Zoonymie des Odonates : étude des noms du Sympetrum striolatum (Charpentier 1840), "le Sympétrum fascié".
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Zoonymie ? L'étude des noms des animaux (zoo). Comme dans Toponymie, Oronymie, Hydronymie, ou Anthroponymie, mais pour les bêtes.
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Zoonymie des Odonates.
GÉNÉRALITÉS
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Avant l'ère des noms, celle des enluminures. Les manuscrits français de la BnF (base Mandragore).
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Avant l'ère des noms, les enluminures de Jean Bourdichon dans les Grandes Heures d'Anne de Bretagne.
ANISOPTÈRES
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Zoonymie pré-linnéenne des Odonates : origine du nom de genre Libellula, Linnaeus, 1758.
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Le genre Gomphus, Leach, 1815.
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les noms de Somatochlora flavomaculata (Vander Linden, 1825), "la Cordulie à taches jaunes".
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les noms de Gomphus pulchellus, (Selys, 1840), "le Gomphe joli".
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les noms de Gomphus simillimus (Sélys, 1840), "le Gomphe semblable".
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les noms de Gomphus vulgatissimus (Linnaeus, 1758), le Gomphe vulgaire.
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ZYGOPTÈRES
BIBLIO :
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Résumé.
— Sympetrum, Newman, 1833, Ent. mag. , 1:511.. Des deux suffixes grecs σύμπυκνος, sympiezein "comprimé" et ἦτρον, êtron "abdomen" : "qui a l'abdomen comprimé latéralement". En 1833, l'entomologiste britannique Edward Newman répartit les Libellulidae en quatre genres selon la forme de leur abdomen (-etrum) : les Sympetrum "à l'abdomen latéralement comprimé" comme S. vulgatum, les Orthetrum "à l'abdomen parallèle latéralement" comme O. cancellatum et O coerulescens, les Platetrum "à l'abdomen dilaté et aplati" comme L.depressa, et les Leptetrum "à l'abdomen conique et pointu" comme L. quadrimaculata. Seuls les deux premiers genres ont été conservés, mais la distinction par la morphologie de l'abdomen a perdu de sa pertinence.
— S. Striolatum , Charpentier, 1840, Libell. europ: 78; cette forme atténuée du latin striatus, a, um signifie "qui est légèrement strié". La description originale ne permet pas de préciser si l'épithète se réfère aux pattes (jaunes à ligne noire sur toute la longueur) ou au thorax (à deux bandes jaunes), mais le caractère discret fait pencher plutôt vers les pattes (les deux "fasces" du thorax sont larges et franches).
— Noms communs en français : 1°) "La Libellule striolée", Sélys 1850. 2°) "Le Sympétrum fascié", Paul-André Robert 1958, retenu par la LPO et l'INPN ; 3°) "Le Sympétrum strié", Jourde in Dijkstra 2007 et Précigout-Prudhomme 2009.
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— Noms communs dans d'autres langues :
-en espagnol : La Libélula flecha roja
-en néerlandais : De bruinrode heidelibel
-en frison : Grutte heidelibel, Hjersthopke
-en allemand : die Große Heidelibelle
-en anglais : Common Darter.
- en gallois : Gwäell gyffredin
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NOM SCIENTIFIQUE.
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NOM DE GENRE SYMPETRUM NEWMAN, 1833.
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Voir :
Newman, Entomological Magazine vol. 1, London, F. Westley & A.H. Davis, page 511.
http://www.lavieb-aile.com/2018/04/zoonymie-des-odonates.le-nom-de-genre-sympetrum-newman-1833.html
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NOM D'ESPÈCE S. STRIOLATUM (CHARPENTIER, 1840).
Charpentier (de Toussaint von), 1840, Libellulinae europaeae ac depictae, L. Voss, 180 pages , page 78 et planche X fig. 1 et 2.
Description originale.
11. LIBELLULA STRIOLATA. Tab. X. Fig. 2. mas et foem.
Lib. corpore cylindrico, lutescens: abdomine maris rufo, foeminae luteo, in lurido-virescens abeunte: pedes in utroque sexu lutei, nigro-lineati, fronte maris flavida.
Habitat in Silesia.
Haec Lib.praecedente paullulo maior, et in utroque sexu eiusdem magnitudinis est.
Caput globosum, flavidum: maris adulti frons semper flavida. Oculi gilvi, superne rufo-brunnei. Tempora flava, glabra, maculis nonnullis minus distinctis nigris,
Truncus. Prothorax ater, opacus, postice in lobos duos semiorbiculares elevatus: margine antico et postico flavo. Alitruncus lurido-luteus, in lateribus sulphureus, lineis nonnullis atris. Collaris margo anticus colore vix nigro terminatus, Tubercula interalaria maris adulti rufa.
Alae hyalinae, ad basin non coloratae: maris venis rufis, foeminae luteis: illius parastigmate fusco, huius lutescente.
Pedes flavo-lutei, femoribus utroque latere, tibiis interno linea atra pictis.
Abdomen teres, cylindricum, ad basin subglobosum, in medio leviter attenuatum, versus apicem crassius, et in summo apice demuo attenuatum, id quod etiam de foemina valet.
Color abdominis maris idem est, atque in Lib. nigripede. Foeminae color e luteo aliquantulum in lurido-viridem transit, et macula nigra in segmento octavo et nono tam magna et dilatata plerumque est, ut totum fere segmentum impleat, et in medio utriusque lateris disculus maneat luteus. Caeterum margines omnes ac suturae linea tenui, atra terminantur. In ipsis segmentorum lateribus, praecipue mediorum, adiacet lineola longitudinalis, atra, abbreviata, basin singulorum segmentorum non attingens.
Valva aperturae oviparae incumbens, in margine antico paullulum excisa.
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La planche X (peinte et dessinée par Charpentier ) montre les deux formes mâle et femelle dans les figures 1 et 2. Aucun indice ne nous aide dans notre étude zoonymique.
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ÉTUDE DU NOM S. STRIOLATUM.
Le terme latin striolatus n'est pas attesté en latin avant son usage en sciences naturelles au début du XIXe siècle. Le terme latin est celui de striatus, a, um : participe passé du verbe strio , signifiant "Cannelé, strié": Gaffiot page 1484.
Il semble avoir été construit par les naturalistes sur les modèles linnéens d'atténuation d'épithètes latins valides : libellula sur libella, flaveola sur flava : Striolatus, Olivier 1801, Striolata 1813 ; Gyrinus striolatus Guerin 1830.
En 1834, Jourdan, dans son Dictionnaire raisonné, étymologique des sciences naturelles, le cite avec cette définition :
"STRIOLÉ, adj. striolatus (stria, "strie") : qui est légèrement strié, comme les élytres du Passalus striolatus."
Ce Passalus est un coléoptère décrit en 1829 par Eschschlotz (celui qui a découvert l'Eschscholtzia)(INPN https://inpn.mnhn.fr/espece/cd_nom/748786)
En français, l'adjectif "striolé" est employé par les naturalistes comme nom vernaculaire ("Bruant striolé", "Synnalaxe striolé", "Moiré striolé") ou comme adjectif dans des descriptions d'espèce, surtout depuis la fin du XIXe, alors qu'il n'est pas reconnu par le CNRTL , sauf comme un "synonyme" de "strié". Nous verrons qu'il est apparu sous la plume de Sélys en 1850, précisément pour traduire le striolatum de Charpentier.
Voir :https://en.wiktionary.org/wiki/striatus#Latin
Novo Acta Leopoldina 1727 (striolatus) et 1757 (striolata)
Striolatus, Olivier 1801
https://books.google.fr/books?id=CmZdL4Rr1tgC&pg=PA417&dq=striolatus&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjtuueUkfPfAhVEXhoKHVVJAlMQ6AEIKTAA#v=onepage&q=striolatus&f=false
Quoiqu'il en soit, chacun admettra que ce néologisme propre aux sciences naturelles a été employé par l'allemand Toussaint von Charpentier avec le sens de "strié".
Néanmoins, dans sa description latine pourtant détaillé, l'auteur n'emploie à aucun moment l'adjectif striolatus, et pas davantage celui de striatus. Dans sa diagnose inaugurale, là où il doit indiquer tous les caractères spécifiques, il écrit Lib. corpore cylindrico, lutescens: abdomine maris rufo, foeminae luteo, in lurido-virescens abeunte: pedes in utroque sexu lutei, nigro-lineati, fronte maris flavida : "libellule au corps cylindrique, jaunâtre ; abdomen roux chez le mâle, jaune chez la femelle avec des amorces jaune-pâle ; pattes jaune dans les deux sexes, à lignes noires ; front du mâle jaunâtre.".
Faut-il voir dans ce nigro-lineati qualifiant les pattes l'origine de l'épithète striolatum ? En toute logique, oui, mais cela choque nos habitudes de voir les auteurs choisir des déterminants des ailes ou de l'abdomen pour nommer leur espèce.
Et puis, ce caractère des pattes ne permet pas de distinguer, parmi les Sympetrum, S. striolatum de S. flaveolum ou de S. vulgatum.
Certes, mais si nous estimons que l'épithète se rapporte à l'abdomen ou au thorax, il n'est pas non plus spécifique et discriminant.
La description originale ne permet donc pas de préciser si l'épithète se réfère aux pattes (jaunes à ligne noire sur toute la longueur) ou au thorax (à deux bandes jaunes), mais le caractère discret (striolatum = "strié légèrement") fait pencher plutôt vers les pattes (les deux "fasces" du thorax sont larges et franches)
Nous verrons que Paul-André Robert a attribué le qualificatif au thorax ou à l'abdomen, puisqu'il écrit en 1958 : "Signification du nom : striolatum = coté ou flanc strié, ou bien coupé par des lignes ou des rainures, c'est-à-dire fascié. "
LES AUTEURS PRÉCÉDENTS EN ZOONYMIE.
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POITOU-CHARENTE NATURE
http://www.poitou-charentes-nature.asso.fr/sympetrum-strie/
"Striolatum de striolatus (lat) = strié, marqué de petits traits : du fait de la présence d’une ligne noire latérale interrompue le long de l’abdomen."
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DRAGONFLYPIX
http://www.dragonflypix.com/etymology.html
"Sympetrum striolatum (Charpentier, 1840) from Lat. striolatus, -a, -um = with little furrows [stria = furrow], presumably for the furrowed underside of the abdomen "
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D'ANTONIO & VEGLIANTE.
https://www.researchgate.net/publication/316791278_Derivatio_nominis_libellularum_europaearum
" striolatum (Sympetrum) – diminutivo di striatus, a, um = striato, provvisto di piccole striature. "
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H. FLIEDNER, 2009
https://www.entomologie-mv.de/download/virgo-9/Virgo%200902%20Die%20wissenschaftlichen%20Namen%20der%20Libellen%20in%20Burmeisters.pdf
http://dominique.mouchene.free.fr/libs/docs/GENE_Burmeister_Fliedner.pdf
Non traité
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VAN HIJUM, 2005.
http://natuurtijdschriften.nl/download?type=document&docid=555521
"striolatum van striola = streepje "
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NOMS VERNACULAIRES.
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LES NOMS EN FRANÇAIS.
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1°) "La Libellule striolée", Sélys, 1850.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k26769q/f64.image.texteImage
On sait que l'habitude d'Edmond de Sélys-Longchamps est de former des néologismes pour les noms français d'Odonates, par décalque du nom scientifique. C'est le cas pour l'adjectif "striolé", qu'il introduit ici dans notre langue. (Je trouve tout de même un précédent en 1826 pour un Cône , un autre en 1830 (le Gyrin striolé) , un autre encore en 1840, toujours en sciences naturelles)
La description ne permet pas de dire si Sélys comprend le terme "striolé" comme se rapportant aux stries du thorax ou aux lignes des pattes ; c'est néanmoins à propos du thorax qu'il utilise le nom "stries" ; et il décrit celles-ci avec précision.
20. LIBELLULA STRIOLATA. Charp.
LIBELLULE STRIOLÉE.
Diagnose. Ailes non sensiblement colorées à la base ; ptérostigma médiocre ; pieds jaunes en dehors, lignés de noirs. Côtés du thorax jaunâtres, avec trois stries obliques noires (et une bande brune chez l'adulte). Abdomen jaunâtre ( rouge chez le mâle adulte , etc.
[....]
Thorax olivâtre en avant et en dessus, avec les attaches des ailes rouges, jaune olivâtre sur les côtés avec trois raies noires obliques étroites, terminées en dessous par des taches noires bien marquées et confluentes ; l'espace avant la première et celui entre la 2° et la 3* stries sont marron-rougeâtre et forment une bande oblique bien marquée le dessous du thorax olivâtre, tacheté de noir et de marron (ou de rouge chez les très-adultes).
Pieds noirs, ['extérieur des cuisses et des tibias étroitement jaunâtre. Les cuisses ont en outre sur le jaune une ligne noire plus ou moins distincte.
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2°) "Le Sympétrum fascié", P-A. Robert 1958
Paul-A. Robert, Les Libellules: (Odonates), Delachaux & Niestlé, 1958 - 364 pages page 277.
https://books.google.fr/books?hl=fr&id=jvQVvAEACAAJ&dq=Paul-A.+Robert+libellules&focus=searchwithinvolume&q=%22fasci%C3%A9%22
L'auteur écrit : "Signification du nom : striolatum = coté ou flanc strié, ou bien coupé par des lignes ou des rainures, c'est-à-dire fascié. ". Il a donc attribué le qualificatif au thorax marqué de deux larges bandes jaunes. Son adjectif "fascié" est défini par le CNRTL ainsi : "Zoologie : qui est marqué de bandes" (en conchioliogie dès 1743), puisque le nom "fascie" désigne une bande. En héraldique, la fasce est une bande horizontale.
Le terme choisi par Robert a le premier inconvénient de ne pas être compréhensible pour tout le monde (mais c'est aussi sa valeur), mais surtout de miser sur l'une des deux interprétations de l'épithète striolata, car "fascié" ne peut plus s'appliquer aux pattes jaunes à lignes noires.
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Depuis, le nom a été adopté par tous les auteurs et est le nom officialisé par la LPO et l'INPN, et par les guides de Grand et Boudot. .
INPN : https://inpn.mnhn.fr/espece/cd_nom/65344
3°) "Le Sympétrum strié", Jourde in Diskstra 2007.
Pour des raisons que j'ignore, Jourde, dans sa traduction du Guide des Libellules de France et d'Europe de K.-D. B. Dijkstra choisit de ne pas suivre Robert, et d'adopter la traduction "Sympétrum strié". Il reprendra ce nom en 2009 dans Libellules de Poitou-Charentes (Précigout, Prud'homme et Jourde).
C'est aussi le nom mentionné dans l'article Wikipédia (2019).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Symp%C3%A9trum_stri%C3%A9
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LES NOMS EN D'AUTRES LANGUES.
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-en espagnol : La Libélula flecha roja
-en néerlandais : De bruinrode heidelibel
-en frison : Grutte heidelibel, Hjersthopke
-en allemand : die Große Heidelibelle
-en anglais : Common Darter.
- en gallois : Gwäell gyffredin
- en breton (en attente de validation) : Flemm-aer boutin
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SOURCES ET LIENS.
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Bibliographie générale de ces articles de zoonymie des Odonates : voir ici.
http://www.lavieb-aile.com/2018/01/la-bibliographie-de-mes-articles-de-zoonymie-des-odonates.html
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OUTILS DE ZOONYMIE.
http://www.nhm.ac.uk/our-science/data/uk-species/species/libellula%20depressa.html?lang=gd
http://www.nhm.ac.uk/our-science/data/uk-species/species/libellula%20depressa.html?lang=cy
— http://www.dragonflypix.com/etymology.html
— PRÉCIGOUT (Laurent), PRUD'HOMME (Eric), 2009, Libellules de Poitou-Charentes, Ed. Poitou-Charentes Nature, 255 pages,
— POITOU-CHARENTE NATURE (Association) / Philippe JOURDE & Olivier ALLENOU
http://www.poitou-charentes-nature.asso.fr/leucorrhine-a-front-blanc/
— ANTONIO (Costantino D’), VEGLIANTE (Francesca ) "Derivatio nominis libellularum europæarum"(PDF) (en Italien) Étymologie de 197 noms de Libellules européennes.
https://www.researchgate.net/publication/316791278_Derivatio_nominis_libellularum_europaearum
— ENDERSBY (IAN D. ), 2012, : Watson and Theischinger: the etymology of the dragonfly (Insecta: Odonata) names which they published Journal and Proceedings of the Royal Society of New South Wales, vol. 145, nos. 443 & 444, pp. 34-53. ISSN 0035-9173/12/010034-20 34
https://royalsoc.org.au/images/pdf/journal/145_Endersby.pdf
— ENDERSBY (IAN D., FRS ), 2012, Etymology of the Dragonflies (Insecta: Odonata) named by R.J. Tillyard, F.R.S. Proceedings of the Linnean Society of New South Wales 134, 1-16.
https://openjournals.library.sydney.edu.au/index.php/LIN/article/viewFile/5941/6519
— ENDERSBY (IAN D., FRS ), 2012, The Naming of Victoria’s Dragonflies (Insecta: Odonata, Proceedings of the Royal Society of Victoria 123(3): 155-178.
https://www.academia.edu/28354624/The_Naming_of_Victoria_s_Dragonflies_Insecta_Odonata_
— ENDERSBY (IAN D. ), 2015, The naming's of Australia's dragonflies.
https://www.researchgate.net/publication/283318421_The_Naming_of_Australia%27s_Dragonflies
http://dominique.mouchene.free.fr/libs/docs/GENE_origine_noms_odonates_Australie_Endersby_2015.pdf
— FLIEDNER (Heinrich), 2009, Die wissenschaftlichen Namen der Libellen in Burmeisters ‘Handbuch der Entomologie’ Virgo 9[5-23]
http://www.entomologie-mv.de/download/virgo-9/Virgo%200902%20Die%20wissenschaftlichen%20Namen%20der%20Libellen%20in%20Burmeisters.pdf
— FLIEDNER (Heinrich), "The scientific names of the Odonata in Burmeister’s ‘Handbuch der Entomologie".
http://dominique.mouchene.free.fr/libs/docs/GENE_Burmeister_Fliedner.pdf
— FLIEDNER (Heinrich), 1997. Die Bedeutung der wissenschaftlichen Namen Europaischer Libellen. Libellula, supplement I. Sonderband zur Zeitschrift der Gesellschaft deutschsprachiger Odonatologen (GdO) e.V. Fliedner, Bremen.
— FLIEDNER (H.), 2012, Wie die Libelle zu ihrem Namen kam Virgo, Mitteilungsblatt des Entomologischen Vereins Mecklenburg 15. Jahrgang (2012).
https://www.entomologie-mv.de/download/virgo-15/virg%2015104%20Libelle_Namensherkunft.pdf
— HIJUM (Ep van ), 2005, Friese namen van libellen , TWIRRE natuur in Fryslan jaargang 16, nummer 4 page 142-147
http://natuurtijdschriften.nl/download?type=document&docid=555521
— STEINMANN (Henrik), World Catalogue of Odonata, Walter de Gruyter, 6 févr. 2013 - 650 pages . Numérisé Google.
https://books.google.fr/books?id=IaEgAAAAQBAJ&dq=world+catalogue+odonata&hl=fr&source=gbs_navlinks_s
EXTRAIT DE LA BIBLIOGRAPHIE :
— CHARPENTIER (TOUSSAINT DE ), 1840,Libellulinae europaeae ac depictae, L. Voss, 180 pages
https://books.google.fr/books?id=DoIwvgAACAAJ&hl=fr&source=gbs_navlinks_s
LUCAS (Hippolyte), 1849, Histoire naturelle des animaux articulés
https://www.biodiversitylibrary.org/item/101772#page/66/mode/1up
— ROBERT (Paul-A.), Les Libellules: (Odonates), Delachaux & Niestlé, 1958 - 364 pages
https://books.google.fr/books?id=jvQVvAEACAAJ&dq=Paul-A.+Robert+libellules&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj08vudxe_fAhXyxoUKHZQqAiIQ6AEIKTAA
— SELYS-LONGCHAMPS ( Michel Edmond, Baron de) 1840 - Monographie des Libellulidées d'Europe. - Roret, Paris ; Muquardt, Bruxelles, 220 pages.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k370057n/f148.image.r=selys.langFR
— SELYS-LONGCHAMPS ( E.de), 1840b - Enumération des Libellulidées de Belgique. - Bull. Ac. r. Bruxelles, Sér. 1 (7) : 31-43. -
— SELYS-LONGCHAMPS ( E.de),1850 - Revue des Odonates ou Libellules d'Europe. - Bruxelles, Paris.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k26769q.texteImage