La chapelle de la Trinité (An Dreïnded) de Lanridec en Pleyben.
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Voir aussi sur Pleyben :
L'église
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La charpente sculptée de l'église de Pleyben (1571) par le Maître de Pleyben : le transept sud.
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Le sacraire (bois polychrome, deuxième moitié du XVIe siècle) du chœur de l'église de Pleyben.
Les chapelles :
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La chapelle Notre-Dame de Lannelec à Pleyben. Deuxième partie : Sainte-Barbe .
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La chapelle Saint-Laurent en Pleyben. L'édifice (XVIe, 1662, 1731, 1776, 1808,...).
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La chapelle Saint-Laurent à Rozalghen en Pleyben. Le calvaire (Bastien Prigent, vers 1555).
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PRÉSENTATION.
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Lanridec ou Lanrideg se trouve à 5,6 km au nord du bourg de Pleyben, à égale distance de celui-ci avec ceux de Braspart et de Lopérec. La chapelle occupe une situation élevée, à 124 m d'altitude, sur une ligne de crête entre deux ruisseaux descendant se jeter dans la Douffine 50 m plus bas.
À une centaine de mètres au nord, la carte IGN indique les lieux-dits Pennod (un promontoire surplombant à 113 m. la Douffine), et Meilh Pennod (le moulin en contrebas), tandis que Nevez Pennod se trouve légèrement plus à l'ouest, et que, sur la route de Lopérec, Croaz Pennod indique au sud l'embranchement vers la chapelle : ces toponymes deviennent, sur la carte d'Etat-Major 1822-1866, Pennaut, Moulin de Pannault et Penahout, ou Pennant sur la carte de Cassini. On retrouve ce toponyme Pennod/Pennault à Lothey au dessus de l'Aulne. Il signifie "le sommet de la falaise", le suffixe gaulois -enn (ennus, enna) ici associé au suffixe oronymique -aod "falaise" se retrouvant souvent pour désigner des hauteurs (Jacques Lacroix 2004). Il est relié au radical celtique et breton -penn "tête, extrémité, qu' on le trouve tout autour du site de Pennod sous les formes Pennfeunteun, Penhoaden, Penn ar c'hoad, Penn an Neac'h, Pennawern indiquant que c'est tout le massif dominant au nord de la paroisse de Pleyben la boucle de la Douffine qui constitue une pointe en cul de sac à l'ouest de la route Pleyben-Braspart. En 1822-1866, un pont du Dour Du permet le passage de la route Lopérec-Pleyben, et la carte indique au nord le pont de Ruis.
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En effet, la chapelle a été probablement construite au XVIe siècle pour les seigneurs de Pennault (dont on trouve les armoiries sur le chevet au dessus de la maîtresse-vitre, et sur la tour), puisque d'après Pérénnès, Pierre de Coatrediez, sieur de Pennault en revendiquait le patronage dans un aveu de 1603 conservé aux Archives Départementales. En 1654, selon les archives paroissiales, il y célébrait un mariage.
La tour et et la chambre de cloches datent du 17e siècle. La chapelle a été restaurée en 1675 (date portée sur le linteau d´une porte bouchée au niveau du chevet), puis en 1726 (date portée sur le clocheton ainsi que l´inscription « CHRISTOPHE LE BRIS FABRIQUE LAN 1726 »), et enfin en 1881 (intervention globale). La sacristie a été ajoutée au 19e siècle.
Le plan est en croix latine ; des contreforts sont présents aux angles nord-ouest et sud-ouest ainsi que sur le mur sud de la nef. Le pignon ouest est appareillé en pierre de taille de granite surmonté d´une tour à une chambre de cloches.
Le toponyme An Dreïnded est la forme bretonne de La Trinité. Je n'ai pu établir si le toponyme Lanridec, par ailleurs non attesté, est une forme contractée d'An Dreïndec.
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La nef, le bras sud du transept, vue du sud-ouest.
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Le pignon ouest, la nef, le bras sud du transept, vue du sud-ouest.
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Le chevet et les deux bras du transept, vue de l'est.
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Situation parmi les autres chapelle de Pleyben:
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Le chevet, vue de l'accès principal à la chapelle.
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LES ARMOIRIES.
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Ces armes se retrouvent sur le mur du chevet (sous un larmier).
"Un autre Alain de Tyvarlen, petit-fils probablement du précédent, épousa Sybille de Kersaeou.Il fut père d'Alain de Tyyarlen qui décéda en 1384 et laissa de son mariage avec Plézou de Pennault ( Fille et héritière de Guillaume, seigneur de Pennaut (en Pleyben) et de Hazevis de Meylar, elle mourut en 1421, âgée de 70 ans, au château de Rosmadec et fut inhumée dans l'église dès Cordeliers, sous l'habit des frères. (Bibl. Nat. F. ms; 22.351), un fils de même nom, mort sans postérité en 1404, et deux filles dont la cadette, Margilie, fut mariée au seigneur de Coetrédrez ( Margilie de Tyvarlen eut en partage la seigneurie de Pennaut pour laquelle son fils Yvon de Coëtredrez rendit aveu au duc, en 1454)" (Conen de Saint-Luc, Notice de Landudec, Bull. SAF 1917)
1°) Jean de Coétredrez (1352-1392) fut le père de Roland de Coetredrez qui épousa/ Marguerite de Tyvarlen :
https://gw.geneanet.org/pierfit?lang=en&p=roland&n=de+coetredrez
https://www.myheritage.fr/person-5078508_151331621_151331621/jean-de-coetredrez
https://www.myheritage.fr/person-5078505_151331621_151331621/marguerite-de-tyvarlen-de-coetredrez
Les armes pleines de Coetredrez sont un écartelé de gueules à la fasce d'argent et de gueules au lion d'argent. Elles se voyaient en l'église de Trédrez.
http://www.infobretagne.com/tredrez-eglise-preeminences.htm
Elles sont associées ici dans l'écusson de droite à d'autres armes en alliance, qu'il m'est difficile de lire.
2°) Yves de Coetredrez (1417) fils des précédents épousa Jeanne de Poulmic dont les armoiries figuraient sur la maîtresse-vitre.
3°) Yves de Coétredrez vers 1495-1546, leur fils épousa Marie Le Moine (d'argent à trois coquilles de gueules)
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On retrouve aussi l'écu de gauche sur le clocheton, où la pierre a été placée à l'envers, sommet vers le bas (peut-être par négligence récente) . Les armoiries de Coetredrez sont associées, au quatrième quartier, à celles à trois poissons qui se retrouvaient soit sur le vitrail, soit sur le bénitier. Pérénnès les qualifie de saumons.
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Pérénnès et Couffon les signalent aussi sur la maîtresse vitre (sur le remplage selon Couffon) :
Sur la maîtresse-vitre, Pérénnès décrit :
La maîtresse vitre a des armoiries : un écusson parti au 1er de trois saumons, au 2 d'un léopard, aux 3 et 4 des mêmes à l'inverse. — Un autre écusson divisé verticalement en deux parties : celle de gauche subdivisée en deux horizontalement. La partie de droite représente un damier de trois carrés sur chaque rang, verre blanc alternant avec verre rouge. Le haut de Ia partie de gauche est formé de trois bandes horizontales, une blanche entre deux rouges ; le bas renferme un léopard. Le premier écusson est reproduit à l'extérieur à la base du clocher, au-dessus du porche et se retrouve également au fronton de l'abside, accosté du second écusson. Ce sont les armoiries du sieur de Pennaut.
Le "léopard" doit être le lion d'argent des Coetredrez. On reconnaît dans le damier blanc et rouge les armes des Poulmic, une alliance également présente à Trédrez :
http://www.infobretagne.com/tredrez-eglise-preeminences.htm
https://gw.geneanet.org/pierfit?lang=en&p=yves&n=de+coetredrez
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Enfin, on voit deux poissons sur les pans du bénitier de la porte sud. Selon Pérénnès, ces deux saumons se voyaient aussi sur le chapiteau d'une croix, brisée par la tempête en 1892. Rien ne plaide pour leur appartenance à l'héraldique.
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La date de 1675 à l'abside du chevet.
Si nul renseignement n'existe sur la fondation de la chapelle, et si, nous l'avons vu Pierre de Coetredrez , seigneur de Pennaut, réclamait son patronage avant de célébrer un mariage en 1654, les dates inscrites à l'extérieur et à l'intérieur témoignent d'une période d'activité entre 1664 et 1675 : A l'intérieur : 1664, sur l'armoire de la sacristie ; 1666, sur un ancien confessionnal.
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L´inscription « CHRISTOPHE LE BRIS FABRIQUE LAN 1726 » relevée par Couffon.
Le texte s'inscrit en réserve, en lettres romaines majuscules, sur deux lignes séparées par une réglure. Elle occupe l'angle de la face sud de base de la tour du clocher, sous la chambre des cloches. Je lis plutôt, avec ces variantes de graphie qui donnent à ces inscriptions lapidaires toute leur saveur, :
CRISTOPHE LE BRIS
FRABRIQVE LAN
La date (qui devait être portée de l'autre coté de l'angle) n'était déjà pas retrouvée par Pérénnès, mais ce dernier a retrouvé dans les archives l'année à laquelle Christophe Le Bris était fabricien : l'année 1726.
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La chapelle fut restaurée en 1727 : un pavé y fut placé : le montant des travaux fut de 319 livres 10 sols. En 1737, le peintre-doreur Meziven-Grall, de Landerneau, reçoit 200 livres pour travaux de peinture et d'embellissement. Les offrandes annuelles montaient à près de 300 livres, et ne différaient pas de celles des autres chapelles.
Vendue nationalement au moment de la Révolution au sieur Yves Lanniel, fils, du bourg de Pleyben le 25 Thermidor an IV, elle fut cédée avec cimetière et placitre et dépendances, Ie 30 Fructidor an VI (16 Septembre 1798) à Pierre Cozic, du manoir de Pennaut [celui des anciens seigneurs de lieu] pour 120 francs. Ce dernier, à son tour, la céda au fabrique de l'église paroissiale. La Trinité avait son chapelain ou matinalier qui recevait 24 livres par an pour son office. La chapelle sert, à son tour, de chapelle de secours, pour Ies messes du dimanche. Le pardon s'y célèbre le dimanche même de la Trinité. (Pérénnès, 1938)
Yves Lanniel : https://gw.geneanet.org/nlegrand?lang=fr&n=lanniel&oc=0&p=yves
Un acte désigne Pierre COZIC comme maître d'hôtel propriétaire du manoir de Pennaut. Il a épousé en 1774 à Brest Marie Jeanne Grall, puis en 1791 Jeanne Marie Le Gorrec, avant de décédé en 1816.
https://gw.geneanet.org/jangirault?n=cozic&oc=2&p=pierre
La chapelle fut entièrement réparée en 1881 : on y dépensa 3.559 fr. 65.
L'édifice, comme toutes les chapelles communales de Pleyben, a été restauré en 1993 grâce au don de Madame Le Douzen - les vitraux ont été réalisés par Alain Ronan de l'atelier C. Robert.
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LE CALVAIRE DU PLACÎTRE : SA PIETÀ À L'ANGE DE TENDRESSE.
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C'est à mes yeux le plus bel ornement de cette chapelle, placé en son sud devant la porte principale.
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Sur un emmarchement à trois degrés en moellon de schiste et de grès arkosique, et un socle carré chanfreiné s'élève un fût rond à écots en granite avec chapiteau, croix à branches arrondies et Christ en croix en kersantite de la fin du 19e ou au début du 20e siècle.
Mais on remarque surtout la Pietà en kersanton, datée du XVI ou XVIIe siècle, la tête de l'ange ayant été très récemment refaite par un artiste local.
Cette Vierge de Pitié assise est légèrement penchée et le visage tournée vers son Fils. Sa tête est couverte par son manteau formant voile, manteau dont le pan gauche s'écarte pour laisser passer le bras.
Le Fils repose sur les deux genoux de sa Mère, le genou droit étant plus haut ; son visage barbu est tourné vers elle. Le corps et la tête forment une ligne horizontale qui se brise perpendiculairement aux genoux ; les pieds sont croisés. Le bras droit tombe verticalement, exposant la large paume marquée du clou de la Crucifixion, tandis que le bras gauche, soutenu par la main de la Vierge, est parallèle au corps.
À gauche des deux jambes de la Vierge et de ses chaussures à bouts ronds est figuré le montant du fauteuil, et, en bas, ce qui ressemble parfaitement au flacon d'onguent de Marie-Madeleine, bien qu'elle soit absente ici.
L'élément le plus remarquable est l'ange, ailé, placé à la tête du Christ, qu'il soutient. Son visage très joufflu et ses cheveux bouclés en triangle ne témoignent pas du style de l'artiste d'origine, et ont peut-être été inspirés au sculpteur du XXIe siècle par les œuvres de Roland Doré.
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Cet ange entourant la Vierge de Pitié trouve son origine dans les quatorze pietà du Maître du calvaire de Tronoën (Saint-Jean-Trolimon, en Cornouaille) vers 1470. Sur ce calvaire, deux anges aptères soulèvent le voile de Marie dans un geste de tendresse qui a conduit Emmanuelle Le Seac'h à les qualifier d'anges de douceur. Le Christ est très semblable à celui de Lanridec, mais ces 14 pietà du XVe siècle diffèrent de celle-ci car elles sont en granite, que les plis du manteau entre les genoux forment une série de V, ou encore que l'ange tient le voile maternel.
Sept autres Pietà également recensées par Le Seac'h reprennent ce motif des anges autour de la Vierge et du Fils, cette fois-ci au XVIe siècle. Cinq se trouvent en Finistère, et j'ai décrit dans ce blog celle de la chapelle Saint-Herbot en Plonévez-du-Faou (en calcaire polychrome), ou celle de l'église Saint-Sauveur du Faou (à 3 anges et en granite polychrome). Aucune des sept n'est en kersanton.
- La Pietà de la chapelle Saint-Herbot en Plonévez-du-Faou
- La Pietà de l'église Saint-Sauveur du Faou (XVIe siècle)
- Le calvaire de Rumengol (entre 1433 et 1457).
- Les calvaires de Dirinon : la croix du bourg.
L'inventaire de ces anges apportant leur aide et leur tendresse à la scène de la Vierge de Pitié n'est pas clos ; on peut citer ainsi le calvaire de Plovan, non loin de Saint-Jean-Trolimon. (Atlas Plovan 2449), et sa pietà de kersanton.
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L'INTÉRIEUR.
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Dans cet édifice de plan en croix latine, le vaisseau unique est éclairé au sud par une porte en plein cintre et une fenêtre. Deux portes en plein cintre, de part et d´autre du chevet, ont été bouchées (fonction initiale indéterminée). Les baies du chevet et des bras de transept en arc brisé comportent des remplois de réseaux du XVIe siècle. Le lambris de couvrement est peint en bleu, tandis que le sol est couvert de dalles de schiste.
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L'édifice possède un mobilier religieux ancien important dont une statue de saint Michel, un groupe de la Trinité en kersantite, et une armoire de sacristie datée 1664 .
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Vierge à l'Enfant.
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Sainte Catherine d'Alexandrie tenant sa roue et la palme du martyre.
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Saint Charles Borromée, évêque de Milan.
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Trinité souffrante. Deux blocs de kersanton polychrome.
C'est une œuvre qui retient l'attention, notamment parce que son style rappelle les statues des évangélistes des autres chapelle de Pleyben : saint Marc et son lion à Saint-Laurent, saint Matthieu et son ange.
La colombe de l'Esprit Saint a disparu. Le Père vêtu comme un pape, tient son Fils crucifié.
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Saint Michel archange terrassant le dragon.
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La cloche.
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Tentative de déchiffrage :
MARIE JACQUELINE DE LA
BENITE LE 15 JUIN 1946
PARRAIN JACQUES RANNOU
DE PENNAVERN SAINT SULIAU
MARRAINE MARIE ANNE DREAU
DE PENNARVERN
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LOUIS BOLLEE ET SES FILS FONDEURS A ORLEANS
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SOURCES ET LIENS.
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— CASTEL, Yves-Pascal. Atlas des croix et calvaires du Finistère. Dans : Société archéologique du Finistère, 1980, Quimper. p. 185
http://croix.du-finistere.org/commune/pleyben.html
— COUFFON, René, LE BARS, Alfred. Diocèse de Quimper et de Léon. Nouveau répertoire des églises et chapelles. Quimper : Association Diocésaine, 1988.
http://diocese-quimper.fr/images/stories/bibliotheque/pdf/pdf-Couffon/PLEYBEN.pdf
" CHAPELLE DE LA TRINITE Edifice en forme de croix latine. Dans un aveu de 1603, le seigneur de Panaot ou Pennault en revendique le patronage. L'édifice actuel a été restauré au XVIIe siècle puis au XVIIIe siècle : la fenêtre flamboyante de l'aile nord paraît un remploi. On lit sur le mur du chevet la date de 1675 et sur le clocheton : "CHRISTOPHE LE BRIS FABRIQVE LAN (1726?)." Ce clocheton amorti par un dôme est timbré des armes des Pennault. Ces armes se retrouvent aussi sur le mur du chevet (sous un larmier), sur le remplage de la maîtresse vitre et sur le bénitier encastré de la porte sud.
L'édifice a gardé des traces de restauration : les deux colonnes à tailloir aux deux angles du choeur ne portent plus rien ; deux fenêtres ont été murées dans les pans nord et sud du choeur ; sur le pan nord se lit la date de 1675. La longère sud a été étayée par des contreforts ; sur l'un d'eux, date de 1820.
L'inscription "ASSELIN 1882", lisible sur le lambris de la nef, rappelle une restauration de la chapelle.
Mobilier : Le maître-autel ... quatre colonnes est de la fin du XIXe siècle, mais les deux niches à colonnes corinthiennes et pots à feu qui encadrent la fenêtre d'axe sont anciennes. Armoire de sacristie portant la date de 1664, et le confessionnal actuel ne porte aucune date ; celle de 1666 concerne un confessionnal aujourd’hui disparu. La balustrade porte l'inscription : "L. 1651. P. Y."
A la croisée du transept, poinçon de charpente qui rappelle celui de la chapelle Saint-Laurent.
Statues - en pierre : sainte Trinité, le Père présentant son Fils en croix ;
- en bois polychrome : autre groupe de la Trinité, Vierge à l'Enfant, sainte Catherine, la roue à la main gauche, saint Charles Borromée, sainte Anne seule, saint Michel terrassant le dragon, quatre blochets. * Sur le placitre, croix mutilée par la tempête de 1892 : l'ancien fût écoté de granit porte depuis un Crucifix en kersanton ; l'ange qui soutient la tête du Christ dans le groupe de la Pietà est mutilé. "
— INVENTAIRE GENERAL
—PÉRÉNNÈS (Henri), 1938, Pleyben (Notices des paroisses du diocèse de Quimper et de Léon). Dans : Bulletin de la commission diocésaine d´architecture et d´archéologie,
https://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/3c650c05ef86fe15d59ddb6b528d5f93.pdf
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