L'armoire à bannières ( 2ème moitié du XIXe siècle) de l'église de Guengat. La croix processionnelle de 1584. Les bannières de procession (XIXe).
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Voir sur Guengat :
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La maîtresse-vitre de la Passion (vers 1550) de l'église de Guengat (29).
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Les verres roses des vitraux datant vers 1500 de l'église Saint-Fiacre de Guengat : la baie 4.
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L'église de Guengat II : Statues, sablières et inscriptions.
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8 mars : mes premières coccinelles 7-punctata jouent à saute-mouton
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Voir sur les bannières :
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PRÉSENTATION.
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La Bretagne conserve dans ses églises un certain nombre d'armoires permettant le rangement et la protection des bannières paroissiales lorsque celles-ci n'étaient pas utilisées lors des processions (fêtes et pardons) ou pour pavoiser le chœur.
L'Inventaire Général et la base Palissy en recensent plusieurs, toutes globalement sur le même plan, celui d'une armoire à deux battants.
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Certaines sont anciennes, comme celle de Melesse (1579) de La Martyre (1633), Hédé (1663), de Locmélar (XVIIe siècle) ou de Lassy (XVIIe), de Sizun (XVIIe), d'Esquibien (milieu XVIIe), de Carnac (fin XVIIe) ou de Baulon (fin XVIIe-début XVIIIe) , ou celle de la chapelle Saint-Tugen en Primelin (1703) de Vignoc (1773) d'autres datent du XIXe siècle, comme celles de Moutiers, de Cornillé (1845) ou Erbrée (non datée), Visseiche (id).
À Locmélar, ce sont deux armoires qui sont côte à côte.
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Elles ne semblent pas très différentes des autres armoires conservées en Normandie, Pays de Loire, ou Rhône-Alpes sur la base Palissy.
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Leur recensement n'est pas complet, et il n'est pas rare d'en découvrir lors de nos visites. J'en ai donné la photographie de quelques-unes ici (Dirinon). Il faudrait en dresser une typologie, et le premier critère que je me forge est de séparer des autres celles qui ont, en soubassement, un long coffre plus ou moins étroit et vertical où se logent les hampes, comme à Sizun ou Moutiers. Le meuble a alors une forme en T.
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Dans les autres cas, soit elles reposent sur le sol, ou au dessus d'un coffre, soit elles sont suspendues. Elles sont équipées de crémones, et de serrures.
Elles sont parfois très banales comme à Moulins (35).
Leurs panneaux sont souvent à caissons, ou sont peints (Saint-Tugen) et portent très rarement, comme celle que nous allons découvrir, des sculptures figuratives. Celle de Cornillé comporte l'inscription Vexii ia regis pro devnt.
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En fait, je n'ai trouvé jusqu'à présent aucune armoire à panneaux en bas-reliefs comparables à celle de Guengat.
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L'armoire à bannière de Guengat daterait de la deuxième moitié du XIXe siècle, et serait ainsi presque contemporaine des confessionnaux de 1840 et de la chaire à prêcher de 1843 (dont les panneaux subsistent dans l'autel face au peuple) dont le nom du menuisier a été conservé, Vincent Garrec. Comme ces derniers, l'armoire est remarquable par ses panneaux soigneusement sculptés en bas-relief. Elle a été classée au titre d'objet le 15 juin 1999 et fait l'objet d'une notice PM29004858.
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Elle mesure 2,10 m de haut, 1,80 m de large et 44 cm de profondeur. L'essence utilisée est très probablement le chêne. Elle est soutenue par deux supports en équerre. Les hampes passent par un évidement du fond jusqu'à terre. Elle est adossée au mur nord de la "chapelle de Lanascol", au bas-côté nord, à côté du confessionnal n°2.
Il existe une deuxième armoire à bannière, dans l'ossuaire (fermé au public) avec des bannières de moindre valeur.
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Les panneaux supérieurs : dessin inspiré de baies gothiques à six lancettes et tympan.
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C'est un rappel stylisé de la baie axiale de Guengat et de ses six lancettes, mais avec des différences notables dans le remplage de la baie, et l'adjonction de rangs de quadrilobes.
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Le panneau sculpté en bas à gauche : la croix processionnelle de 1584.
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La logique du sculpteur (ou du commanditaire, la fabrique ou le recteur) est évidente : évoquer les processions avec en tête la croix, suivie de la bannière du saint patron de l'église Saint-Fiacre.
Ces processions avaient lieu lors des fêtes les plus marquantes (deux processions du Saint-Sacrement) et lors des six pardons.
« Il y a foire à Guengat une fois par an, le dernier lundi de Février.
Les pardons sont : Saint-Yvi, le deuxième dimanche de mai ; Saint-Jean, le 24 juin ; la fête patronale, le dernier dimanche d'août ; Saint-Fiacre, le dimanche qui suit le 3 septembre ; et celui du Rosaire, le premier dimanche d'octobre. Il y a aussi le pardon de la chapelle de Sainte-Brigitte, qui se célèbre le deuxième dimanche d'octobre." (H. Diverrès)
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« Il n'y a à Guengat que deux processions du Saint-Sacrement. Le premier dimanche la procession va à un quart de lieue du bourg et là il y a un reposoir. Le second dimanche la procession va à trois quarts de lieue d'une chapelle dédiée à sainte Brigitte et sur la route il y a toujours deux reposoirs. La bannière que l'on porte est rouge et porte d'un coté l'image de la sainte Vierge et de l'autre l'image de saint Fiacre.
Confréries. Il n'y a à Guengat que la confrérie du Rosaire qui est suivie avec ferveur et la confrérie des trépassés. La confrérie du Rosaire remonte à 1830 à l'occasion d'une mission. (Abbé Jean Keranguéven, recteur de Guengat, “Enquête diocésaine sur le culte marial en 1856 : réponse de la paroisse de Guengat)
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Le sculpteur a représenté de façon fidèle la croix processionnelle de 1584 conservée dans le "trésor", ou armoire vitrée sécurisée de l'église. Il y a associé l'image d'un chapelet, entourant la croix, certainement pour rappeler l'importance du culte du Rosaire à Guengat. Ce culte a été diffusé par le dominicain breton Alain de la Roche dès 1473, en Flandres, entrainant le développement de confréries, sous l'effet de larges indulgences accordées par le pape Sixte IV. Le pape Pie V attribua à Notre-Dame du Rosaire sa victoire inattendue sur les Ottomans à Lépante en 1571. Son importance a pu se développer en Bretagne avec l'implantation du couvent dominicain de Quimperlé, et après le "vœu de Louis XIII" en 1638. Mais rien n'indique qu'une confrérie du Rosaire existait à Guengat au XVIe siècle lorsque la croix fut offerte à la paroisse.
Outre ce chapelet, des lacs à glands de passementerie sont placés dans les angles.
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La croix cylindrique à extrémités en boules à godrons est fidèlement représentée, ainsi que le croisillon en chandelier portant la Vierge et Jean (moins identifiable bien-sûr que sur le modèle) et le médaillon qui en occupe le nœud (avec une ressemblance avec le crâne et les ossements entrecroisés évoquant le Golgotha). Le soubassement à trois étages est également conforme, avec ses deux niches, bien que les saints personnages que celles-ci abritent ne soient pas identifiables ici.
Voir infra les clichés de la croix elle-même.
La croix est encadrée en bas par deux ceps portant feuilles de vigne et grappes, en un évident symbole eucharistique.
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Le panneau sculpté en bas à droite : la bannière de saint Fiacre.
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La bannière est figurée de façon réaliste avec son motif (le saint patron tenant sa bêche et son livre, dans une niche) et ses rinceaux, avec sa hampe, avec sa traverse à extrémités pommées, ses trois lambrequins frangés, et ses sept glands de passementerie. Elle est entourée de trois fleurs de lys et de six hermines.
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La croix processionnelle de 1584. Argent doré repoussé et âme de bois.
Classée au 18 janvier 1891.
René Couffon la décrit ainsi : "Croix processionnelle de type finistérien, en argent doré ( 1 m.32 ), tige et bras cylindrique, portant les statuettes de la Vierge et de saint Jean sur des consoles; au-dessous un gros noeud formé de deux étages de niches à coquilles occupées par les 12 apôtres; au pied du Christ , un médaillon ovale avec un gros cabochon. Elle est marquée du poinçon Y.S. et, au haut de la niche de la face antérieure, de la date de 1584. Cette dernière, postérieure au décès de l'amiral Alain de Guengat, prouve que celui-ci n'en fut pas le donateur, ainsi qu'il est souvent répété."
Les initiales Y.S. également présentes sur un reliquaire de Lennon (F. Salet 1965) n'ont pu être attribuées à un orfèvre.
La notice Palissy : https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/PM29000322
"Bras cylindriques, terminés par de grosses boules, garnis de deux consoles latérales qui portent les figures de la Vierge et saint Jean, portant une clochette, suspendue à chaque bras et reposant sur un noeud hexagone à deux étages. La face de la croix est ornée du Christ couronné d'épines, fixé par trois clous. Sur le revers, un saint évêque est fixé sur la hampe sous un dais. Date (au-dessus de la niche de la face antérieure) : 1584. Poinçon non identifié : les initiales YS. H = 132 ; la = 77."
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On consultera :
—Yves-Pascal Castel, Denise Dufief-Moirez, Jean-Jacques Rioult et al., Les orfèvres de Basse Bretagne, Rennes, Association pour l'Inventaire de Bretagne, coll. « Inventaire générale des monuments et richesses artistiques de la France, Région de Bretagne », 1994, 440 p
— Wikipedia, "Croix de procession finistériennes". https://fr.wikipedia.org/wiki/Croix_de_procession_finist%C3%A9rienne
— L'excellente description de Christian Jouin, Tout sur l'église de Guengat
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Je n'ai pas trouvé en ligne comment les occupants des niches ont été identifiés. Je propose ici quelques pistes.
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Le médaillon et sa peinture polychrome : saint Jean-Baptiste et l'inscription IOANNES BAPTISTA.
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Saint Pierre. La date de 1584.
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Saint Jacques le Majeur tenant le bourdon et la pèlerine.
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Mais l'objet tenu dans la main gauche reste à déterminer. Un livre selon ce site. Ce qui est plausible.
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Saint Jean identifié par la coupe de poison qu'il bénit. Poinçon YS.
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Saint André doit se trouver à proximité de saint Pierre sur une autre face.
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Sur les niches du rang supérieur. Pas de suggestion d'identification.
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LES BANNIÈRES DE PROCESSION.
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Les bannières de Guengat ne sont pas classées Mh, et ne présentent aucun élément de datation facile, tel que des armoiries épiscopales ou papales. La bannière principale ou "banniel braz", associant sur une face la figure de saint Fiacre et sur l'autre celle du Rosaire, date néanmoins sans doute du XIXe siècle, puisque l'enquête de Monseigneur Sergent sur les bannières de son évêché en 1856 la mentionne (Guillou 2013 page 209). Et les visites canoniques de 1847 indiquent 3 bannières en 1847 dont deux passées, et en 1852 2 bannières usées. En outre, l'abbé Abbé Jean Keranguéven, recteur de Guengat, mentionne en 1856 que "La bannière que l'on porte est rouge et porte d'un coté l'image de la sainte Vierge et de l'autre l'image de saint Fiacre.".
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LA BANNIÈRE DE SAINT FIACRE.
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Saint Fiacre est le patron de la paroisse, et des statues (dans le chœur, sur le calvaire, etc.), des statuettes des autels, des bas-reliefs des sablières, lui sont consacrés, ainsi qu'une fontaine datée de 1666 , où sa statue porte un écu sur le bas de la robe.
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Les archives de l'évêché conservent deux cantiques en breton dédiés à saint Fiacre, la Gwerz Sant Fiakr et Meuleudi ha peden da zant Fiacr.
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Il est possible (C. Jouin) qu'il ait succédé comme saint patron à saint Jean-Baptiste, qui est représenté baptisant le Christ sous le porche du XVIe siècle.
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Cette bannière est de velours rouge, principale couleur des "banniel braz". Le saint, en motif peint sur étoffe rapporté au centre, occupe un médaillon entouré de rinceaux brodés au fil d'or, et de l'inscription en breton SANT FIAKR PATRON AR BARREZ SIKOURIT AC'HANOMP : "Saint Fiacre patron de la paroisse secourez-nous".
Les trois lambrequins (où des clochettes étaient traditionnellement dissimulées) sont frangés de cannetille dorées. Les deux bras sont terminés par des glands frangés.
Il s'agit sans doute d'une production semi-industrielle, où, sur un schéma de base, la figure du saint est rapportée, et l'inscription est adaptée. Cette figure est peinte sur tissu (visage, mains jointes) sur un corps en étoffe rembourrée et ponctuée de rouelles dorées. La cape qui entoure ses épaules est rare dans son iconographie, où seule l'habit monastique de bure ceint d'une cordelière est habituelle.
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LA BANNIÈRE DU ROSAIRE.
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Voir sur ce thème :
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C'est à la fois une bannière mariale, et une bannière de confrérie :
" Il n'y a à Guengat que la confrérie du Rosaire qui est suivie avec ferveur et la confrérie des trépassés. La confrérie du Rosaire remonte à 1830 à l'occasion d'une mission." Abbé Jean Keranguéven, recteur de Guengat, 1856.
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Ses couleurs sont celles de la Vierge, le blanc et le bleu, et elle est frappée en bas du monogramme MA.
Au centre, la Vierge, les pieds sur des nuées, remet un chapelet du Rosaire à saint Dominique, agenouillé, tandis que son Fils en remet un à sainte Catherine de Sienne, selon une iconographie très habituelle. Les personnages sont placés dans une niche dorée et entourée des 15 médaillons des Mystères joyeux, douloureux et glorieux du Rosaire, dans des rinceaux aux fleurs à cinq pétales.
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Leur dénomination se succède en français dans des médaillons : L'Annonciation. La Visitation. La Nativité. La Présentation. Le Recouvrement. L'Agonie. La Flagellation. Le Couronnement d'Epines. Le Portement de Croix. Le Crucifiement. La Résurrection. L'Ascension. La Pentecôte. L'Assomption. Le Couronnement de la Vierge.
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Deux anges volent mains jointes au dessus de la scène du Don du Rosaire.
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LA BANNIÈRE DE SAINT DIVY.
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Voir sur ce saint :
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Le culte de saint Divy (nommé par certains Yvi) est ancien à Guengat, puisqu'à Pont Kervern, une Fontaine de saint Divy y porte la date de 1560 ainsi que les armoiries de Jacques de Guengat et Jeanne de Talhouët dame de Langueouez, qui se sont mariés en 1529.
https://bibliotheque.diocese-quimper.fr/items/show/10332
http://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/fontaine-de-devotion-saint-yvi-pont-kervern-guengat/c2a5317b-085f-4b85-acd2-edf4864af9f3
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Certains y voient le premier patron de la paroisse. J. Gaultier du Mottay, en 1869, signale qu'il existait une chapelle qui était dédiée à saint Yvi. Ce serait une "chapelle" votive de l'intérieur de l'église. Le co-patronage Fiacre/Divy expliquerait qu'en 2011, nous trouvions dans les niches du chœur à gauche (côte de l'Evangile, côté noble) saint Fiacre, et du côté de l'épître à droite saint Divy, en évêque comme sur la bannière. Sa statue a été mise au rebut (dans un coin de la chapelle du Rosaire) et remplacée par celle de Jean-Baptiste.
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La bannière de velours rouge porte le monogramme SD sur le lambrequin central, brodé al d'or parmi des rinceaux.
Une inscription en breton indique SANT DIVY PEDIT EVIDOMP, "Saint Divy priez pour nous".
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J'ai dans mes archives une photo plus ancienne (15-11-2011) d'une bannière assez proche.
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LA BANNIÈRE DES JEUNES FILLES. LA VIERGE (IMMACULEE CONCEPTION ?).
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Drap blanc, rinceaux, personnage traité comme le saint Fiacre de la bannière.
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SOURCES ET LIENS.
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— ABGRALL (Jean-Marie), 1911, Notice sur la paroisse de Guengat, Bulletin diocésain d'histoire et d'archéologie, BDHA, Quimper
https://bibliotheque.diocese-quimper.fr/items/show/344
— ABGRALL (Jean-Marie), 1914, excursion à Guengat,la croix processionnelle, Bull. SAF page 236.
https://societe-archeologique.du-finistere.org/bulletin_article/saf1914_0283_0309.html
— CASTEL (Yves-Pascal), 1982, Pèlerinage aux sources. Fontaines à Guengat, Courrier du Léon du 4 septembre 1982.
“0114 Pèlerinages aux Sources - Fontaines à Guengat. 4.09.82.,” Collections numérisées – Diocèse de Quimper et Léon, consulté le 23 janvier 2022, https://bibliotheque.diocese-quimper.fr/items/show/1594.
— COUFFON (René), LE BARS (Alfred), 1988, Notice sur les paroisses,...
https://www.diocese-quimper.fr/wp-content/uploads/2021/01/GUENGAT.pdf
— DILASSER (Maurice), 1979 : Locronan et sa région (Paris, 1979)
—DIVERRÈS (Henri), 1891, "Monographie de la commune de Guengat ", Bull. S. A. F., pages 42-61).
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k207615d/f115.image
— GUILLOU-HERMELIN (Christiane) 2016, « Les bannières de Basse-Bretagne, ed. Les amis de Louis Le Guennec.
— GUILLOU (Christiane) 2010," Les bannières religieuses en Basse-Bretagne aux XIXe et XXe siècles : Les ”vieilles” bannières." 2010. ffhal-00546728v2f
https://hal.univ-brest.fr/hal-00546728/document
— GUILLOU (Christiane) 2013," Les bannières religieuses : une approche du catholicisme bas-breton 1805-2012."
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01231402/file/These-2013-SHS-Histoire-GUILLOU_Christiane.pdf
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01231402
http://www.theses.fr/2013BRES0070
— JOUIN (Christian), s.d, Tout sur l'histoire de Guengat.
https://www.guengat.com/
http://www.guengat.com/8/eglise05.html.
— KERANGUÉVEN (Jean), 1856, “Enquête diocésaine sur le culte marial en 1856 : réponse de la paroisse de Guengat,”, Abbé Jean Keranguéven, recteur de Guengat, Collections numérisées – Diocèse de Quimper et Léon, consulté le 23 janvier 2022, https://bibliotheque.diocese-quimper.fr/items/show/10332.
https://bibliotheque.diocese-quimper.fr/items/show/10332
” Collections numérisées – Diocèse de Quimper et Léon, consulté le 23 janvier 2022, https://bibliotheque.diocese-quimper.fr/items/show/10332.
— LE GUENNEC, Note sur quelques orfèvres bas-bretons, Bull. SAF 1928 p. 82
https://societe-archeologique.du-finistere.org/bulletin_article/saf1928_0143_0155.html
—PÉRENNÈS (Henri), 1941 : Guengat (Rennes) non consulté
— POP.CULTURE
https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/PM29004858
— WAQUET (Henry ), 1957, Guengat (S.F.A. - Congrès archéologique de France CXVe session 1957 Cornouaille.) -
— WAQUET (Henry ), 1942, Art breton, 2è éd., 1942, pp.145-151
— Site Infobretagne : http://www.infobretagne.com/guengat.htm
http://www.guengat.fr/patrimoine/leglise
— WIKILAND
https://www.wikiwand.com/fr/Guengat