La chaire à prêcher (1681) et le maître-autel (1686) faits par Jean Briand en la chapelle de Kerfons en Ploubezre.
Voir sur cette chapelle :
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Le jubé (vers 1493-1495) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre.
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Les supports anthropomorphes et zoomorphes de la chapelle de Kerfons en Ploubezre .
PRÉSENTATION.
À quelques kilomètres en amont de Lannion, la chapelle Notre-Dame de Kerfons ou plutôt "Kerfaouès" ("le lieu planté de hêtres") a été fondée sur les terres de l'ancien fief de Coatfrec dont les ruines du château homonyme se dressent plus au nord sur la rive occidentale du Léguer. Cette chapelle rurale étonne par la mise en œuvre de deux langages architecturaux : le Gothique flamboyant de la nef et de la chapelle nord - visible à l'intérieur dans les arcades, vraisemblablement datable du début du 15e siècle, une deuxième campagne de travaux vers 1450 (élévations ouest et sud), une troisième campagne dans le dernier quart du 15e siècle (fenêtre sud ornée de pampres) et la première Renaissance bretonne visible dans le bras sud (chapelle dédiée à saint Yves) datée des années 1553-1559.
Bâtie pour la puissante famille de Goulaine, la chapelle de Kerfons illustre dans la pierre un vocabulaire décoratif d’avant-garde : porte en plein cintre encadrée de colonnes surmontée d’un fronton triangulaire, modernité et simplicité du dessin des fenestrages, contreforts en forme de tourelle, niches à statues ou original campanile carré flanqué de quatre personnages. La chapelle de Kerfons est inscrite au titre des Monuments historiques depuis 1910.
Les gouverneurs étaient responsables de l’entretien et de la réparation des chapelles. A Kerfons, la chapelle dédiée à Notre-Dame était gérée par un gouverneur unique au cours d'un mandat d'un an non renouvelable. C'était un poste très convoité par les notables de Ploubezre. En 1686, c'était Pierre Merrien (cf. infra) qui occupait ce poste.Selon Christian Kermoal, les dénommés Fiacre Le Bihan et Rolland de Trongoff, tous deux gouverneurs, ont organisé le chantier de construction de l'aile sud à partir de 1553 : "ils emploient des carriers, des tailleurs de pierre, des forgerons, des vitriers et des peintres. Ils mettent en place un important charroi et fournissent la nourriture des gens et des bêtes" Selon le même auteur, en 1712, les gouverneurs jouent un rôle de conseil auprès des syndics et marguilliers de la paroisse, qui regroupe six chapelles. Les syndics (deux hommes/an) gère les affaires civiles, et le marguilliers (deux hommes/an) les biens religieux.
I. LA CHAIRE À PRÊCHER (Bois polychrome, Jean Briand 1681).
https://collectif-objets.beta.gouv.fr/objets/76729
https://pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/PM22001700
Œuvre classée le 29/03/1983, Base Palissy PM22001700.
La chaire est fixée dans le chœur contre un pilier sud, immédiatement après le jubé. Issue de la volonté de la Contre-Réforme de valoriser la prédication, c'est une chaire suspendue à dorsal, abat-voix et culot polygonal dont les quatre petits panneaux de la cuve porte, dans des cartouches verts, les monogrammes IHS et MARIA puis les noms IOSEF ert ANNA, accompagnés de la date de 1681. On accède à la chaire par un escalier d'une seule volée aux flmancs ornées de trois panneaux sans ornementation. L'ensemble est décoré sobrement de panneaux peints en jaune (décor en faux-bois, ou marbre feint), avec quatre pots à feu et quatre macarons.
On l'attribue au menuisier Briand, qui a indiqué son nom sur le retable du maître-autel. L'inscription "I. BRIAND" est lue comme "Yves Briand" par Geneviève Le Louarn, qui lui attribue également de deux confessionnaux et de la clôture de chœur. Les généalogistes mentionnent un Yves Briand, né à Ploubezre en 1643 et marié en 1673 avec Catherine Primot.
Mais on peut aussi lire "Jean Briand", ce qui serait plus cohérent avec cette donnée , précisant que les comptes des années 1675-1676 de la confrérie du Luminaire de la paroisse de Ploubezre révèlent la dépense de « 85 livres payées à Jean Briand me menuisier pour avoir fait un retable et de mettre un tableau de saint Yves et marche pied ». Le tableau fut vendu à la confrérie pour 15 livres par Yves Le Gouliez, maître doreur, suivant une quittance en date du 18 juin 1676.
Les généalogistes mentionnent bien un Jean Briand, "honorables gens" , baptisé le 13 mars 1644 à Ploubezre, décédé le 11 avril 1716 à Ploubezre, marié avant 1671 avec Marguerite Berezay, Honorables gens , et qui est qualifié de "Maitre" sur l'acte de mariage de sa fille Marguerite en 1706.
II. LE MAÎTRE-AUTEL (Bois polychrome, Jean Briand v.1686).
Selon le site minran.free.fr/patrim.htm :
"Le maître-autel en granite est surmonté d'un retable daté de 1686, que l'on [qui ? rapproche d'ouvrages similaires de la même époque en Bavière ; il apparaît comme un assemblage de multiples éléments, tous sculptés avec une minutie et une variété exceptionnelles. Il montre aussi qu'à l'époque, la Bretagne est une plaque tournante du commerce maritime européen, et que les richesses artistiques et les artistes eux-mêmes circulent par les mêmes voies.
Ce retable baroque a été vandalisé par des pillards fin 2008. Leur arrestation rapide a permis de récupérer la plupart des éléments dérobés, et l'ensemble a fait l'objet d'une restauration importante en 2012, y compris la copie d'éléments manquants."
Il a été entièrement restauré en 2010, pour la menuiserie par l'Atelier de l'Arbre aux quarante écus de Muzillac, et pour la peinture par l'Atelier Régional de Restauration de Bignan (madame Champagnac et madame Pris), sous la direction de la DRAC.
Coût et commande :
À titre d'exemple, à Ploubezre, le retable du Rosaire a coûté 300 livres en 1679, soit cinq années de revenus de la confrérie. En 1712, un retable de l'église est confié à Michel Guérin, sculpteur peintre et doreur, pour 1200 livres (C. Kermoal)
Ses niches latérales ornées de colonnettes abritent des statues du Christ Sauveur du Monde et de la Vierge de l'Annonciation. Le style Renaissance qui avait été introduit à Ploubezre par Marquise de Goulaine en 1559 sur le campanile de Kerfons se poursuit ici avec les colonnes cannelées et les supports anthropomorphes, ou les guirlandes de fruits-légumes suspendues à des rubans. Comme sur la chaire à prêcher, on trouve ici les monogrammes IHS du Christ et MRA de Marie. Les chérubins et angelots abondent. Dieu-le-Père et un soleil dominent le tabernacle.
Le jaune de la chaire, et les panneaux en marbre feint, se retrouvent également.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
III. LE RETABLE DE LA VIERGE TERRASSANT LA DÉMONE.
Ce retable nous permet de poursuivre notre découverte du talent de Jean Briand et d'en connaître la date d'exécution, mais aussi d'enrichir l'iconographie de ces "Vierges à la Démone" bretonne. Hiroko Amemiya, qui leur a consacré sa thèse et un ouvrage, distingue bien celle-ci des Vierges terrassant soit des sirènes, soit des dragons : une "Démone", selon la dénomination du Dr Le Thomas, est une représentation semi-humaine, avec un visage, une chevelure et un buste féminin, et une queue serpentiforme.
Elle en recense pas moins de 69 exemples en Bretagne, dont 28 en Finistère, 11 en Côtes d'Armor, 11 en Morbihan et 3 en Ille-et-Vilaine.
Il en existe des variantes, avec la Sainte-Anne Trinitaire de Saint-Hernin.
Elles symbolisent la victoire de la Vierge, par son enfantement d'un Rédempteur, sur le Mal ou le Péché originel introduit par Ève lors de l'épisode de la pomme. Le thème établit des rapports avec le culte de l'Immaculée-Conception (est sa figure de la Vierge de l'Apocalypse les pieds posés sur un croissant), et avec le thème iconographique des Arbres de Jessé.
Voir dans ce blog :
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Notre-Dame de Breac-Ellis en l'église de Brennilis. [1485-1575]
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L'arbre de Jessé de la chapelle Saint-Guen en Saint-Tugdual (56).
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Arbre sculpté de Locquirec : L'Arbre de Jessé sculpté de l'église de Locquirec.
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L' arbre de Jessé de l'église de Saint-Aignan (56). : XVIe siècle.
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Sculpture de L' arbre de Jessé de l'église de Trédrez (22). : 1520
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Sculpture de L'arbre de Jessé de l'église Notre-Dame de Saint-Thégonnec. (29) : 1610.
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Sculpture de L'arbre de Jessé de la chapelle de La Trinité à Cléguerec (56). :1594
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Chapelle Saint-Pierre à Plogonnec (29) Mari, conçevet hep pec'het. 2ème moitié XVIe
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La Vierge à l'Enfant et à la démone de l'église Saint-Louis de Brest (XVIIIe siècle).
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La Vierge à l'Enfant et à la démone de la Collégiale du Folgoët (29).(atelier Prigent)
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La composition est placée, sous une coquille , dans une niche jaune et verte au soubassemment et aux colonnes de marbre feint, sous des guirlandes de fruits.
La Vierge est vêtue d'un manteau bleu dont le pan droit vient étager des plis-rideaux frontaux. La robe associe un bustier doré et lisse et une jupe plissée blanche. Les joues de son visage sont rehaussées de taches rouges. Ses cheveux dorées, qui retombent sur ses épaules, sont retenues par ce voile postérieur si souvent retrouvé en Bretagne aux XVI et XVIIe siècle et que j'ai nommé "bandeau rétro-occipital" à défaut d'autre nom.
Voir par exemple :
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La chapelle Saint-Sébastien en Saint-Ségal : la Vierge à la Démone, et le retable nord.
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La Vierge à la Démone de la chapelle de Locmaria-Lannn à Plabennec.
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La Vierge à l'Enfant et à la démone de la Collégiale Notre-Dame du Folgoët (29).
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La chapelle Sainte-Cécile de Briec-sur-Odet : les niches à volets de sainte Cécile et saint Maurice.
La Vierge offre une fleur dorée à son Fils, qu'elle tient assis sur son bras gauche. Les joues de celui-ci sont également rehaussées de rouge, il porte une longue tunique blanche et il pose tendrement la main droite sur la poitrine de sa Mère.
La Démone est couchée sur le ventre au dessous du croissant, tête à droite. Son buste redressé prend appui sur le coude droit et sur la main gauche, laquelle est posée sur une demi-sphère rouge aplatie difficile à qualifier. Le visage rond aux joues rehaussées de rouge tourne vers nous des yeux ronds et noirs aux sourcils épilés. Deux cornes émergent de sa tête largement épilée. La main droite, humaine (ailleurs, elle peut être bestialisée en patte de batracien, ou griffue), tient une pomme dorée qui cache son sein droit.Tout le buste est nu, le bas du corps est peint en vert à écailles marquées et s'achève par une queue de serpent qui s'élève, rebelle et verticale, le long de la cuisse de Marie.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Deux médaillons ovales dorés portent une inscription, qui sera complétée par les inscriptions du retable de droite..
Le premier, à gauche, porte le texte suivant aux mots séparés par de gros points en losange:
F. 1686 /L.R.V./ED.M
Du côté gauche se lit ceci :
GEO/GE.R/IVOLL/AN.R./D.P.
Ce qui a été lu comme suit :
"F[AIT] 1686 L[ORS] R[ECTEUR] V[ÉNÉRABLE] E[T] D[ISCRET] M[ESSIRE] GEORGE RIVOALLAN R[ECTEUR] D[E] P[LOUBEZRE]"
https://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/illustration/IVR53_20142200149NUCA
Le recteur Georges Rivoallan est attesté par les actes de baptême, souvent comme parrain, de 1681 jusqu'en 1687 au moins, et sur des actes de mariage, avec le titre de messire, en 1683. En 1712, le successeur est Vénérable et Discret Messire Marc Chrétien, À cette époque, les cures les plus riches sont attribuées à des famolle de la noblesse.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
III. LE RETABLE D'UN SAINT ÉVÊQUE (J. Briand 1686).
Une niche symétrique et strictement similaire est placée à droite de l'autel, en dessus d'un sacraire de style gothique flamboyant. En remplacement d'une représentation du Baptême du Christ, elle abrite un saint évêque mitré, en chape, qui a perdu sa crosse et que nous ne pouvons identifier.
Ploubezre, chapelle de Kerfons : vue intérieure, statue d'évêque
On peut lire l'inscription suivante : "G[OUVERNEU]R HO[NORABLE] HO[MME] PIERRE MER[R]IEN F[AIT] P[AR] I[VES] BRIAND"
Donc, le gouverneur est un notable, Pierre Merrien, et la signature par Jean Briand (je conteste la lecture I.=Yves pour I = Ian ) est répétée, comme sur la chaire
Il est signalé sur Geneanet un seul Pierre Merrien, et il est né en 1656. il a donc ici 30 ans. Il est agriculteur, et a épousé le 12 février 1676 Marguerite Le HOUEROU, d'où 8 enfants. Il est dit "lieutenant de Ploubezre". Sa femme épousera ensuite Nicolas Merrien. Elle est la sœur de Charles HE HOUEROU (1663-1736),
Parmi les huit membres de la paroisse chargés de surveiller la commande d'un retable pour l'église de Ploubezre en 1712, on trouve outre le recteur deux notaires et trois nobles, deux paysans dont Pierre Merrien. (C. Kermoal). Quand à son beau-frère Charles Le HUEROU, il figure, avec le recteur et un notaire, parmi les membres de la commission de vérification des comptes.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
Retable du maître-autel (Jean Briant, 1686) de la chapelle de Kerfons en Ploubezre. Cliché lavieb-aile.
SOURCES ET LIENS.
— AMEMIYA (Hiroko) 2005, Vierge ou démone, exemple dans la statuaire bretonne, Keltia éditeur, Spézet. 269 p. page 176. Version remaniée de la thèse de 1996.
— AMEMIYA (Hiroko) 1996, Figures maritimes de la déesse-mère, études comparées des traditions populaires japonaises et bretonnes thèse de doctorat d'études littéraires, histoire du texte et de l'image Paris 7 1996 sous la direction de Bernadette Bricout et de Jacqueline Pigeot. 703 pages Thèse n° 1996PA070129
Résumé : Le thème principal de cette étude est de voir quel rôle la femme non-humaine - et notamment la femme qui appartient au monde maritime - a joué au japon et en Bretagne, à travers les récits relatifs à l'épouse surnaturelle. Pour la Bretagne, les recherches s'étendent également sur l'iconographie religieuse représentant l'être semi-humain telles la sirène et la femme-serpent. La région conserve dans ses chapelles de nombreuses statues des xvie et xviie siècles figurant ce type faites par des artisans locaux. L'imagination populaire s'épanouit ainsi dans la femme non-humaine de deux façons en Bretagne : dans l'expression orale et dans l'expression plastique ce qui nous offre une occasion inestimable d'étudier leur compatibilité dans leur contexte socioculturel. Les récits qui traitent le thème du mariage entre l'être humain et l'être non-humain révèlent la conception de l'univers d'une société. L'autre monde ou les êtres de l'autre monde sont en effet une notion fonctionnelle qui permet a la société de maintenir l'ordre interne par une intervention externe fictive : la suprématie du fondateur du japon s'explique par la transmission d'une puissance surnaturelle par sa mère du royaume maritime, alors qu'en bretagne, la destruction de la cite légendaire d'Is est causée par une fille maudite née d'une fée. Le premier volume de cette étude est composé de trois parties : i. L'autre monde dans la tradition populaire au japon, ii. Récits relatifs au mariage au Japon et en Bretagne, iii. Iconographie d'une femme semi-humaine. Le deuxième volume est un inventaire des différents types de représentation semi-humaine en bretagne.
—COUFFON, René, 1939, « Répertoire des églises et chapelles de Saint-Brieuc et Tréguier. Second fascicule », Société d’émulation des Côtes-du-Nord. Bulletins et mémoires, 71, 1939, p. 141.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6562108b/f169.item
— FRANCE (Abbé), 1885, excursion, Bulletin archéologique de l'association bretonne, volume 27 page 9
https://www.google.fr/books/edition/Bulletin_arch%C3%A9ologique_de_l_Association/McVLAAAAMAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=%22vitraux%22+%22kerfons%22&pg=RA1-PA9&printsec=frontcover
— KERMOAL Christian), 2024, Christian Kermoal, Notre-Dame de Kerfons. Essai d’histoire monumentale, Pabu, À l’ombre des mots, 2023, 412 p.
Isabelle Guégan, « Christian Kermoal, Notre-Dame de Kerfons. Essai d’histoire monumentale, Pabu, À l’ombre des mots, 2023, 412 p. », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, 131-3 | 2024, 235-238.
https://journals.openedition.org/abpo/9618
— KERMOAL Christian), ,1886 Les notables de Ploubezre de la fin du XVe au XVIIIe siècle
— LE LOUARN, Geneviève. 1983 "La chapelle Notre-Dame de Kerfons". Rennes, Mémoires de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Bretagne, t. 60, 1983, p. 301-305.
https://www.shabretagne.com/scripts/files/5f47279f486ba7.18741049/1983_25.pdf
— LE THOMAS (Louis), 1961 "Les Démones bretonnes, iconographie comparée et étude critique", Bulletin de la société Archéologique du Finistère t. 87 p. 175-175.
—LÉCUILLER ( Guillaume), 2014, Chapelle de Kerfons (Ploubezre), Inventaire général, Gertrude, 2014. Dossier IA22132120
https://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/IA22132120
http://inventaire-patrimoine.region-bretagne.fr/gertrude-diffusion/dossier/chapelle-de-kerfons-ploubezre/537c3869-09be-477c-a478-f17a69e1a52f
—NOTICE de 1936.
http://www.infobretagne.com/ploubezre-kerfons.htm