Les sablières de l'église de Bodilis. I. La scène des semailles et du labour (anonyme, 1567).
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Voir aussi les cinq autre scènes de labour à la charrue des sablières de Bretagne : celles de La Martyre, de La Roche-Maurice, celle du Tréhou, celle de Sainte-Marie-du Ménez-Hom et de Pleyben.
- La charpente sculptée de l'église de Pleyben (vers 1571) par le Maître de Pleyben : le chœur et le haut de la nef. Sablières et blochets.
- La charpente sculptée du collatéral nord de la chapelle Sainte-Marie-du-Ménez-Hom en Plomodiern par le Maître de Pleyben (vers 1575). Sablières, blochets, et abouts de poinçons..
- L'église Saint-Salomon de La Martyre VI : les sablières.
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Vous pourrez lire aussi, sur le sujet des sablières de Bretagne, les articles suivants :
Les sablières (1506-1508) de la nef centrale de l'église Notre-Dame de Grâces (22).
Les sablières (1508) du bas-coté de l'église Notre-Dame de Grâces (22).
Les sablières et les blochets de la chapelle Notre-Dame-du-Tertre à Châtelaudren.
Les sablières et les blochets restaurés de l'église Notre-Dame de Brennilis.
Quelques sculptures de l'intérieur de l'église Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle à l'Hôpital-Camfrout.
Les sablières, les blochets et les statues de l'église de Le Tréhou. I.
La charpente sculptée de l'église Saint-Yves de La Roche-Maurice. Les abouts de poinçon du chœur.
Sablières, inscriptions et pardon de la chapelle Saint-Sébastien au Faouët (56). (1608)
L'enclos paroissial de Dirinon V. Les sablières (1623), les blochets et poinçons.
Les sablières et poinçons de l'église Notre-Dame et Saint-Michel de Quimperlé.
La charpente sculptée de l'église de Pleyben (1571) par le Maître de Pleyben : le transept sud.
L'intérieur de l'oratoire Notre-Dame de l'abbaye de Daoulas.
Quelques pièces sculptées de la charpente de l'église de Grâces à Guingamp. Les abouts de poinçons.
L'église de Guengat II : Statues, sablières et inscriptions.
Les sablières de la chapelle Notre-Dame-du-Tertre à Châtelaudren.
Vierges allaitantes VII: Lannelec à Pleyben (3) mobilier et statues.
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PRÉSENTATION.
"Du type à nef obscure, l'édifice de 6 travées a ses grandes arcades pénétrant directement dans les piliers. A l'exception de la petite chapelle Notre-Dame, à gauche du choeur, voûtée sur ogives, il est entièrement couvert par un lambris dont les sablières, entraits et têtes des blochets, sont très finement sculptés. On retrouve notamment sur les premières une scène de labourage semblable à celle de Sainte-Marie du Menez-Hom et une scène d'ivrognerie également visible à Saint-Thomas de Landerneau." (Couffon & Le Bars)
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"Il y a encore dans l'église de Bodilis d'autres détails qui méritent l'attention des archéologues, ce sont les sculptures très riches et très variées qui couvrent les poutres apparentes et les sablières ou corniches ; elles reproduisent des motifs d'ornementation, des monstres, des serpents, des griffons, puis des scènes de la vie journalière à la campagne, des attelages traînant des charrettes, des labourages à la charrue, des convois funèbres, etc., tout cela sculpté avec verve et entrain. Une corniche à l'intérieur de la sacristie haute porte cette inscription : F : IURA HERGOVARCH : FABRIQUE : 1687 ." (J.M. Abgrall, 1903)
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La charpente a été restaurée entre 2000 et 2002, notamment par Thierry Laudren :
"La restauration de la charpente (2000-2002) permet aujourd'hui de découvrir la richesse extraordinaire des multiples sculptures des sablières - " les plus remarquables par le nombre et la variété des sujets représentés " (3) - des entraits à engoulants, des blochets, des culots de poinçon (diverses pièces de bois constituant une charpente). Scènes mythologiques et bibliques, sujets profanes et sacrés s'y entremêlent étrangement. Licornes et lions tirent des attelages, des gueules béantes s'apprêtent à dévorer des hommes et des femmes aux pieds de bouc, des anges portent les instruments de la passion ou les plaies du Christ, la Vierge Marie, enceinte de Jésus, rend visite à Elisabeth, bientôt mère de Jean-Baptiste, etc…" (APEVE)
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"Cette Renaissance foisonnante se retrouve à l'intérieur de l'église, où les charpentiers se sont donnés à cœur joie sur plus de 100 mètres de sablières, 14 poutres et 20 blochets extraordinairement fouillés, dans une inspiration religieuse, mythologique et profane." Jacky Questel
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L'atelier du Maître de Pleyben ?
"Plusieurs sanctuaires semblent avoir été sensibles au rayonnement de Pleyben. Les sablières de l'église de Bodilis, décorées au XVI et et XVIIe siècle, se distinguent par la prédominance des thèmes religieux dont certains s'apparentent à ceux de notre sculpteur [le Maître de Pleyben, actif en ce lieu, mais aussi à Kerjean, Sainte-Marie-du-Ménez-Hom, Roscoff [?] et Saint-Divy vers 1570 et 1580]." (S. Duhem)
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VUE GÉNÉRALE.
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La nef est divisée par 8 entraits (ces poutres qui la traversent), et, entre le 4ème et le 5ème entrait, par deux blochets. Le 4ème entrait porte en son milieu la date 1567. J'ai numéroté les sablières (ces pièces de bois formant corniche, entre deux entraits ou un entrait et un blochet) de N1 à N10 au nord de la nef vers le chœur, et, bien-sûr, de S1 à S10 au sud de la nef, dans le même sens.
Selon ce procédé, la scène du labour occupe la sablière N5, au nord de la nef, entre le quatrième entrait et le blochet nord. C'est donc une place centrale. Observons d'emblée que la sablière S5, en vis à vis, est sculptée également d'un attelage à trois animaux, un décor énigmatique mais dont le labour de N5 ne peut être trop facilement séparé.
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Cette scène est composée par un laboureur, qui conduit une charrue à deux roues. La charrue est tractée par un attelage à trois chevaux (du moins à première vue) guidés par un homme qui tient les rênes de l'animal de tête. Devant cet attelage, un paysan sème des graines. Un aimable mais vigoureux tableau campagnard, une Bucolique célébrant la vertu des travaux de la terre. Travaillez, prenez de la peine, le Royaume des Cieux est à vous !
À première vue.
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I. LE SEMEUR.
Il est plié en deux (hauteur de la corniche oblige), les jambes progressant vers la gauche tandis que le tronc s'oriente de profil pour semer le grain de coté, et que la tête et les yeux se retournent en arrière et en haut pour observer ceux qui le suivent. C'est une très belle posture en torsion, souvent utilisée pour représenter saint Christophe. Il me semble être tête nue, et sa chevelure laisse échapper du capuchon deux rouleaux à hauteur des oreilles. Il est barbu, ses pommettes sont saillantes, ses traits sont forts. Il porte une culotte moulante, descendant jusqu'au dessus des genoux, et des chausses si serrées qu'on n'en voit pas les détails. Une veste aux pans croisés complète cette tenue ; les manches en sont relevées.
Ses graines, de grosse taille, sont réunies dans une poche de tissu tenue dans le poing gauche.
La consultation des exemples iconographiques de semeurs sur le site Enluminures.fr fournit 68 réponses, la plupart pour illustrer le mois de septembre (parfois octobre ou novembre) des calendriers, d'Heures ou d'autres ouvrages entre le XIIIe siècle et la première moitié du XVIe siècle. Beaucoup de semeurs ont placé le grain dans la poche d'un tablier blanc noué autour du cou comme une grande serviette. Beaucoup, mais non tous, ont la tête couverte d'un chapeau. Beaucoup se tiennent bien droit, absorbés par leur tâche, le regard dirigé vers l'avant. La stéréotypie du personnage le transforme en un équivalent de signe zodiacal de septembre-octobre.
Aucun n'adopte la torsion à 180 ° de notre personnage, et aucun ne précède, dieu merci, un attelage labourant la terre qui vient d'être semée, alors qu'il faudrait herser.
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On aura remarqué le crochetage du pied gauche par celui, également gauche et postérieur, du paysan placé derrière lui. À eux deux, se tournant le dos, ils forment un couple chorégraphique bien insolite parmi les sillons.
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II. LE GUIDE D'ATTELAGE.
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Ce jeune et robuste gaillard — peut-être le Grand Valet du maître laboureur, ou le chef d'attelage— tient la bride du cheval de tête. Les guides rejoignent le mors, les montants (sans œillères) et les frontales.
Il y a deux façons de mener un attelage, soit le menage à la tête, comme ici, soit le menage aux guides et au fouet.
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Le labour, sablière N5, charpente de la nef de l'église de Bodilis. Photographie lavieb-aile août 2017.
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III. L'ATTELAGE À TROIS CHEVAUX.
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Le labour, sablière N5, charpente de la nef de l'église de Bodilis. Photographie lavieb-aile août 2017.
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Le premier cheval est équipé d'un collier d'épaule, de traction, relié à une sangle qui longe ses flancs jusqu'à son train.
Il semble fort agité : il lève la tête, ses oreilles pointent et sa queue est dressée. Que se passe-t-il ?
Il ne semble pas solidaire de l'attelage, puisqu'aucune sangle ne l'y relie.
Plus intrigant encore, le cheval qui est en arrière-plan, à demi masqué, ne porte aucun harnachement. Il semble plus docile.
La logique que je m'étais construit, qu'un équipage de trois chevaux attelés à la même charrue, vient de voler en éclat.
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Le labour, sablière N5, charpente de la nef de l'église de Bodilis. Photographie lavieb-aile août 2017.
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Le dernier cheval reçoit le brancard de la charrue sous la forme de deux bâts (apparemment en fer forgé torsadé au milieu).
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Le labour, sablière N5, charpente de la nef de l'église de Bodilis. Photographie lavieb-aile août 2017.
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IV. LA CHARRUE MENÉE PAR LE LABOUREUR.
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Je comparerai cette charrue à celle donnée en illustration par F. Bardoneschi selon Les Heures Rostchild (vers 1500) :
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Le labour, sablière N5, charpente de la nef de l'église de Bodilis. Photographie lavieb-aile août 2017.
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LE LABOUREUR.
Le paysan a fort à faire pour tenir les deux mancherons tout en maniant le manche du coutre, ou une autre poignée, de la main droite.
Il est coiffé d'un chaperon, et vêtu comme les deux hommes précédents. Son regard est étrange, c'est un peu celui d'un aveugle. Est-il en train de perdre le contrôle de l'attelage ?
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Le labour, sablière N5, charpente de la nef de l'église de Bodilis. Photographie lavieb-aile août 2017.
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V. LE BLOCHET. SAINT JEAN ?.
Cet homme, imberbe, vêtu d'une longue robe, et tenant un phylactère, est-il saint Jean (l'évangéliste, bien-sûr), comme je le suggère ?.
Par la finesse de sa silhouette, ses longs doigts, son visage gracile, il m'évoque les blochets du Maître de Pleyben, ceux de Kerjean par exemple.
À Pleyben, le laboureur regarde franchement en arrière et en haut vers le blochet, faisant ainsi preuve d'une distraction coupable dans la conduite de l'attelage. Ce n'est pas tout a à fait le cas ici, mais lorsque je regarde le laboureur au pied du blochet, je m'interroge.
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DISCUSSION.
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La tendance spontanée est de voir ici un désir des membres de la fabrique paroissiale (le plus souvent choisis parmi les plus aisés et les plus généreux des propriétaires terriens de la trève) de mettre en valeur leur activité et leur profession agricole. Une scène naturaliste.
"Les charpentiers semblent avoir été particulièrement sensibles aux activités agricoles et à l'image du paysan affairé dans son champ. Ce qui n'apparaît pas singulier si l'on considère la place de cette activité dans la vie des populations sous l'Ancien Régime. L'agriculture est la pierre d'angle de cette économie fondamentalement rurale. À la veille de la révolution, précise L. Élégoët, l'agriculture occupe plus de 75% de la population de la zone toilière. La culture des céréales – froment, avoine, seigle, mil et sarrasin – assure une place importante de la production vivrière. Les scènes de labours représentées sur quelques sablières attestent l'utilisation de la charrue à roue au XVIe siècle, un détail, selon A. Croix, qui « (…) place la Bretagne au premier rang des provinces développées ». Les sablières de La Martyre, de La Roche-Maurice, de Bodilis, de Pleyben, et du Tréhou donnent des indications précises sur la conception de ces instruments. Plusieurs sculpteurs ont réalisés ces images, dans des styles très différents, mais toutes sont représentées avec force précisions : la charrue du Tréhou est vue à la fois de profil et de face, par exemple.Ce détail est révélateur du souci des artisans d'être fidèle aux modèles reproduits, ce qui garantit une certaine authenticité des images.
Par delà ces clichés « photographiques » d'épisodes de la vie agricole courante, on mesure le poids d'une réalisation économique locale. Le Léon est une région agricole prospère, et plus encore une grande zone d'élevage et la première région exportatrice de chevaux, avec le Trégor, au XVIIe siècle. Les représentations de bœufs attelés et de chevaux sur les charpentes apparaissent à plusieurs reprises sur les sablières léonardes. Les animaux sont non seulement utilisés pour les labours, par deux, voire par quatre, ils conduisent également le chariot du cortège funèbre et participent au transport des fûts, à la Roche-Maurice et à Pencran." (S. Duhem)
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Pourtant, le rapprochement (incontournable) des cinq scènes de labour sculptées sur sablières, oblige à s'interroger, puisque trois de ces scènes montrent des accidents, peut-être par la faute du conducteur, peut-être par l'emballement des animaux de traits, concernant les guides de coté ou d'avant.
— La Roche-Maurice (vers 1560). Un laboureur, charrue à roues, quatre chevaux 2x2, un guide d'avant. Pas d'accident.
— Pleyben (vers 1571) : un laboureur (regardant en arrière et en haut), un guide d'arrière, charrue à roues, 3 chevaux 2 puis 1 en pointe, une victime écrasée par la roue droite.
http://www.lavieb-aile.com/2017/07/la-charpente-sculptee-de-l-eglise-de-pleyben-vers-1571-par-le-maitre-de-pleyben-le-choeur-et-la-fin-de-la-nef.sablieres-blochets-et
— Sainte-Marie-du-Ménez-Hom (vers 1575) : Un laboureur, un guide d'arrière, charrue à roues, quatre chevaux 2x2, un faucheur à l'avant, une victime entre les deux groupes de chevaux. Punition lors de la Fuite en Égypte , selon une hypothèse locale qui me semble peu étayée.
http://www.lavieb-aile.com/2017/07/la-charpente-sculptee-du-collateral-nord-de-la-chapelle-sainte-marie-du-menez-hom-en-plomodiern-par-le-maitre-de-pleyben-vers-1575.h
— Le Tréhou (entre 1555 et 1610). Un semeur sur la pièce de bois voisine. Un laboureur, une charrue à roue, quatre bœufs 2x2, un animal monstrueux en pointe, écrasant ou renversant le guide d'avant.
— La Martyre (vers 1560). Un laboureur (regardant ailleurs), une charrue à roue, deux chevaux en couple, quatre bœufs accouplés deux à deux, un guide d'avant tenant les guides et levant son fouet. Pas d'accident (mais le guide d'avant est très incliné en arrière).
http://www.lavieb-aile.com/2016/12/l-eglise-saint-salomon-de-la-martyre-vi-les-sablieres.html
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D'autre part, l'analyse de la sablière N5 de Bodilis révèle de nombreuses incongruités : semeur précédant un labourage, et se retournant vers l'arrière. Cheval de pointe non relié à l'attelage. Deuxième cheval non harnaché. Regard bizarre et détourné du conducteur de la charrue.
Enfin, la sablière N5 est située en vis à vis de la sablière S5, qui est, quant à elle, d'un registre franchement fantastique avec son attelage tiré par une licorne, un lion, et une troisième bête qui ne vaut guère mieux.
Curieusement, cette énigme n'a pas stimulé les esprits, puisque depuis le travail de S. Duhem, qui date tout de même de plus de vingt ans, personne n'a exposé ses observations ou ses cogitations.
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Ma réflexion provisoire.
J'ai abandonné la piste naturaliste, champêtre et paysanne. Comme Dali jadis devant l'Angélus de Millet, je subodore "le mythe tragique" caché derrière ces saynètes rurales.
Les cinq Labours sont-elles les cinq versions d'une même histoire, d'un dramatique fait-divers ayant marqué les esprits dans les campagnes toilières du Léon ? À Bodilis et à La Roche-Maurice, l'artiste se serait dispensé de représenter le malheureux guide d'attelage écrasé sous la charrue, et aurait donné un tableau fonctionnant comme un rappel plus sobre.
Sont-ils l'illustration, par un exemple bien adapté à ces paroissiens, du danger de la mort accidentelle, pour les inciter à la vigilance? L'un des points communs semble être la distraction du conducteur.
Ou ces cinq sablières finistériennes seraient-elles les images d'un proverbe, d'une expression proverbiale, d'un conte ou d'une gwerz (les gwerziou sont des chants bas-bretons tristes, parfois construits autour d'un événement local) qui n'auraient pas été collectés et ne nous seraient pas parvenus, tout en étant parfaitement compris à l'époque ?
Comme je suis convaincu qu'il ne faut pas considérer un fragment d' œuvre (une pièce de sablière) isolément du programme iconographique total; il me reste à présenter les autres éléments sculptés de cette charpente, dont certains sont tout aussi passionnants que celui-ci.
(J'ai encore à mettre en ligne mes images des "labours" de La Roche -Maurice et du Tréhou, pour disposer d'une série complète).
À suivre.
Sablière (1560) du bas-coté nord , église de La Roche-Maurice. Photographie lavieb-aile septembre 2017.
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SOURCES ET LIENS.
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— ABGRALL (Chanoines Jean-Marie) et PEYRON (Paul), 1903, "[Notices sur les paroisses] Bodilis", Bulletin de la commission diocésaine d'histoire et d'archéologie, Quimper, 3e année, 1903, p. 192-208.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k109982z/f180.image
https://diocese-quimper.fr/images/stories/bibliotheque/bdha/bdha1903.pdf
http://diocese-quimper.fr/images/stories/bibliotheque/pdf/pdf_notices/bodilis.pdf
— APEVE, Association pour la promotion des enclos paroissiaux de la vallée de l'Elorn
http://www.bodilis.org/patrimoineetsites.php
— COUFFON (René), 1958, Notre-Dame de Bodilis. In: Bulletin Monumental, tome 116, n°2, année 1958. pp. 121-133; doi : 10.3406/bulmo.1958.3832 http://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1958_num_116_2_3832
http://www.persee.fr/docAsPDF/bulmo_0007-473x_1958_num_116_2_3832.pdf
— COUFFON (René), LE BARS (Alfred) 1988, Nouveau répertoire des églises et chapelles, : paroisse de Bodilis,” Collections numérisées – Diocèse de Quimper et Léon,
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/fdf52c93c4ad292cf14cbf5068677c87.pdf
— DUHEM (Sophie), 1997, Les sablières sculptées en Bretagne: images, ouvriers du bois et culture paroissiale au temps de la prospérité bretonne, XVe-XVIIe s. ; préf. d'Alain Croix, Rennes :Presses universitaires de Rennes, 1997 : thèse de doctorat en histoire sous la direction d'Alain Croix soutenue à Rennes2 en 1997.
— BARDONESCHI (Floriana ),2015, « Les images du cheval attelé au travail dans les campagnes : réalités anatomique et morphologique et construction artistique à travers les enluminures (Europe, XIIe-XVIe siècle) », In Situ [En ligne], 27 | 2015, mis en ligne le 02 novembre 2015, consulté le 04 avril 2018. URL : http://journals.openedition.org/insitu/12073 ; DOI : 10.4000/insitu.12073
— LAUDREN (Thierry), dossier photo de son travail de restauration de la charpente
https://www.thierrylaudren.fr/pages/monuments-historiques.html
http://thierrylaudren.pagesperso-orange.fr/monumentshistoriq2.htm
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