Les vitraux de Jacques Le Chevallier pour l'église N.-D. du Cap-Lihou de Granville II : la chapelle de la Vierge et la chapelle Saint-Clément (26,40 m², 1971) du transept. Les 15 verrières hautes du chœur (18 m², 1974).
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Voir le premier article sur les vitraux posés en 1954-1959 :
Voir sur les vitraux de Jacques Le Chevallier :
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Les vitraux de Jacques Le Chevallier dans l'église de Sizun.
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Les vitraux (1957) de Jacques le Chevallier aux Archives municipales de Quimper.
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Vitrail de Jacques Le Chevallier : L'arbre de Jessé de l'église de Gouesnou .
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Ensemble des 16 verrières de Jacques Le Chevallier de l'église Notre-Dame de Neuville à Vire
Voir :
PRÉSENTATION.
L'église Notre-Dame du Cap-Lihou (XVe–XVIIe – XVIIIe siècles), située dans la Haute-Ville de Granville, est classée aux monuments historiques depuis 1930.
Une première chapelle est bâtie en granite au XIIe siècle sur le cap Lihou, après que, selon la légende, des marins eurent trouvé, en relevant leurs casiers en 1113 au pied du roc, une statue de la vierge à l'Enfant.
Très vite, cette statue à qui on attribue des miracles attire en pèlerinage les foules venues essentiellement de Bretagne et de Normandie.
Après la prise de possession du cap Lihou par les Anglais, ceux-ci entament en 1440, en même temps qu'ils élèvent l'enceinte de la Haute Ville, une église, dédiée à Notre Dame, dont le granite est amené de Chausey . De cette époque, datent la tour du clocher et les travées situées entre le transept et chœur. Une nouvelle statue de la Vierge est alors réalisée en pierre de Caen, elle est toujours conservée dans la chapelle nord du transept.
La construction du chœur débute en 1628 et s'achève en 1641, l'année d'édification du déambulatoire. La grande nef est érigée entre 1643 et 1655, et ses voûtes en croisées d'ogives en 16492. Les chapelles Saint-Clément et Notre-Dame du Cap-Lihou sont ajoutées respectivement en 1674 et 1676. Près d'un siècle plus tard sont élevées la façade occidentale, en 1767 et la sacristie, en 1771.
Contraints à évacuer la Haute Ville le 16 mars 1943, les habitants emportèrent la statue fondatrice. Ils l'ont remis en place à la Libération en 1944. Cet événement est célébré le dernier dimanche de juillet depuis 1950 lors du Grand Pardon des gens de mer et des corporations, au cours duquel la statue est remontée du port jusqu'à l'église en procession : c'est le sujet de la verrière de la baie 19.
En septembre 1944, deux obus sont tombés sur le parvis de l'église et ont fait exploser les vitraux anciens. Lors de la restauration de l'église, l'architecte en chef des monuments historiques de la Manche, Yves-Marie Froidevaux, confia la conception et l'exécution de nouveaux vitraux à Jacques Le Chevallier car, selon ses dires, « l’œuvre de Le Chevallier, à l'imagerie subtile et aux colorations vigoureuses, s'accorderait très bien au caractère robuste et dépouillé de cette église ».
En collaboration étroite avec le chanoine Georges Hyernard, curé de Granville, qui en définit le programme iconographique centré sur la Vie de la Vierge et l'annonce par les Prophètes de l'avènement d'un Rédempteur d'ascendance royale né d'une vierge (thème de l'Arbre de Jessé), ces nouveaux vitraux furent réalisés de 1954 à 1978, composant le plus grand ensemble de verrières contemporaines de la Manche. Jacques Le Chevallier en a réalisé les cartons et en a exécuté les verrières.
I. Déroulement des travaux.
1°) Les baies du pourtour du chœur en 1954-1959.
Marché du 1er septembre 1955 et avenant de juillet 1958 au profit de Jacques Le Chevallier. Ce marché n°678 pour une surface de 34,180 m² pour 12 baies a été attribué en 1954 par Mr Yves-Marie Froidevaux, Architecte en Chef des M.H., Mr le Chanoine Georges Hyernard étant alors Curé de Notre-Dame, Doyen de Granville. Le tarif pour les baies à figuration était de 50 000 frs/m², il sera majoré ensuite à 54 000 frs/m² tandis que le tarif de 25000 frs/m² s'appliquanit aux baies « à vitrerie » .
Une première baie a été exécutée en août 1954 et posée le 8 septembre 1954, 10 ans après les bombardements. Il s'agissait de la baie d'axe, l'Arbre de Jessé qui porte la mention « Don des Pèlerins de Chartres 9 mai 1954 ». Deux autres verrières ont suivi « immédiatement après », vraisemblablement les deux baies qui l'encadrent. Ces trois baies ont été inaugurées en décembre 1954. Deux maquettes avaient été présentées en octobre 1954 à la Commission d'Art Sacré.
Le chanoine Hyernard rappelait en février 1955 le programme initial : Jessé au centre, puis à gauche la Naissance de Marie, l'Annonciation, la Nativité et l'Assomption et à droite la Présentation de Marie, la Visitation, la Purification ou Jésus parmi les Docteurs, et enfin Marie au Calvaire, laissant le choix entre le Stabat Mater ou la Pietà. C'est le programme qui a été suivi, en plusieurs tranches dépendant de l'arrivée des crédits, et les 12 baies initiales ont été complétées pour atteindre le nombre de 18 :
Tranche A : 6 baies exécutées en juillet 1956 soit 20,64 m²
Tranche B : 2 baies exécutées en avril 1957 soit 11,4 m²
Tranche C : 2 baies exécutées en juillet 1958, 18 m² . 2 autres baies exécutées en juillet 1958, 18 m² .
Les archives mentionnent 3 autres baies exécutées en juin 1959 puis 5 autres vitraux plus petits, dont 2 de 1,10 m² en vitrerie, et 3 de 1,20 m² en figuration, qui ont été exécutés en 1960.
Dés le début, et jusqu'en 1971, le financement a fait appel à des donateurs, dont l'identité est rappelé par des inscriptions : ce sont principalement des familles de Granville et des estivants.
2°) 4 baies des chapelles du transept en 1971.
Le premier devis est proposé dès le 22 septembre 1960.
Il concerne deux baies de la chapelle de la Vierge (transept nord) de13,20 m² et deux baies de même surface de la chapelle Saint-Clément dans le transept sud.
Les devis suivants datent du 30-07-69 puis du 15-02-71. Tarif en 1965 : 850 frs/m²
3°) 15 baies hautes du choeur.
Cet ensemble de 18 m² a été réalisé au printemps 1960 par Jacques Le Chevallier.
4°) 10 baies des bas-cotés décembre 1974.
Marché du 20 septembre 1974 attribué par Mr Traverse, Architecte en Chef des M.H., à l'entreprise Le Chevallier (Guy Le Chevallier) alors que l'abbé Bernard Lécureuil est le curé de N.-D. Du Cap-Lihou: étude, exécution et pose de 10 baies en verre antique de couleur sous plomb, grisaille cuite en pleine surface des bas-côtés de la nef soit 20,10 m² au tarif de 2500 frs/m². Des honoraires sont versés à Jacques Le Chevallier. Celui-ci signe les vitraux (en baie 32), les cartons sont donc de Jacques Le Chevallier, tandis que l'exécution par l'Atelier du vitrail de Fontenay est réalisée par Guy Le Chevallier .
5°) Baies hautes de la nef. Mars 1978.
Ce nouveau chantier est précisé par un devis du 15 mars 1978, accepté le 25 mai 1978. Il dépend, pour l'étude, l'exécution et la pose, de l'Atelier du Vitrail de Fontenay dirigé par Guy Le Chevallier, fils de Jacques. Il comporte 8 baies de 1,25 m² soit au total 10,00 m² à 1800 frs/m², avec « répétition du même dessin ».
II. Restauration.
Les baies du transept et collatéral sud ont été restaurées en décembre 1978 par Anne et Guy Le Chevallier de l'Atelier du vitrail de Fontenay.
En 2012, "Sur les cinquante-deux vitraux, 11 baies sont à rénover d'urgence, 19 sont dans un état médiocre et 14 dans un état passable. Deux vitraux en baie ont été refaits en septembre 2011. " (Association des Amis de Notre-Dame).
Certains ont alors été restaurés de 2011 à 2015, sous la direction de François Pougheol, Architecte du Patrimoine, par Henri Helmbold, Maître verrier à CORPS-NUDS (35).
Les vitraux des chapelles du transept ont ensuite été restaurées en 2016.
LES QUATRE VERRIÈRES DU TRANSEPT (26,4 m², 1971).
Verre antique de couleur sous plomb, grisaille cuite en pleine surface. Selon le procédé habituel de Jacques Le Chevallier, le sujet en verres colorés denses se détache sur un fond clair, à trame de plombs et de rehauts de grisaille, avec quelques touches de couleurs vives.
I. LES DEUX BAIES 17 et 19 DE LA CHAPELLE NOTRE-DAME, AU NORD.
A. LA BAIE 17, CÔTÉ EST : Marie, protectrice de la Cité de la Mer.
Les thèmes sont évoqués dès les courriers de mars 1954.
Le modèle en est la Vierge de Miséricorde protégeant son peuple de son manteau, tenu d'un côté par Marie et de l'autre par l 'Enfant, qui bénit le peuple. La Vierge est couronnée, en robe rouge et manteau étoilé bleu, sous un ciel constellé où volent deux anges en adoration.
Le chanoine Hyernard écrivait à Jacques Le Chevallier :
« représentez, dans le groupe du bas, enveloppées dans le manteau de la Vierge, les différentes professions de la cité : maçons, menuisiers, dockers, commerçants, couturières, marchandes de poissons avec panier rustique au bras, pêcheurs et pêcheuses « à pied » avec la grande « bichette » sur l'épaule, etc. L'ancienne tenue de la « Granvillaise » comportait la « bavolette », petite coiffe de lin ressemblant à une serviette pliée sur le haut de la tête, et le « capot », grande cape noire à capuchon souvent doublée de blanc, au moins dans dans les grands jours. Le capuchon se portait pour la pluie ou le vent.
Les « pêcheurs à pied » sont ces pauvres gens qui vont dans les grèves à mer descendante pêcher la crevette grise, la coque ou autres petits crustacés et colportent leur marchandise dans des paniers tressés en châtaignier.
La « bichette » est un immense filet d'au moins deux mètres de large à son bord d'attaque et emmanché de 2 ou 3 mètres. On le pousse sur le sable pour pêcher la crevette.
Sur la carte postale en couleur, réplique de l'affiche du « Pardon » vous trouverez la silhouette des « Bisquines » avec leur voilure telle qu'on les voyait au temps où on ne naviguait qu'à la voile, à Granville et à Cancale. »
Jacques Le Chevallier a suivi scrupuleusement ces souhaits.
Les inscriptions.
a. Inscription liée au sujet : il s'agit d'un extrait du Cantique à la Madone de Granville, chanté lors des processions.
« Veille encore sur ta ville
étoile de la mer
Ecarte de Granville
Un destin trop amer. »
b. Inscription de donation, en bas à droite :
LA VILLE DE GRANVILLE A NOTRE-DAME PROTECTRICE DE LA CITÉ.
B. LA BAIE 19, CÔTÉ OUEST : La procession du Grand Pardon.
Ce Grand Pardon de la Mer et des corporations a lieu depuis 1950 le dernier dimanche de juillet en l'honneur de Notre-Dame du Cap-Lihou, et de sa statue du XVe siècle, mise à l'abri pendant la Seconde Guerre et réinstallée en grande pompe en 11950. Après une bénédiction de la mer et des navires parmi les anciens voiliers (Le terre-neuvas La Marité, la bisquine La Granvillaise) accompagnés des vedettes de transit, des bateaux de pêche et de la SNSM (où est accueilli le clergé), la statue remonte, le soir du port vers la Haute Ville et son église, en procession à la lumière des flambeaux.
https://www.wikimanche.fr/Grand_pardon_de_Granville
Jacques Le Chevallier a peint en registre supérieur la statue à bord d'un navire pavoisé, entouré de voiliers stylisés , avec un paysage marin où se distingue l'église.
En dessous, la statue est conduite en procession parmi les bannières , avec l'évêque en tête, suivi d'un cardinal, d'un enfant de chœur tenant l'encensoir, de chanoines portant leur insigne, et des fidèles en liesse.
Inscriptions.
a. Inscription liée au sujet : il s'agit d'un autre extrait du Cantique à la madone de Granville.
« En toi notre âme espère
Ainsi que nos aïeux
Exauce-nous quand, ô Mère
Nous prions comme eux. »
b) Inscription de donation :
A NOTRE-DAME DU CAP-LIHOU
LA POPULATION GRANVILLAISE
ET SES ESTIVANTS.
Signature.
|J.] LE CHEVALLIER PEINTRE-VERRIER 1971
EXECUTION ATELIER DE VITRAIL DE FONTENAY
I. LES DEUX BAIES 20 et 22 DE LA CHAPELLE SAINT-CLÉMENT, AU SUD.
Programme iconographique.
Saint Clément, pape et martyr, est le patron des Marins. Le programme de cette chapelle est décrit par deux courriers successifs du chanoine Hyernard en 1967, « Deux épisodes de la Vie de Saint Clément d'après la légende du Bréviaire et les repons de l'office ", qui seront cités plus bas.
A. LA BAIE 20 : SAINT CLÉMENT ET LE MIRACLE DE LA SOURCE.
Le chanoine Hyernard écrit à Jacques Le Chevallier ceci :
"Clément, pape, a été déporté par l'Empereur en « Chérsonèse », l'actuelle Crimée. Il y trouve de nombreux chrétiens condamnés aux travaux forcés dans des carrières de marbre. Les compagnons souffrent de la soif.
Alors, selon la Légende du Bréviaire, Clément s'étant mis en prière gravit la colline voisine au sommet de laquelle il voit l'Agneau qui de son pied droit touche une source d'eau douce qui jaillissait en cet endroit. Et tous y vinrent apaiser leur soif. Ou, selon le répons des Matines que j'aimerais voir reproduit dans le vitrail pour en exprimer le sens, saint Clément en prière vit sur la montagne un Agneau debout —autre version, l'Agneau de Dieu lui apparaît — dessous le pied duquel coule une fontaine d'eau vive. Et ce flot qui jaillit réjouit la cité de Dieu.
On ne peut s’empêcher de voir dans ce trait de la légende une allusion baptismale : l'eau jaillit dessous le pied de l'Agneau n'est-elle pas l'eau du baptême, le fleuve de grâce des sacrements qui « réjouit » et fait vivre la cité de Dieu ? C'est pourquoi je verrais comme motif central du vitrail l'image traditionnelle : l'Agneau sur la colline d'où coule les sept fleuves, avec au premier plan saint Clément agenouillé et priant dans l'attitude de « l'orante », et, flanquant le tout, deux groupes de personnages assez analogues à ceux qui figurent dans le vitrail de la Prédication de Jean-Baptiste et occupés à puiser au fleuve de vie. Pour décorer le haut du vitrail un Père éternel et la colombe de l'Esprit entourés d'un groupe ou d'un « vol » d'anges. "
a) Inscription sur le sujet :
CLEMENT S'ETANT MIS EN PRIERE L'AGNEAU DE DIEU LUI APPARUT
DESSOUS SON PIED COULAIT UNE SOURCE D'EAU VIVE
CE FLOT QUI JAILLIT RÉJOUIT LA CITÉ DE DIEU.
b) Inscription de donation : panneau A :
DON DES MARINS ET DE LA POPULATION DU PORT DE GRANVILLE.
Signature :
EXECUTION : ATELIER DU VITRAIL DE FONTENAY
Cette signature complète celle de la baie 19 portant le nom de Jacques Le Chevallier "peintre-verrier", qui s'est chargé de l'étude et des maquettes mais peut-être pas lui-même de l'exécution qu'il a laissé à son atelier de Fontenay-Aux-Roses.
B. LA BAIE 22 : SAINT CLÉMENT ET LE "TOMBEAU SOUS LA MER".
Le chanoine Hyernard présente ainsi cette légende du "tombeau sous la mer".
—Selon la « légende « du Bréviaire : tandis que les chrétiens priaient sur le rivage, la mer se retira jusqu'à trois milles de là. Ils s'y rendirent et trouvèrent un édifice de marbre en forme de temple, à l'intérieur un coffre de pierre où le corps du martyr était déposé et près de lui l'ancre avec laquelle il avait été immergé. Émus d'un tel miracle, les habitants reçurent la foi du Christ.
—Le « répons » de Matines pour servir d'inscription : « Tu as donné Seigneur à ton martyr Clément un tombeau dans la mer comme temple de marbre fait de la main des anges, ouvrant ainsi la voie aux peuples de la terre pour qu'ils racontent tes merveilles ».
C'est le miracle, signe de Dieu et signe de la foi en l'église, qui me semble transparaître dans cet épisode.
Le joli ciborium de Saint-Clément de Rome me semblerait pouvoir offrir une image suggestive pour le « temple de marbre » que je verrai porté et soutenu par 2 ou 4 anges, le saint Clément y étant figuré en gisant dessus. Deux groupes de chrétiens en marche occuperaient le premier plan. Et dans le haut du vitrail des anges porteraient les insignes pontificaux : la tiare, les clefs, la croix pontificale à trois barres inégales, l'ancre et la palme du martyre. »
Une fois encore, le peintre-verrier a exécuté fidèlement le souhait du commanditaire.
Le tombeau du saint, qui apparaît sur fond de mer, est entouré de quatre anges orants. Le peintre a reproduit comme cela lui était suggéré, le ciborium ou dais d'autel de la basilique Saint-Clément de Latran à Rome.
Le chanoine Hyernard s'est sans doute inspiré pour ces vitraux des mosaïques des voûtes de la basilique, où ces deux miracles sont décrits.
Le saint est couché sur son tombeau ovale, en gisant, mains croisées sur la poitrine.
Sur le rivage, les hommes et les femmes sont émerveillés par ce miracle.
a) Inscription sur le sujet :
TU AS DONNÉ SEIGNEUR À TON MARTYR CLEMENT
UN TOMBEAU DANS LA MER
OUVRANT AINSI LA VOIE AUX PEUPLES
DE LA TERRE POUR QU'ILS
RACONTENT TES MERVEILLES
b) Inscription de donation :
panneau A :
A
LA MEMOIRE DE SES MARINS
HOMMAGE A SAINT CLEMENT
LEUR PATRON
VILLE DE GRANVILLE.
LES BAIES HAUTES DU CHOEUR (Jacques Le Chevallier, 18 m², 1974).
Technique : Verre antique de couleur sous plomb, mais sans grisaille. Fine bordure blanche. Trame formée par les lignes horizontales et verticales des plombs. La clarté est assurée par une forte proportion de verres blancs, ou de couleurs atténuées.
Sur la baie ogivale, le remplage crée une lancette cintrée, communicant par un isthme avec un petit oculus. Le peintre s'est plu à traiter ce dernier en deux couleurs.
Baie 100.
Baie 101
Baie 102
Baie 103
Baie 104
Baie 105
Baie 106
Baie 107
Baie 108
Baie 109
Baie 110
Baie 111
Baie 112
Baie 113
Baie 114.