibliotheque/pdf/pdf-Couffon/DIRINON.pdf
—FALC'HUN (Chanoine François), 1986, Dirinon, Editions Ouest-France, 32 pages, pages 30 et 31.
— LE SEAC'H (Emmanuelle), 2014, Sculpteurs sur pierre en Basse-Bretagne. Les ateliers du XVe au XVIIe siècle. Coll. "Art et Société" Presses Universitaires de Rennes.
POTIER DE COURCY (Pol), 1890, Nobiliaire et Armorial de Bretagne tome II, 3ème édition
https://archive.org/stream/NobiliaireEtArmorialDeBretagne2/Nobiliaire_et_armorial_de_bretagne2#page/n215/mode/2up/search/kerbringal
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