Saint-Ségal : le calvaire du bourg (vers 1550 et 1630, kersanton, atelier Prigent et Roland Doré).
.
Sur le patrimoine de Saint-Ségal, voir aussi :
.
-
Iconographie des saints Côme et Damien : la chapelle Saint-Sébastien de Saint-Ségal.
-
La chapelle Saint-Sébastien en Saint-Ségal : le retable du chœur (vers 1710).
-
La chapelle Saint-Sébastien : la cloche de 1902, et celle de 1599.
-
La chapelle Saint-Sébastien en Saint-Ségal : Les sculptures du clocher (vers 1694).
-
La chapelle Saint-Sébastien en Saint-Ségal : l'entrée monumentale (vers 1541-1567).
-
Saint-Ségal : le calvaire du bourg (vers 1550 et 1630, atelier Prigent et Roland Doré)
.
.
PRÉSENTATION.
.
La commune de Saint-Ségal, paroisse réunie à celle de Pleyben jusqu'au XVIIe siècle, et qui n'a perdu que tardivement son territoire de Port-Launay (en 1840) et de Pont-de-Buis (en 1949), compte quatre croix et trois calvaires. Parmi ces derniers, le calvaire de la chapelle Saint-Sébastien a été décrit dans l'article précédent, avec sa datation vers 1541-1554 et ses caractéristiques (bandeau occipital, trois larmes des Éplorés, visage) évoquant l'atelier des Prigent.
Le bourg possède deux calvaires, dont le principal, devant l'église du XIXe siècle, en est séparé par un carrefour.
Désigné dans l'Atlas des croix et calvaires du Finistère comme Saint-Ségal n°2814 bourg n°1, il occupe un territoire étriqué et remanié, presque adossé à un mur , son emmarchement débordant sur le trottoir. Il n'est sans doute plus exactement orienté, et le crucifix normalement tourné vers l'ouest s'oriente plutôt au nord-ouest, face au carrefour.
Les cartes montrent qu'il est proche du cimetière, dont il est séparé par un jardin privé.
Le nœud routier est ancien et figure sur les cartes de 1820-1866, les routes se dirigeant au nord vers Pont-de-Buis, Lopérec, ou Port-Launay et Châteaulin au sud, se modelant sur le réseau hydrographique des rivières se jetant dans l'Aulne. L'étude du cadastre et des archives préciserait sans doute l'emplacement initial de ce qui est aujourd'hui une marque de carrefour.
On appréciera mieux cette fonction si on considère que le croisement routier n'est pas imposé par la modernisation, mais remonte à l'époque où se dressait sur le haut-bourg un oppidum romain relié à des voies militaires. Ou à celle des pèlerinages de St Jacques du VIIe au XIIe siècle, ou des axes Le Faou-Pleyben et Châteaulin-Carhaix, etc:
http://www.mairie-saintsegal.fr/historique-du-bourg.htm
Voir les cartes :
.
DESCRIPTION.
C'est un calvaire composite, associant, sans beaucoup d'unité, les œuvres de plusieurs sculpteurs, avec en haut les statues géminées du croisillon (Sébastien-Vierge, Pierre-Jean) et un saint-François agenouillé derrière le crucifix du XIXe, et, plus bas, un Christ au lien, (tout cela vers 1550) avec deux statues de Roland Doré (vers 1630) de la Vierge et de Jean, puis encore sur le socle cubique une statue en haut-relief de saint Yves, et, enfin autour du socle une Marie-Madeleine agenouillée à droite, et une Déploration à gauche.
L'ensemble, en kersantite, avec sa succession d'emmargement, de socle, de fût hexagonal puis cylindrique, et sa croix fleuronnée, atteint 7,80 m.
.
Pourtant, il faudra surmonter ce manque de cohérence, et l'envahissement par les lichens camouflant les traits des visages, et enfin l'impossibilité d'accéder à la face sud-est, pour découvrir les œuvres remarquables des meilleurs ateliers de sculpture sur pierre de kersanton, et, surtout peut-être, de les situer dans un réseau de correspondance avec des œuvres analogues.
Castel attribue les statues du XVIe au Maître de Saint-Thégonnec (comme le calvaire de Saint-Sébastien), pourtant, il date ces statues de 1550 alors que le calvaire de Saint-Thégonnec date de 1610.
.
.
.
.
SAINT YVES ET LE GESTE D'ÉNUMÉRATION DES ARGUMENTS.
.
Kersanton, vers 1550.
a) La statue est sculptée en demi-relief dans le socle cubique. Ce procédé est employé à la même époque sur le calvaire de Saint-Sébastien pour le soldat endormi de la Résurrection, mais il est également fréquent entre Aulne et Elorn comme à Dinéault, Argol, Plomodiern, Châteaulin, Roscanvel etc. Voir la répartition de cet usage ici :
.
b) Le saint est représenté coiffé de la barrette de docteur , qu'il porte au dessus du capuchon qui protège aussi ses épaules. Il est vêtu de la cotte "talaire" (qui recouvre ses talons) et du surcot à plis tubulaires. Les manches sont nettement élargies.
Voir CASTEL, Saint Yves et sa statues.
https://books.openedition.org/pur/22411?lang=fr
c) Il tient deux accessoires : le livre de droit (son Livre des Décrets) — ou les pièces du procès —, dans son étui suspendu au poignet, et un rouleau de parchemin en diagonale dans le creux de sa main gauche.
.
.
.
.
d) Le plus intéressant pour moi est d'y trouver, clairement figuré, le geste de plaidoirie : d'une part car c'est un document attestant du statut emblématique de ce geste professionnel, d'autre part par les liens qu'il entraîne vers d'autres sculptures du saint.
.
.
.
COMPARAISON.
En premier lieu, c'est sur l'arc de triomphe (vers 1541-1554) de la chapelle Saint-Sébastien que se trouve une sculpture en kersanton très proche de celle-ci, avec le mêmes accessoires, la même tenue et le même geste.
.
.
Ensuite (ou auparavant ?), c'est sur le calvaire de Pencran que le saint, de visage différent, montre le même geste. Il y est mieux observable, la pulpe de l'index droit placée sur celle du pouce gauche, comme pour énoncer le "premièrement".
N.B : les statues (1553-1555) et le porche (1553) de Pencran sont attribués aux frères Prigent .
.
.
.
.
À Plougonven, le calvaire des frères Prigent (1554) comporte un saint Yves entre les plaideurs, mais sans ce geste.
.
.
.
Enfin on ne trouve pas ce geste sur le calvaire (1610) de Saint-Thégonnec :
.
.
.
.
.
MARIE-MADELEINE AGENOUILLÉE AU PIED DE LA CROIX.
.
Elle est prosternée au pied de la croix, à genoux, bras écartés, visage tourné vers le Christ du crucifix. Le pot d'aromates ou de parfum qui est son attribut est posé près de son genou droit. .
Trois larmes s'écoulent de chacun de ses yeux.
Elle porte un manteau, au dessus d' une robe à décolleté carré, serrées par une ceinture d'étoffe nouée , puis une chemise au ras du cou.
Ses cheveux tombent en nattes devant ses épaules et sa poitrine, mais ils sont retenus par ce bandeau occipital si caractéristique par sa façon de passer derrière la nuque et autour des cheveux comme un chouchou.
On peut penser que les bras écartés enserraient la croix (du moins, une croix), comme c'est encore le cas ailleurs.
.
.
.
Elle est proche de la Marie-Madeleine agenouillée au pied du calvaire de la chapelle Saint-Sébastien (nouveau rapprochement après le cas de saint Yves), qui présente globalement les mêmes caractéristiques (le même bandeau, le même costume) mais avec plusieurs différences pour la ceinture, les manches plissées, le coté où se trouve le pot, la position de la main droite, le visage plus rond, et surtout l'absence des trois larmes.
.
.
Par contre, il n'existe pratiquement pas de différence avec la même Marie-Madeleine de l'église Notre-Dame de Pencran, placée sur un socle sur la pelouse nord, et attribuée par E. Le Seac'h à Bastien Prigent (vers 1553-1555). Le bandeau, la ceinture nouée, les bras ouverts, les trois larmes sont communes aux deux œuvres. Il me paraît donc légitime d'attribuer cette statue de Saint-Ségal à Bastien Prigent.
.
.
Il faut donc rappeler que l'atelier de Henri et Bastien Prigent, installé à Landerneau, a été actif dans la sculpture de la kersantite entre 1527 et 1577, notamment dans la paroisse de Pleyben où il réalisa le calvaire monumental en 1555, mais aussi à Châteaulin, Lothey, Qunéménéven, Plogonnec, Plonévez-Porzay, Saint-Nic, Dinéault, (donc le Pays Porzay et le Pays de l'Aulne), tandis que leur compagnon Fayet réalisa le calvaire de Lopérec.
Une autre Marie-Madeleine agenouillée se trouve au pied du calvaire nord de Pencran. Sa posture est la même, elle porte le bandeau (derrière les cheveux et non derrière la nuque) mais les larmes sont absentes. La robe forme une grande poche à la hauteur de la ceinture.
.
.
.
Une autre Marie-Madeleine se trouve au pied du calvaire du cimetière de l'église de Pencran, avec bandeau, sans les 3 larmes et avec moins de finesse d'exécution.
.
.
.
À la chapelle Sainte-Marie-du-Ménez-Hom de Plomodiern, la sainte est face à la Croix ; elle ne porte pas de bandeau. Sa robe vient former une vaste corolle à l'arrière, comme à Pencran 2.
.
.
.
.
À Lopérec, le compagnon des Prigent, Fayet, a réalisé pour le calvaire une statue identique aux précédentes. Il a doté des 3 larmes de l'atelier la Marie-Madeleine du croisillon.
.
Revenons à notre calvaire :
.
.
La Déploration à quatre personnages.
.
.
.
On comparera d'abord avec la Déploration du calvaire de la chapelle Saint-Sébastien :
Sur les Déplorations du Finistère :
-
La Déploration à six personnages (chêne polychrome, XVIe siècle) de l'église de Lampaul-Guimiliau.
-
Les sculptures de l'église de Bodilis : le retable de la Déploration. Neuf personnages.
-
Le retable de la Déploration (1517) de l'église de Pencran (29). Onze personnages.
-
L'église Saint-Nicaise à Saint-Nic III. La Déploration en kersanton polychrome par les frères Prigent (1527-1577). Cinq personnages. Les 3 larmes
-
Ploéven II. L'église de Ploéven, la Déploration (pierre polychrome, 1547 ). Les 3 larmes.
-
La Déploration (pierre polychrome, vers 1520) de la chapelle du Pénity à Locronan. (à paraître)
-
La Déploration de la chapelle de Quillinen à Landrévarzec. (à paraître)
-
La Déploration à 6 personnages de Plourin par les Prigent Les 3 larmes.
Sur les Pietà (Marie et le Christ):
- Le calvaire de l'église de Dinéault. Pietà par Bastien Prigent. Les 3 larmes.
- Ploéven IV. Les Pietà de l'église : celle du calvaire et celle du porche. Le Christ mort assis au sol, jambes à l'équerre.
Jean, Marie et Marie-Madeleine sont serrés debout, l'un à coté de l'autre, devant le corps du Christ qui s'adosse sur le genou fléchi de Jean. La ligne diagonale du cadavre est brisée par la posture de la tête, en extension, et d'avantage par les jambes qui sont croisées. Le bras droit pend et expose la plaie de la paume, le bras gauche est posé sur la hanche.
Jean, à peine penché, place la main gauche sur sa poitrine, tandis qu'il soutient de l'autre main la tête du Christ. Il est vêtu d'une cape et d'une robe.
Marie, voilée dans son manteau, joint les mains.
Marie-Madeleine, qui tient des deux mains le flacon d'onguent aux flancs cannelés, brille par son élégance, avec ses manches ballons doubles ou triples au dessus d'une robe dont les poignets s'ornent de dentelle en accordéon. La chemise se ferme sous le cou par un col en V. On retrouve ici le bandeau occipital placé exactement de la même façon que sur Marie-Madeleine agenouillée au Calvaire., et les deux statues sont très proches, malgré l'absence ici des trois larmes.
.
.
.
.
Marie-Madeleine.
.
.
.
La Vierge.
.
.
.
Saint Jean.
.
.
.
Le Christ.
.
.
.
LE CHRIST AUX LIENS.
.
Là encore, les éléments de comparaisons partent en réseau soit dans le périmètre de l'ancienne paroisse de Pleyben — à commencer par la chapelle Saint-Sébastien—, soit sur les calvaires contemporains à celui-ci.
http://www.lavieb-aile.com/2019/07/la-chapelle-saint-sebastien-en-saint-segal-le-calvaire.html
Le Christ tient le roseau, la couronne d'épines et le manteau écarlate qui se moquent de sa prétention à la royauté pour les soldats qui ne comprennent pas que "son royaume n'est pas de ce monde".
.
.
.
.
LES STATUES GÉMINÉES : SÉBASTIEN/VIERGE.
Les statues géminées ont été mal orientées lors de leur remontage, puisqu'il est de règle que la Vierge et saint Jean entourent le Crucifié et soient donc tournés vers l'occident.
La prolifération des lichens en rend l'examen ingrat. D'autre part, la Vierge et Jean ne sont visibles que depuis la haie du pied du mur, sans recul.
.
1. Saint Sébastien.
.
.
.
2. La Vierge.
Mains jointes, tête baissée recouverte du voile.
.
.
.
LES STATUES GÉMINÉES : PIERRE : JEAN.
.
1. Saint Pierre.
.
.
.
2. Saint Jean.
.
Main droite sur la poitrine, un livre tenu du coté gauche. Robe serrée par une ceinture à boucle.
.
.
.
Saint François recevant les stigmates.
.
Saint François est également présent sur l'arc de triomphe de la chapelle Saint-Sébastien.
.
.
.
LES STATUES DE KERSANTON PAR ROLAND DORÉ (1618-1663; pour Castel vers 1630).
.
Yves-Pascal Castel attribue en 1980 à Roland Doré trois statues, celles de Marie, de Jean et de Marie-Madeleine. Emmanuelle Le Seac'h reprend cela pour sa thèse et son catalogue raisonné de 2014 (page 351).
C'est étonnant, car si on reconnait immédiatement le style de Roland Doré dans les statues de Jean et Marie, il est évident que la Marie-Madeleine agenouillée ne peut venir de cet atelier. Ces auteurs parlent-ils d'une autre statue de Marie-Madeleine (qui aurait disparu), tout en passant sous silence la première ? C'est peu probable.
C'est d'autant plus étonnant que c'est E. Le Seac'h qui a attribué la Marie-Madeleine de Pencran (jumelle de celle de Saint-Ségal) à Bastien Prigent.
La Vierge et Jean rappellent le couple de statues habituellement placés sur un croisillon dans les 15 calvaires intacts de Roland Doré, de part et d'autre du Crucifix . Mais ici, les statues ne sont pas géminées.
.
Sur Roland Doré :
- Le calvaire de l'église de Saint-Nic.
- Les calvaires de Dirinon II. Le calvaire de la Croix-Rouge ou Beg-ar-Groaz (vers 1640).
-
Les sculptures de l'église de Bodilis : les Fonts baptismaux.
-
Le gisant de Jacques Barbier au Musée du Léon de Lesneven. (avec les liens d'autres références)
-
Le gisant d'Yves Bervet, sieur du Parc au Musée départemental breton de Quimper.
Dans un périmètre proche de Saint-Ségal, Roland Doré a réalisé ses œuvres à Pleyben, Port-Launay, Châteaulin, Dinéault, Cast, et à peine plus loin en Pays de Porzay à Plomodiern, Ploéven, Plonévez-Porzay, Saint-Nic, Locronan, Plogonnec.
Ce virtuose de la taille du kersanton, qui a repris vers 1621 l'atelier du Maître de Plougastel établi à Landerneau, est célèbre par la grande maîtrise technique d'un style délié et fin qui se reconnaît immédiatement. Même sur Jean et Marie éplorés au pied du calvaire, les visages sont avenants, animés d'un léger sourire entre les coins des lèvres soulignés par un sillon, les joues sont rondes, le regard est vivifié par des pupilles creusées. On reconnaît aussi un drapé qui tombe verticalement en plis de serviette.
.
.
1. La Vierge.
.
Mains jointes, elle est voilée et enveloppée dans son manteau dont les deux pans s'ouvrent en un étroit couloir central.
.
.
.
.
Saint Jean.
.
On peut distinguer plusieurs types de Jean au Calvaire par Roland Doré, selon la position des bras, et selon la coiffure. Celui-ci a les deux bras croisés sur la poitrine, main droite au dessus, les plis du manteau sont verticaux et symétriques, et les cheveux qui forment un triangle comme une perruque sont bouclés.
.
.
.
.
.
CONCLUSIONS.
.
Comme on le voit, dans ce calvaire composite, des correspondances multiples s'établissent, fondées soit un un thème iconographique, soit sur un détail (geste de saint Yves, bandeau, 3 larmes), soit sur la reconnaissance du style d'un sculpteur.
La correspondance la plus étroite est sans doute celle qui rapproche ce calvaire et celui de la chapelle Saint-Sébastien, suggérant qu'ils ont été édifiés à la même époque.
J'ai favorisé les rapprochements avec le calvaire et la statuaire de Pencran, et d'autre part avec les œuvres sculptés par Henri et Bastien Prigen, ou leur compagnon Fayet. Mais l'analyse des styles et des thèmes des sculpteurs de Basse-Bretagne, et notamment des pays de l'Aulne et du Porzay, est inépuisable. L'essentiel était de montrer combien ces trésors patrimoniaux, si accessibles, réservaient de satisfaction aux amateurs.
.
SOURCES ET LIENS.
— Le beau site de la mairie :
http://www.mairie-saintsegal.fr/lieux-et-monuments.htm
— CASTEL (Yves-Pascal), 1980, Atlas des Croix et Calvaires du Finistère, article.
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/ed6c2bc160f40c8aa6e03dc9f0bdccb1.jpg
— CASTEL (Yves-Pascal), 1980, Atlas des Croix et Calvaires du Finistère, SAF.
http://croix.du-finistere.org/
http://croix.du-finistere.org/commune/saint_segal.html
— CASTEL (Yves-Pascal), 1983, La floraison des croix et calvaires dans le Léon sous l'influence de Mgr Roland de Neufville (1562-1613), Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest Année 1983 90-2 pp. 311-319
https://www.persee.fr/doc/abpo_0399-0826_1983_num_90_2_3130
— CASTEL (Yves-Pascal), 1985, Roland Doré, sculpteur du roi en Bretagne et architecte (première moitié du XVIIè siècle) , Bulletin de la Société archéologique du Finistère, Pages 97 à 156.
— CASTEL (Yves-Pascal), 1996, Du nouveau sur Roland Doré
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/52e804fd7d01573ff17156ea10bcef19.jpg
— CASTEL (Yves-Pascal), 2005, Guide des sept grands calvaires bretons, Minihy-Levenez
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/f0824151eb305fc701d19c07bec6270b.pdf
— COUFFON, René, LE BARS, Alfred. Diocèse de Quimper et de Léon. Nouveau répertoire des églises et chapelles. Quimper : Association Diocésaine, 1988. p. 418-419
http://diocese-quimper.fr/bibliotheque/files/original/0ffd39bdf24d89d00ff35b034d2685b0.pdf
— COUFFON, René, 1961, L'évolution de la statuaire en Bretagne après la guerre de succession du Duché - In: Mémoires. Société d'Emulation des Côtes-du-Nord vol. 97 (1961) p. 1-16
— DANIEL, (Françoise), 1988, Roland Doré et les enclos paroissiaux : [exposition, Morlaix, Musée des Jacobins, juillet 1988] / [exposition conçue et réalisée par Françoise Daniel] Jacobins, juillet 1988] 1 vol. (56 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm
— INVENTAIRE GENERAL Région Bretagne (Service de l'Inventaire du patrimoine culturel), enquête 2009.
http://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/chapelle-saint-sebastien-saint-sebastien-saint-segal/3161081b-4d98-4287-a98a-4abeed58a9dc
— LE SEAC'H (Emmanuelle), 2014, Sculpteurs sur pierre en Basse-Bretagne. Les ateliers du XVe au XVIe siècle. Presses Universitaires de Rennes.
http://www.pur-editions.fr/couvertures/1409573610_doc.pdf
.