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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 18:37
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9 novembre 2014 7 09 /11 /novembre /2014 15:07
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9 novembre 2014 7 09 /11 /novembre /2014 00:06
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8 novembre 2014 6 08 /11 /novembre /2014 15:09

Zoonymie du nom de genre des Zygènes, Zygaena Fabricius.

 

La zoonymie (du grec ζῷον, zôon, animal et ónoma, ὄνομα, nom) est la science diachronique  qui étudie les noms d'animaux, ou zoonymes. Elle se propose de rechercher leur signification, leur étymologie, leur évolution et leur impact sur les sociétés (biohistoire). Avec l'anthroponymie (étude des noms de personnes), et la toponymie (étude des noms de lieux) elle appartient à l'onomastique (étude des noms propres).

 

Elle se distingue donc de la simple étymologie, recherche du « vrai sens », de l'origine formelle et sémantique d'une unité lexicale du nom.

 

Résumé. 

 

— Zygaena, Fabricius, 1775. Du grec zugon "joug" et par extension "balance", en raison de l'aspect des antennes de l'espèce-type Z. filipendulae en équilibre sur la tête comme deux balanciers. La même image (d'arbalète, de niveau de maçon ou de trébuchet) avait fait nommer du même nom dès 1555 le Requin-marteau Sphyrna zygaena, aussi surnommé "Libella" (petite balance) ou "Pesce Balestra" (Poisson-arbalète).

 

1. Rappel taxonomique (Dupont & al. 2013) des espèces françaises.

          

 

1°) Famille des Zygaenidae Latreille, 1809.

 

  • Sous-famille des Procridinae Boisduval, [1828]
  • Sous-famille des Chalcosiinae Walker, 1864 
  • Sous-famille des Zygaeninae Latreille, 1809

2°) Sous-famille des Zygaeninae Latreille, 1809

3°) Tribu des Aglaopini Alberti, 1954

  •  Genre Aglaope Latreille, 1809 
  • Genre Zygaena Fabricius, 1775 

 

 

 

2. Nom de genre : Zygaena Fabricius, 1775.

 

a) Description originale : 

 

— Zygaena Fabricius, 1775; Systema entomologiae : sistens insectorvm classes, ordines, genera, species, adiectis synonymis, locis, descriptionibvs, observationibvs / Io. Christ. Fabricii. Flensbvrgi et Lipsiae :In Officina Libraria Kortii,1775 page  550 

 Description :

Palpi reflexi Lingua exserta setacea Antennae saepius medio crassiores.

"Palpes repliées. Langue déroulée (exsertare linguam = tirer la langue) fine comme un cheveu (setacea). Antennes bien souvent plus épaisses au milieu"

28 espèces décrites. La première espèce décrite est Z. filipendulae.

Description reprise en 1781 avec 53 espèces (Species insectorum, exhibentes eorum differentias page 157, puis en 1807 avec 17 espèces seulement et une nouvelle description :

 

— 1807  "Nach Fabricii systema glossatorum" in Johann Karl Wilhelm Illiger, "Die Neueste Gattungs-Eintheilung der Schmetterlinge [...], Magazin für Insektenkunde , Braunschweig [Brunswick] (6)  page 289 :

Taster zweigliedrig ; zweites glied länger, auswërks stark behaart. Fühler in der mitte dicker. Zygaena filipendulae, scabiosae, quercus. 17 Art.

Parmi les 3 espèces citées ici , les deux premières (filipendulae et scabiosae) sont encore du genre Zygaena ce sont Z. filipendulae et Z. purpuralis Brünnich,1763, la troisième (quercus) appartient aux Arctidae : Amata phegea (ex Sphinx phegea Linnaeus,1758).

— Type spécifique: Sphinx filipendulae Linnaeus

— Ce genre renferme 3 sous-genres en France :

  • -Sous-genre Mesembrynus Hübner, [1819]
  • -Sous-genre Agrumenia Hübner, [1819] 
  • -Sous-genre Zygaena Fabricius, 1775  

 

 Origine et signification du nom 

—A. Maitland Emmet (1991) page 52  : 

Grec zugaina, the hammer-headed shark. Linnaeus divided Sphinx into four sections, listed under Sesia, q.v.  Zygaena was Fabricius'name for the fourth section, a family rather than a genus, embracing a large number of diversified species (72 are listed by Fabricius 1793). The first of them happened to be filipendulae and this accident may be the reason why, when the scope of Zygaena was reduced to that a genus, the name became associated with the burnets. It has puzzled authors and emendations have been proposed. Macleod was in part right when he derived it from zugon a yoke, but was wrong when he continued "perhaps from appareance of antennae with thick bent-over ends", because Fabricius did not erect the name to describe the burnets. He wanted a Greek word collateral with Sphinx and perhaps as enigmatic which hinted at the idea of adscitus or linkage and punningly chose Zygaena ; it has no direct application to the genus as now constituted.

Grec zugaina, le requin marteau à tête. Linné a divisé les Sphinx en quatre sections , cités sous Sesia, q.v. [quod vide = voir ce nom] Zygaena était le nom de Fabricius pour la quatrième section, une famille plutôt qu'un genre, embrassant un grand nombre d'espèces diversifiées (72 sont répertoriés par Fabricius 1793). Le premier d'entre eux est arrivé à filipendulae et cet accident peut être la raison pour laquelle, lorsque la portée de Zygaena a été réduit à celle d'un genre, le nom est devenu associé avec les "Burnets" (Zygènes). Ce nom a intrigué les auteurs et des corrections ont été proposées. Macleod avait en partie raison quand il faisait dériver ce nom du grec  zugon "un joug" mais avait tort en écrivant ensuite  "peut-être en raison de l'apparence des antennes aux épaisses extrémités repliées", parce que Fabricius n'a pas ériger le nom pour décrire les Zygènes. Il voulait un mot grec associé  avec celui de Sphinx et peut-être aussi de façon énigmatique par allusion à l'idée d' adscitus* ou accouplement et par plaisanterie a-t-il choisi Zygaena; il n'a pas d'application directe au genre dans sa composition actuelle.

 

*ascitus (adscitus) = tiré de loin, emprunté à (Gaffiot) : adopté, enrolé.


Discussion.

Comme Emmet nous y invite, il faut d'abord consulter, dans son ouvrage, le nom Sesia (Emmet, 1991 : 66). Linné avait dévisé dans le Systema Naturae de 1758 les Sphinx en quatre sections :

1. Legitimae alis angulatis,  Sphinx proprement dit aux ailes anguleuses.

2. Legitimae alis integris,  Sphinx proprement dit aux ailes "entières" : 

3. Legitimae alis integris, ano barbaro : Sphinx proprement dit aux ailes entières, mais avec une touffe anale. Ce groupe formera les Sesia de Fabricius.

4. Adscitae habitu & larva diversae : espèces adjointes [ajoutées], différentes par leur chenille et par leur apparence. C'est pour ce dernier groupe que Fabricius crée le genre Zygaena
 

On comprend donc bien son raisonnement : Fabricius n'a pas en tête, en prenant le nom Zygaena qui désignait alors, en zoologie, le requin-marteau, les Zygènes telles que nous les connaissons, mais tout un ensemble d'espèces très différentes, et c'est un contre-sens d'interprèter ce nom en pensant aux caractéristiques des Zygènes et notamment, comme le fait Macleod, à la forme de leurs antennes. Certes, Zygaena dérive bien du grec zugon, le joug, mais c'est un jeu de mots de Fabricius parce qu'il accouple son nouveau nom à celui de Sphinx (comme le joug accouplant les bœufs), tout en traduisant l'adjectif de Linné "adscitae", enrôlé. 

  Il se trouve que, tout au long de son ouvrage, Emmet a un problème avec les noms de genre créés par Fabricius qu'il considère comme un joyeux farceur dissimulant des mots d'esprits derrière des noms difficile à déchiffrer autrement. Or, dans de nombreux cas, des données qui ont échappé à Emmet permettent une interprétation simple des noms génériques, sans nécéssité de suspecter Fabricius de calembours. 

Son argument est que Fabricius n'a pas en tête la Zygène de la filipendule en créant son nom, et que ce n'est que par accident que cette espèce vient en tête d'une liste qui réunira jusqu'à 72 espèces très différentes. Pourtant, cet argument est discutable. Z. filipendula est en tête des 28 espèces décrites en 1775, des 53 espèces décrites en 1781, des 72 espèces de 1793, mais aussi elle est la première des trois espèces citées en 1807. C'est véritablement, et non par "accident", l'espèce-type. 

D'autre-part, Linné ne décrit pages 494-495 du Systema Naturae de 1758 dans sa sous-catégorie des adscitae habitu & larva diversae que sept espèces au total : filipendulae en premier, puis phegea , creusa, polymena, cassandra, pectinicornis et statices.  Parmi ces sept espèces, nous avons trois de nos Zygaenidae : outre filipendulae,  pectinicornis (espèce-type du genre Chalcosia) ; statices (adscita statices), les autres étant des Arctiidae (Amata phegea ; Euchromia creusa ; Euchromia polymena ; Saurita cassandra).

Le Sphinx filipendulae de Linné ou Zygaena filipendulae de Fabricius n'étant nullement perdu de manière indistincte parmi tant d'autres, mais tenant la première place de façon constante, on ne peut pas dire avec Emmet qu'elle se trouve sur la liste de ce genre "accidentellement" et qu'elle n'est pas emblématique du genre : aussi sa description mérite-t-elle d'être soigneusemnt considérée afin de rechercher si un indice pourrait éclairer le choix du nom Zygaena.

Si on s'en tient au texte des descriptions de Linné, on ne trouve aucune allusion directe ou indirecte au mot zugon "joug", et aucune comparaison entre cette espèce et le requin-marteau. La morphologie des antennes n'est pas soulignée par Linné (ou par Fabricius) comme évocatrice de comparaison allant dans ce sens.


Le "Sphinx filipendulae" a été décrit par Linné dans sa Fauna suecica dès 1746 page 250 n°814 sous le nom "vulgo" de LEOPARDUS qui reprend le nom de Leopardus sylvestris ou Wood Leopard attribué par Albin dans A natural history of English insects tableau 82 [page 177]. Ce nom est bien-sûr inspiré par la couleur des ailes "dark green spotted with red". Mais l'espèce avait été décrite d'abord par Thomas Muffet (1634), puis par Merian (1683), , Jonston, Goedart (1685), Lister (1685),  Petiver (1699), Ray (1710) et enfin par Réaumur (1734-1748).

En réalité, le nom de "Léopard" se trouve déjà chez Petiver (Musei page 36 n°30) sous la forme MOFFET'S GREEN LEOPARD WITH 5 SCARLET SPOT 

A moins de créer un lien entre le Léopard et le Requin-marteau comme deux exemples de bêtes terrifiantes, ces noms n'ont pas pu inspirer à Fabricius son choix.

Avant de poursuivre, consultons la liste des noms de genre créés par Fabricius en 1775 :Papilio, Hesperia, Sphinx, Sesia, Zygaena, Bombyx, Cossus, Hepialus, Noctua, Hyblaea, Phalaena, Pÿralis, Tinea, Alucita, Pterophorus. Beaucoup sont la reprise de noms qu'il n'a pas créé, et le NHM ne lui impute la création de trois noms : Sesia, Zygaena et Hepialus. Sesia vient d'un mot grec -sees- signifiant "chenille, papillon de nuit", et Hepialus vient du grec hepialos, "fièvre", pour qualifier le vol fébrile propre à ce genre. Cela ne nous éclaire pas sur la signification de Zygaena, mais souligne que Fabricius construit ces noms à partir de mots grecs.

Pour Cuvier (Dict. Sciences Nat.)p. 619, Fabricius avait "pris ce nom au hasard". Vraiment ?

Explorons maintenant deux pistes successives. Quel est le sens de Zygaena en Zoologie avant que Fabricius ne l'utilise en nom générique de Lépidoptère. Quel est la signification de la racine grecque zugon.

 


        Zygaena en Zoologie avant Fabricius : le Requin.  

Avant 1775, le mot Zygaena n'avait qu'une seule signification et désignait le requin-marteau. Linné l'avait désigné ainsi, et c'est encore aujourd'hui son nom d'espèce : Sphyrna zygaena Linnaeus, 1758. Sa description originale du Systema Naturae dans les Amphibianantes Squalus page 234  n°5 reprend en fait un nom utilisé, selon les références de Linné,  par :

  • Pierre Bellon, pisces:60 :  L'histoire naturelle des estranges poissons marins, avec la vraie peincture et description du daulphin, et de plusieurs autres de son espèce, 1551, La Nature et diversité des poissons, avec leurs pourtraicts représentez au plus près du naturel, 1555
  • Rondelet, pisces:389 : I, livret 13 : 1558, L'Histoire entière des poissons
  • Conrad Gessner, pisces: 1050
  • Canosa Salviani pisces:128 (tab.40)
  • Francis Willughby, 1687 icht :55 (de historia piscium. Tableau B1). Illustration copiée de Salviani
  • John Ray, pisces:20  n°7

 

Voir Lacépède :

 

1)  Bellon 1555 La Nature et diversité des poissons, avec leurs pourtraicts 

Bellon le nomme  Cagnole, Juif, Baratelle, Arbalestre, Zigena, Libella.

 http://www.museum.nantes.fr/pages/06-actumuseum/expo-illustrations/belon_v1/index1.html

Zygena-Pierre-Bellon-page-54.png

 


2) Rondelet 1558 . Du Marteau, ou poisson Juif. 

a) édition latine 1554: Gulielmi Rondeletii doctoris medici et medicinae …, Libri de piscibus marinis in quibus verae piscium effigies expressae sunt. Lugduni apud Matthiam Bonhomme, 

b) édition française 1558  :La Première [seconde] partie de l'Histoire entière des poissons, composée premièrement en latin par maistre Guillaume Rondelet,... maintenant traduites ["sic"] en françois... [par Laurent Joubert.] Avec leurs pourtraits au naïf, M. Bonhomme : Lyon. page 304 Gallica

 

"Zygaina, en latin Libella est nommé ce poisson de la figure qu'il a comme un instrument de masson é charpentiers, appelé en françois niveau, qui est fait d'un bois mis de travers au milieu duquel est dressé un autre, é d'icelui pend une petite chorde avec un plomb au bout. Telle est la figure de ce poisson aiant la teste de travers, le corps posé au milieu d'icelle, ou bien est nommé Ζὐγαινα pour la figure d'une balance ou la figure d'un joug, lequel on lie de travers aux testes de bœufs. Pour ceste mesme façon de teste, d'aucuns en Italie est nommé Balista, d'austres pesce martello car il est fait comme un marteau, à Marseille Peis Iouzio poisson juif de la similitude de l'accoustrement de teste lequel usoient le tems passé les Juifs en Provence, en Hespaigne Peis limo, Limada, Toilandalo." 

page 304 Numérisé par Gallica

 Zygaena-Rondelet-page-304.png

 

 

 3. Conrad Gessner 1558.

        Gessner 1558 Historiæ animalium, livre IIII (qui est de Piscium & aquatilium animantium natura    De Zygaena Chapitre IV page 1255 .

 

 

 Zygaena-Gessner-Livre-IIII-page-1256.png

 

 

  4°)Aldrovandi 1638.

 Ulyssis Aldrovandi 1638 De piscibus libri V, et De cetis lib. unus, Bologne, 1638 Livre III chapitre 43 page 407-409

Insolentis istiusmodi figurae pscem, cum haud pauca habeat cum galeis communia, non incongruem, iis subnectemus. Nomen invenit ab inusitata, ac monstruosa pene dixerim capitis figura, qua zygugos ? Imitatur, quo transversum librile significatur, ex quo lances dependent : item jugum quod ut transversum bovum cervicibus imponitur, ita hoc pisce caput ex transverso situm est : qua de causa alicubi in Italia pesce Balestra, & pesce martello appellatur, quod arcum malleumque itidelm imitetur : unde est quod Gillius hunc piscem veterum Sphyraenam esse, crediderit, quoniam???ra malleus est. Advertendum autem Aprum quoque Romae, pesce Blestra vocari. Theodorus zigainan apud Aristotelem Libellam interpretatur, sed haud appositem imo ignorara nominis libellae proprierate, ut Salvianus arbitratutr, cum sit, inquit, libella fabrile instrumentum ab Italias Arcopendolo vocatum, ad cuius similitudinem ne quaquam iste piscis accedit Etc. ,


 

                   zygaena-aldrovandi-III-chap.43.png

 

                                zygaena-seu-libella-alia--aldrovandi-III-chap.43.png



5°) Samuel Bochart, 1663  Johannes Leusden  Hierozoicon, sive Bipertitum opus de animalibus Sacræ Scripturæ, Londres, Thomas Roycroft, 1663. Chap. VII De Cetis & Cetaceis page 746

Image copiée de Rondelet.


 

 

 Zygaena-Samuel-Bochart-p.-746.png

 

6°) Francis Willughby1687 icht :55 (de historia piscium lib.3. Illustration copiée de Salviani  : The Balance-fish.

7°) Autres auteurs

—John Hill 1752 -An History of animals 1752 page 301 :  The Zygaena, or Ballance-Fish

Aristotle calls it Zygaena; fElian and Oppian, Zygainia 3 the Latin writers, as well antient as modern, have taken Aristotle's name, and called it Zygaena; Ambrosius calls it Zigena; and Gaza and Salvian, Libella. The Italians call it Ciambetta;  

—Erik Pontoppidan - 1755 - 

 

This confirms my former conjecture, namely, that it was this Fish which swallowed up the rophet Jonahr To this tribe also belongs the most surprizing and desormed Fish, called Kors-Haae, the Zygaena, or the Hammer-headed Shark; 

 

8°) Et Aristote alors ?

Aristote ne nomme ce poisson que dans le Livre II chapitre 11, pour dire qu'il avait la vésicule près du foie.

 

Traduction et note Barthélémy de Saint-Hilaire. remacle.org

II,11  11  Τῶν δὲ δεχομένων τὴν θάλατταν καὶ ἐχόντων πλεύμονα δελφὶς οὐκ ἔχει χολήν. Οἱ δ´ ὄρνιθες καὶ οἱ ἰχθύες πάντες ἔχουσι, καὶ τὰ ᾠοτόκα καὶ τετράποδα, καὶ ὡς ἐπίπαν εἰπεῖν ἢ πλείω ἢ ἐλάττω· ἀλλ´ οἱ μὲν πρὸς τῷ ἥπατιτῶν ἰχθύων, οἷον οἵ τε γαλεώδεις καὶ γλάνις καὶ ῥίνη καὶλειόβατος καὶ νάρκη καὶ τῶν μακρῶν ἔγχελυς καὶ βελόνηκαὶ ζύγαινα

 Parmi les animaux qui avalent l'eau de la mer et qui ont un poumon, le dauphin n'a pas de fiel ; mais les oiseaux et les poissons en ont tous, ainsi que les quadrupèdes ovipares; seulement ils en ont, comme on peut croire, en plus ou moins grande quantité. Quelques poissons ont cette vésicule dans le foie, comme les squales ou chiens de mer, le glanis, la rhina, la raie lisse, la torpille, et parmi les poissons allongés, l'anguille, l'aiguille et la zygène*. 

*Note : La zygène, ou Marteau. Il y a une espèce de sélaciens qui porte le nom de Zygœna. Leur téte a une ressemblance grossière avec la forme d'un joug à bœufs ; voir Cuvier, Règne animal, tome II, p. 393. Voir sur tous ces poissons le Catalogue de MM, Aubert et Wimmer, pp. 121 et suiv. — 

En conclusion, du XVIe siècle jusqu'à nos jours, Zygaena désigne en zoologie un squale, le Requin-marteau Sphyrna zygaena , sphyrna venant du grec  σφυρί signifiant "marteau". Les noms vernaculaires mentionnés par les auteurs renseignent sur le sens qui a été donné au mot zygaena : l'origine grecque est reconnue par tous, mais zugon est traduit soit par "joug", une barre de bois transversale qui unit et accouple deux animaux, soit (peut-être secondairement par comparaison des deux plateaux avec les deux bœufs accouplés) "balance". Ce dernier sens est attesté dans la Bible, Apocalypse 6:5.

Ces noms vernaculaires sont :

a) libella : en latin, c'est soit le diminutif de libra (livre, balance") soit libella le niveau de maçon. Dans les deux cas on trouve l'image d'un élément transversal dont les deux moitiés sont équilibrées ou symétriques.

b) Arbalestre ; balista ; balestra : l'image de l'arbalète (arcus ballistra, "arc à lancer") associe celle du joug et celle de la balance. (balista : Latin, du grec βαλλίστρα ballistra formé sur βάλλω ballō,  "lancer" : arbalète).

c) peis martello, poisson-marteau , image évidente de la tête du requin.

d) Juif, Peis Iouzio. : image d'un chapeau Juif en Provence que l'on imagine à deux prolongements latéraux symétriques, comme un bicorne.

e) baratelle ; cagnole: non expliqués;

  

             Le nom Zygaena de Fabricius.

Sachant que Linné et Fabricius, en bons naturalistes érudits, ne pouvaient ignorer les éléments précédents que, pour ma part, je ne fais que découvrir; que, d'autre part, nous avons vu que Fabricius avait fait appel au grec pour ses autres noms de genre, et qu'enfin il était légitime qu'il s'inspire de la Zygène de la filipendule pour baptiser le genre qu'il détachait des Sphinx de Linné, on peut raisonnablement penser qu'il a construit ce nom sur la racine grecque zugon, "joug, balance" pour décrire, comme ces prédécesseurs l'avaient fait pour le requin, la tête des zygènes avec leurs deux antennes volumineuses disposées comme deux plateaux en équilibre. L'explication restait insatisfaisante si on se contentait de la seule image du joug. En outre, les images données par Guillaume Rondelet d'un niveau de maçon en équilibre (comme un instrument de masson é charpentiers, appelé en françois niveau, qui est fait d'un bois mis de travers au milieu duquel est dressé un autre, é d'icelui pend une petite chorde avec un plomb au bout.)... ajoute un niveau supplémentaire de poésie et d'évocation au nom de ces papillons, image qui ne manquera plus de surgir lorsque je prononcerais ces noms charmants de Zygène de la Filipendule, Zygène du Panicaut-bleu ou Zygène diaphane. 


           DSCN4189

 

En réalité, lorsque nous passons de l'image du joug d'attelage à celle du joug de portage, le joug-fléau elle s'applique très bien à la tête des zygènes. 

 

  

 

 

 

 

             Bibliographie, liens et Sources.

 

 

— Funet : zygaena

 

Zoonymie des Rhopalocères : bibliographie.  

 

 

 

 

 

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Published by jean-yves cordier
7 novembre 2014 5 07 /11 /novembre /2014 18:23
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6 novembre 2014 4 06 /11 /novembre /2014 00:29
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5 novembre 2014 3 05 /11 /novembre /2014 13:36

Zoonymie (origine du nom) du papillon la Grande Tortue, Nymphalis polychloros (Linnaeus, 1758).

 

 

 

La zoonymie (du grec ζῷον, zôon, animal et ónoma, ὄνομα, nom) est la science diachronique  qui étudie les noms d'animaux, ou zoonymes. Elle se propose de rechercher leur signification, leur étymologie, leur évolution et leur impact sur les sociétés (biohistoire). Avec l'anthroponymie (étude des noms de personnes), et la toponymie (étude des noms de lieux) elle appartient à l'onomastique (étude des noms propres).

 

Elle se distingue donc de la simple étymologie, recherche du « vrai sens », de l'origine formelle et sémantique d'une unité lexicale du nom.

 

Résumé. 

— Nymphalis, Kluk, 1780 : reprise comme nom de genre de celui de la quatrième "phalange" parmi les six dans lesquelles Linné a réparti en 1758 ses Papilio ou papillons diurnes. Le savant suédois y organisait cet ensemble comme la société grecque pendant la Guerre de Troie, avec ses Cavaliers, ses Héros, ses Divinités, ses Muses et ses Nymphes, lesquelles peuplaient les bois les monts et les sources. Les Nymphes (du grec ancien νύμφη / númphê, « jeune fille ») regroupaient alors 57 espèces aux ailes dentelées soit ocellées (Nymphalis gemmati "ornées de joyaux" ou sans ocelles (Nymphalis phalerati ou "harnachées"). De ce riche groupe, le genre ne contient plus que trois espèces en France.

 

— polychloros (Linné, 1758)  :   l'épithète attribué par Linné dès sa Fauna suecica de 1746 est emprunté au naturaliste de Bologne Aldrovandi qui l'utilisait en 1602 pour qualifier la variété des couleurs des ailes. Mais l'étymologie du mot donne  "πολύς (polus), "plusieurs" ; χλωρός (khloros), "vert pâle", soit "de plusieurs verts", ce qui n'a guère de sens. Il est très vraisemblable, comme le suggère Emmet en 1991, que le savant qui écrivait en latin ait confondu les deux mots grecs  khloros, et  khroma, et qu'il voulait écrire "polychrome". Linné aurait pu corriger en Papilio polychromos et mieux témoigner ainsi des couleurs fauve, orange  et noir ou des lunules bleu-métal.

— La Grande Tortue, Geoffroy 1762. L' origine du nom se trouve dans le Musei de James Pétiver (1699), lequel crée le nom latin major testudinarius (de testudo, "tortue") et la forme vernaculaire "The Greater Tortoise-shell", terme qui désigne un matériau de luxe, presque acajou,  veiné et nacré, fabriqué avec l'écaille de la tortue marine Eretmochelys imbricata. Sous l'influence de Réaumur qui, en 1734, écrit : "il est l'un de ceux à qui on a donné le nom de tortüe, à cause de la distribution de ses couleurs, qui imite en quelque sorte celles des taches de l'écaille",  Geoffroy abandonne le premier terme du nom Écaille-de-tortue et transforme la désignation d'un superbe matériau ambré très recherché en marqueterie en celle d'un animal lent et terne. Le nom "La Grande Tortue" est repris par Engramelle en 1779, puis par Godart en 1821, et enfin validé par Gérard-Christian Luquet en 1988. 

 

 

 

 

   I. Nom scientifique.

 

1. Famille et sous-famille.

a) Famille des Nymphalidae Rafinesque, 1815.

Cette famille comporte (Je suivrai Dupont & al. (2013) ) 7 sous-familles en France :

  • Sous-famille des Libytheinae Boisduval, Rambur, Dumesnil & Graslin, [1833]
  • Sous-famille des Danainae Boisduval, [1833] 
  • Sous-famille des Limenitidinae Butler, 1870
  • Sous-famille des Heliconiinae Swainson, 1822 
  • Sous-famille des Apaturinae Boisduval, 1840
  • .Sous-famille des Nymphalinae Swainson, 1827
  • Sous-famille des Charaxinae Doherty, 1886 

 

 

b)  Sous-famille des Nymphalinae Swainson, 1827

Cette Sous-famille comporte deux Tribus en France :

  • Tribu des Nymphalini Swainson, 1827
  • Tribu des Melitaeini Newman, 1870

c) Tribu des Nymphalini Swainson, 1827 :

Elle comporte 5 genres en France :

  • Genre Nymphalis Kluk, 1780 
  • Genre Aglais Dalman, 1816
  • Genre Vanessa Fabricius, 1807
  • Genre Polygonia Hübner, [1819]
  • Genre Araschnia Hübner, [1819]

 

 

 

    

2. Nom de genre : Nymphalis Kluk, 1780

 

a) Description originale : 

   Nymphalis,  Jan Krzysztof Kluk  1780 : Hist. nat. pocz. gospod.* volume IV page 86  (Books Google)

*Historyja naturalna zwierzat domowych i dzikich, osobliwie kraiowych, historyi naturalney poczatki, i gospodarstwo : potrzebnych I pozytecznych donowych chowanie, rozmnozenie, chorob leczenie, dzikich lowienie, oswaienie : za·zycie; szkodliwych zas wygubienie. 4 vols. 

 N.B : selon Dupont & al. (2013), Balint & al. (2001) ont montré que la date initiale de publication de ce taxon était 1780 (et non 1802)

 

— Type spécifique: déterminé par Hemming en 1933 : Papilio polychloros Linnaues, 1758.

— Description : http://books.google.fr/books?id=S5s5AAAAcAAJ&printsec=frontcover&dq=Zwierz%C4%85t+domowych+i+dzikich+osobliwie+

kraiowych+historyi+...,+Volume+4&hl=

fr&sa=X&ei=sv74U6TCA8vqaIO3gWA&ved=0CCIQ6AEwAA#v=onepage&q&f=false

— Ce genre renferme 3 espèces en France :

  • Nymphalis polychloros (Linnaeus, 1758) : Grande Tortue.
  • Nymphalis xanthomelas ([Denis & Schiffermüller], 1775) : Vanesse du Saule. [Espèce migratrice]
  • Nymphalis antiopa (Linnaeus, 1758) : Morio.  

 

 Origine et signification du nom Nymphalis

— A. Maitland Emmet (1991) page 153 :

— Hans A. Hürter (1998) : 

 

—Doux et Gibeaux (2000) page 128

Nymphalis : de Nymphe, « fiancée », « nymphe ». Les nymphes étaient des petites divinités associées aux sources, aux bosquets et aux montagnes, tous bons habitats entomologiques.

— Perrein et al. (2012) page 379 : 

Étymologie : des Nymphales de Linné, du grec numphè "jeune mariée". Dnas la mythologie grecque, les Nymphes, divinités secondaires, peuplent la campagne, les bois et les eaux. Elles sont les esprits des champs et de la nature en général, personnifiant la fécondité et la grâce. Quatrième des six "phalanges" suivant lesquels Linné subdivise les Papiliones ou papillons de jour, les Nymphales ont les ailes plutôt denticulées "Alis denticulatis" et regroupent deux catégories : les "Gemmati Alis occelatis" et les "PhaleratiAlis caecis absque ocellis" suivant la présence d'ocelles aux ailes.

 

Discussion.

Il s'agit ici de la reprise comme nom de genre de celui de la quatrième "phalange" parmi les six dans lesquelles Linné a réparti en 1758 ses Papilio ou papillons diurnes. Le savant suédois y organisait cet ensemble comme la société grecque pendant la Guerre de Troie, avec ses Cavaliers, ses Héros, ses Divinités, ses Muses et ses Nymphes, lesquelles peuplaient les bois les monts et les sources. Les Nymphes (du grec ancien νύμφη / númphê, « jeune fille ») regroupaient alors 57 espèces aux ailes dentelées soit ocellées (Nymphalis gemmati "ornées de joyaux" ou sans ocelles (Nymphalis phalerati ou "harnachées"). De ce riche groupe, le genre ne contient plus que trois espèces en France.

 

 

 

 

 

 

 3.  Nom d'espèce : Nymphalis polychloros (Linnaeus, 1758)

a) Description originale

Protonyme Papilio polychloros  Linnaeus, C. 1758. Systema naturæ per regna tria naturæ, secundum classes, ordines, genera, species, cum characteribus, differentiis, synonymis, locis. Holmiæ. (Salvius). Tomus I: 824 pp. Page 477

 

http://www.biodiversitylibrary.org/item/10277]
 

 

— Description :

P[apilio] N[ymphalis] [Phalerati] polychloros Alis angulatis fulvis nogro maculatis : primoribus prima punctis quatuor nigris 

 

— références données : 

  • Fauna suecica de Linné page 773 
  • Aldrovandi Ins. 246 f.7
  • Merian, Eur.2 t.2.
  • Goed. Ins. I t.77
  • List. Goed. 5 f.3
  • Petiver, Musei 34 n°315
  • John Ray, Hist. insect. 118 n.2
  • Réaumur, Mémoires ins. I t.23 f.2
  • De Geer, Ins. I t.21 fig. 8 et 9.
  • Albin Ins.  t.55
  • Frisch Ins. 6 t.3
  • Wilkes, Pap. 56 t.3 a 5.
  • Roesel Ins. I t. 2.

— Habitat in Pyro, Ceraso, Salice

 — Localité-type : Suède, désignée par  Honey, M. R. & Scoble, M. J. 2001. Linnaeus's butterflies (Lepidoptera: Papilionoidea and Hesperioidea). Zoological Journal of the Linnean Society, 132(3): 277-399 page 3068

Voir Hemming (1933) : 223. [Taxonomie] Hemming, A. F. 1933. Additional notes on the types of certain butterfly genera. The Entomologist, 66(845): 222-225.
 

Selon Dupont & al. 2013, cette espèce a une répartition ouest-paléarctique. Elle est présente en Afrique du Nord, en Europe, en Asie Mineure, dans l’ouest de la Sibérie et la région iranienne-touranienne. Elle est signalée dans toute la France.
Les chenilles sont polyphages sur diverses espèces arbustives ou arborées.
 

 

 

c) Synonymes  INPN (Muséum) et sous-espèces.

Liste des synonymes :

  • Nymphalis polychloros polychloros (Linnaeus, 1758)
  • Papilio polychloros Linnaeus, 1758

 

Sous-espèces :

Tshikolovets cité par Dupont& al. 2013 retient  la présence de deux sous-espèces en Europe et le bassin méditerranéen :
- polychloros Linnaeus, 1758.

- erythromelas Austaut, 1885. Localité-type : Ghazaouet, Algérie 

 

c) Origine et signification du nom polychloros. 

        Si le nom ne répond pas au parti-pris de Linné de donner, en 1758, des noms de nymphes aux espèces qu'il classe dans sa phalange des Nymphalis, c'est qu'il avait déjà décrit cette espèce en 1746 dans sa Fauna suecica, ouvrage dans lequel il se contentait de donner de temps à autre des noms propres, et qu'il avait alors mentionné alors le nom attribué par Aldrovandi à ce papillon, "polychloros".

Aldrovandi décrit en effet cette espèce (la septième figure de sa planche 7) sous le nom de Papilio πολλο'χλωρός  avec le commentaire " Septimus πολλο'χλωρός  dici queat propter colorum diversitatem", "le septième est dit polychloros car il présente des couleurs diverses". (Insectis Livre I page 246).

 La compréhension de ce terme portait à confusion car, stricto sensu, le grec ancien χλωρός khlôrós signifie« vert », et polychloros devrait se traduire "de plusieurs  verts". Ce n'est qu'en consultant le texte et le contexte de la publication d'Aldrovandi que l'on comprend qu'il faut traduire par "multicolore".

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  Ce qualificatif est, sous la plume d'un naturaliste chevronné, décevant car il est très peu discriminatif, de nombreux papillons étant de plusieurs couleurs. Aussi, Esper en 1777 (qui ne disposait vraisemblablement pas du De Animalibus insectis d'Aldrovandi ) a pensé que le terme signifiait bien "de plusieurs verts"  en attribuant cela à la chenille qui était alors redoutée par les producteurs de fruits, dont la vie larvaire se déroulait dans la verdure et qui en détruisait de nombreuses variétés.

Nous verrons que Hurter (1998) a adopté la même hypothèse.

Pourtant, le plus vraisemblable est, comme le suggère Emmet, que le naturaliste de Bologne ait confondu le grec χλωρός  khlôrós "vert" avec χρῶμα, chrôma  « couleur ». Un lapsus calami équivalent à celui que nous ferions en écrivant "polychlore" au lieu de "polychrome". Cela peut arriver à tout le monde.

.

 Les interprétations des étymologistes :

— Gustav Ramann (1870-1876), page 

— Anton Spannert (1888), page 

— Arnold Spuler ( 1908) 1 page 18 :

  "πολύς viel, χλωρός grünlich, oder blaß, von den hellen Wischen in der Grundfarbe.“

"poly, "plusieurs" et chloros "verdâtre" ...

— A. Maitland Emmet (1991) page 153 :

  "πολύς (polus), many ; χλωρός (khloros), pale green or just pale ; Linnaeus took the name from Aldrovandus (Ulysses Aldrovandi (1522-1605), Professor of Natural History of Bologna), who wrotes  ( 1602) of this species "Septimus πολλο'χλωρός dici queat, propter colorum diversitatem" (the seventh may be called polychloros on account of its varied colours). Pickard et al. suggest that Aldrovandus confused the Greek χλωρός  with the latin color, "colour" ; more probably, since he has using the Greek, he confused it with  χρῶμα, (chrôma ) « colour » (cf. our word « polychromatic ».

Traduction : cf Doux et Gibeaux.

 

 

 — August Janssen (1980) page 

— Doux et Gibeaux (2000) page 128 :

du grec polus "nombreux", et  chloros, "vert pâle" ou simplement "clair". Linné a emprunté ce nom à Ulysse Aldrovandi (1522-1605), professeur d'histoire naturelle à Bologne, qui avait écrit (1602) à propos de cette espèce : "la septième pourrait être nommée polychloros en référence à ses couleurs variés" ; il est possible qu'Aldrovandi ait confondu les mots grecs khloros et chroma, ce dernier signifiant "couleur".

 

— Perrein et al. (2012) page 375 :

de poly- du grec polus "nombreux" et de khloros "jaune verdâtre". Linné a repris un nom proposé par Ulysse Aldrovandi en 1602 compte-tenu des couleurs variées (propter colorum diversitatem) de l'espèce : mais en fait, il est probable, selon Pickard et al (Emmet, 1991) que le savant italien ait utilisé le grec khloros, sous l'influence du latin color "couleur", au lieu de khroma, de même sens.

— Hans-A. Hürter (1998) :

 

 

 

Discussion : 

 l'épithète attribué par Linné dès sa Fauna suecica de 1746 est emprunté au naturaliste de Bologne Aldrovandi qui l'utilisait en 1602 pour qualifier la variété des couleurs des ailes. Mais l'étymologie du mot donne  "πολύς (polus), "plusieurs" ; χλωρός (khloros), "vert pâle", soit "de plusieurs verts", ce qui n'a guère de sens. Il est très vraisemblable, comme le suggère Emmet en 1991, que le savant qui écrivait en latin ait confondu les deux mots grecs  khloros, et  khroma, et qu'il voulait écrire "polychrome". Linné aurait pu corriger en Papilio polychromos et mieux témoigner ainsi des couleurs fauve, orange  et noir ou des lunules bleu-métal.

 

 

 

La succession des différentes publications et des descriptions:

1) Goedart. http://entomologia.rediris.es/aracnet/8/precursores/

 

                   fig01.gif

  • Fauna suecica de Linné page 773 
  • Aldrovandi Ins. 246 f.7
  • Merian, Eur.2 t.2.
  • Goed. Ins. I t.77
  • List. Goed. 5 f.3
  • Petiver, Musei 34 n°315
  • John Ray, Hist. insect. 118 n.2
  • Réaumur, Mémoires ins. I t.23 f.2
  • De Geer, Ins. I t.21 fig. 8 et 9.
  • Albin Ins.  t.55
  • Frisch Ins. 6 t.3
  • Wilkes, Pap. 56 t.3 a 5.
  • Roesel Ins. I t. 2.

 

2) James Pétiver,  Musei Petiveriani centuria prima page 34 n° 315 :

Papilio testudinarius major THE GREATER TORTOISE-SHELL [...] This generally settles on Trees, I have observed him both in Spring and Autumn, yet not very common. 

  On admettra que le rapprochement entre une écaille de tortue, fut-elle anglaise, et l'aile de ce papillon est assez discutable, mais que la couleur fauve leur est commune. Ici, les 13 écailles d'une tortue marine de la Réunion du site http://iletdechriss.over-blog.com/article-reflets-d-ecaille-74643169.html

 

tortue 4  

 

Le nom latin et le nom anglais attribués par Pétiver demandent peut-être à être étudiés.

1°) Le nom latin testudinarius.

Ce mot n'est pas attesté en latin avant l'emploi qu'en fit Pétiver. On peut en donner une idée par le vilain barbarisme "tortue-aire", "aux allures de tortue" ; il a été repris en latin scientifique en biologie à la fin du XVIIIe et au XIXe dans l'épithète spécifique du coléoptère Heptaulacus testudinarius (Fabricius, 1775),  du Turtle snail Pleurobranchus testudinarius, Cantraine, 1835 et du Cône Conus testudinarius Hwass in Bruguière, 1792. Dans tous les cas l'animal est jaune et noir, tacheté ou marbré. Animalbase cite  Cimex testudinarius Fourcroy et Geoffroy, 1785 ; Dermestes t. Fourcroy et Geoffroy, 1785 ; Erodius t. Fabricius,1781 ; Scarabeus t. Fabricius 1775 ; Hister t. De Geer, 1774 ; Tetrodon t. Müller, 1841 et Unio t. Spengler 1893. Mais il ne faut pas omettre le papillon Hyphoraia testudinaria Fourcroy et Geoffroy, 1785 ou "Écaille des Steppes" que les auteurs avaient nommé Phalaena testudinaria ou Écaille brune et dont ils décrivaient les ailes supérieures fauves à taches jaunes et les inférieures rouges aux quatre taches noires.

Auparavant, on trouve l'épithète testudinatus (Scarabeus testudinatus de Swammerdam). Les dictionnaires français-latin du XVIIe ignorent la forme testudinarius, mais donne Testudo, "Tortüe", Testudineus "De tortüe ; d'écaille de tortüe", Testudinatus ou Testudinaeus ou Testudineus "Voûté, fait en arcade" et Testudinatum "un dôme".

L'étude du nom testudinarius ne permet donc pas de comprendre le lien que Pétiver a voulu former entre l'espèce de papillon qu'il possédait dans sa collection, et la tortue.

 

 

2°) Le nom The Greater Tortoiseshell.

  Il a été traduit ou compris en français comme nous le verrons par "écaille de tortue" puis par "tortue", mais en anglais shell désigne "la carapace", alors que les écailles constitutives de cette carapace se disent scute. D'autre part, le mot anglais correspondant à "Tortue" est plutôt  Turtle*, et "l'écaille de tortue" est désignée en biologie par l'expression Turtle shell. Surtout, le mot Tortoise shell ou Tortoiseshell désigne en anglais** le matériau fabriqué depuis l'Antiquité à partir des écailles de certaines tortues d'Asie et de Polynésie pour être utilisé en marqueterie, dans la fabrication de peignes et barrettes — anti-électriques !—, de cadres, étuis et tabatières, montures de lunettes — si légères !—, médiators de guitaristes etc..., avant de se voir concurrencé par le plastique après l'interdiction de son commerce en 1970.

* Pétiver décrit donc une tortue de Luçon aux Philippines sous le nom de The Luzone Turtle-Lady (Gazophylacii p.14).

**Dictionnaire Collins : 'a horny translucent yellow-and-brown mottled substance obtained from the outer layer of the shell of the hawksbill turtle : used for making  ornament, jewellerie, etc. ".

 

Utilisée par les Romains (Virgile, Ovide et Juvénal décrite les meubles qui en sont incrustés, Lucien décrit la lyre de Mercure),  mais ré-introduite en Europe par les navigateurs portuguais au XVIe, (le berceau de Henri IV fut fait d'une carapace entière renversée), puis travaillée par les ateliers lillois sous influence espagnole (les briques de la façade de la Vieille Bourse de 1652 en imitent encore l'aspect),  elle trouva son essor en France sous Louis XIV notamment grâce au premier ébéniste du roi, André Charles Boulle ("marqueterie Boulle") qui en orna quantité de bureaux et secrétaires, consoles et cabinets entre 1664 et 1720.

  Le terme Tortoiseshell décrit donc un matériau et non une couleur. Son emploi peut s'admettre par métonymie pour qualifié l'aspect nacré de ce matériau, et notamment, plus que sa couleur, ses marbrures spécifiques au flammé aléatoire. La couleur de l'écaille est moins caractéristique car si elle est, à l’état naturel, de couleur brune, aux reflets bonds-dorés, parfois miel, elle prend, notamment en marqueterie une couleur rouge dûe aux  pigments naturels de couleur rouge dans la colle destinée à plaquer cette écaille.

La tortue marine carnivore utilisée était Eretmochelis imbricata, qui peut atteindre 1 mètre de long et produire jusqu'à 1;5 kg d'écailles; elle était dénommée Carette ou Karet à la Réunion, aux Antilles et à Mayotte. La Tortue Caret est aujourd'hui menacée d'extinction. (image Wikipédia)

Description de cette image, également commentée ci-après

James Petiver ne décrit pas l'espèce de sa collection — son "Musée"—, et nous ne pouvons pas deviner quel détail de ce papillon l'a incité à le comparer au matériau "tortoise-shell". 

 

John Ray, Historia insectorum page 118 

 

 

              III. Noms vernaculaires.

 

 

 

 

 

I. Les Noms français. 

 

 

0. Avant l'âge des noms.

   En France, aucun nom propre n'a été donné aux papillons avant Geoffroy. Mais James Pétiver avait employé (créé ?) à Londres pour celui-ci  le nom de Major testudinarius, the Greater Tortoise-shell dès 1699. Aussi, lorsque Réaumur écrit en 1734 "qu'il est l'un de ceux à qui on a donné le nom de tortüe, à cause de la distribution de ses couleurs, qui imite en quelque sorte celles des taches de l'écaille",  il fait vraisemblablement référence à cette dénomination outre-Manche.

Réaumur, Mémoires pour servir à l'histoire des insectes I page 382. Voir aussi la planche 23 fig. 1 et 2, et la description de la "chenille épineuse de l'orme" et de sa chrysalide.

1. La grande tortue Geoffroy, 1762.

 Étienne-Louis Geoffroy  1762. Histoire abrégée des insectes qui se trouvent aux environs de Paris: dans laquelle ces animaux sont rangés suivant un ordre méthodique ; Paris : Durand 1762 Tome second Planches XI à XXII  colorées à la main par Prévost gravées par Defehrt. 744p. page 37.

  Geoffroy reprend en le traduisant le nom latin testudinarius major de James Pétiver, qu'il cite dans ses références. Il ajoute :

"On a donné à ce papillon le nom de "tortue", testudinarius, parce que ses couleurs imitent celles de l'écaille de tortue".

 Réaumur avait introduit un possible contre-sens en abrégeant le "Tortoise-shell" de Pétiver en "tortüe" : alors que Pétiver comparait ce papillon au matériau "écaille de tortue", par les reflets nacrés ou la marbrure de la Tortue marine Caret plutôt que par la couleur d'un blond-miel souvent teinté de rouge, il pouvait laisser croire que le papillon ressemblait aux écailles de nos tortues, lesquelles sont ternes, concentriques, et en dôme.

"Nos tortues" ? Mais la France ne possède que trois espèces dont la seule terrestre, la Tortue d'Hermann n'est présente que dans le Var et en Corse ; la tortue commune était la tortue d'eau douce ou Cistude d'Europe, appréciée jadis dans les monastères car sa chair pouvait être consommée le vendredi. La tortue qui nous semble si familière n'a été importée en masse qu'à partir de 1880, c'est la Tortue Grecque Testudo graeca. La Fontaine ne connaissait sans-doute l'héroïne de sa Fable que par Ésope, ou par l'usage que les pharmaciens en faisaient.

Geoffroy a mal traduit le latin testudinarius de Pétiver, tout autant que son "Greater Tortoise-shell".

Pourquoi n'a-t-il pas créé le nom de "L'Écaille-de-Tortue" ? L'une des raisons est qu' il a donné le nom d'Écaille à plusieurs papillons de nuit (Écailles mouchetée, marbrée, couleur-de-rose, hérissone, brune) et cette Écaille de Tortue n'appartenait pas à cette série et pouvait entraîner une confusion.

 Pourquoi n'a-t-il pas, alors, créé  "Le Testudinaire" ? Le nom n'est pas gracieux, mais il a été utilisé par Latreille en 1804 pour la Zophose testudinaire ou Érodie testudinaire. 

Ce choix du nom "La Grande Tortue" ne crée pas une métaphore stimulant l'imagination  poétique, et l'animal  champion de lenteur sous sa carapace grisâtre et froide  n'évoque en rien le papillon aux couleurs fauve et orange qui se diisimule par ses taches noires sur le tronc des arbres 

 

 

 

2. La Grande Tortue,  Engramelle, 1779.

Jacques Louis Engramelle 1779 Papillons d'Europe, peints d'après nature, Volume 1 page 8 Planche n° III dessinée par  J.J Ernst .  

"Cette espèce de papillon, ainsi que celle de la planche IV, ont été nommées Tortues à cause de leur couleur, qui imite assez bien celle de l'écaille de la tortue."

Même confusion : si Engramelle se base, dans sa comparaison, sur le matériau écaille-de-tortue presque acajou plaqué peut-être sur son secrétaire, l'imitation est "assez bien" réussie. Mais il parle ici de l'écaille de LA tortue, et son texte entérine le contre-sens des auteurs français.

 

 

 

3. La Vanesse polychlore , Latreille et Godart 1819

Latreille et Godart Encyclopédie méthodique, Paris : Vve Agasse tome 9, page 304 .

Cet article permet de disposer de l'ensemble des références bibliographiques sur cette espèce, notamment par les auteurs germaniques, autrichiens ou suisses.

 

 

4. Vanesse Grande Tortue  , Godart 1821,

      Jean-Baptiste Godart, Histoire naturelle des lépidoptères ou papillons d'Europe, Paris : Crevot 1823, Catalogue méthodique page et page 88 n°28 planche VI peinte par Delarue et gravée par Dumesnil.

                         n170_w346

 

 

 

              

 

 

6. La revue des noms vernaculaires par Gérard Luquet en 1986, et le nom vernaculaire actuel.

 

  Dans la révision des noms vernaculaires français des rhopalocères parue dans la revue Alexanor en 1986, Gérard Christian Luquet proposait comme nom principal "la Grande Tortue" mais admet aussi "La Vanesse de l'Orme" et  "Le Grand-Renard". Il réfute le nom "Le Doré". Il ajoute en note : « Le nom de "Grand-Renard", cité par Robert pour Nymphalis polychloros, est la traduction littérale du nom vernaculaire allemand de cette espèce (« Großer Fuchs »). Mon excellent collègue Thierry Bourgoin a bien voulu me faire savoir que l'appellation « Grand Renard » est usitée en Belgique ».

 G.C. Luquet n'indique pas la source de la forme "la Vanesse de l'Orme". Les dictionnaires d'histoire naturelle du début du XIXe donnait "Papillon de l'Orme" comme synonyme de la Grande Tortue.  L'interrogation du moteur de recherche retrouve ce nom employé au Québec pour Nymphalis antiopa comme nuisible des forêts. 

 

 

7. Étude zoonymique des auteurs français :

— Doux et Gibeaux 2007  page 128 :

"Tortue" : allusion aux motifs des ailes, qui rappellent les écailles de certaines tortues (Réaumur, 1734).

 

— Perrein et al. 2012 page 379 : 

        Pour son nom français [de ce papillon], Réaumur explique en 1734 "qu'il est l'un de ceux à qui on a donné le nom de tortüe, à cause de la distribution de ses couleurs, qui imite en quelque sorte celles des taches de l'écaille". Cette référence chélonienne vient d'outre-Manche, où James Pétiver l'appelle déjà The Greater Tortoiseshell en 1699. 

 

8. Noms vernaculaires contemporains :

 

  Charles Oberthür et Constant Houlbert , dans leur Faune armoricaine de 1912-1921, utilisent le nom scientifique de "Vanessa polychloros"  puis citent dans leur texte page 100 le nom vernaculaire de Grande Tortue.

—Bellmann / Luquet 2008 : "" .

— Blab / Luquet 1988 : 

— Chinery / Leraut  1998  : 

— Doux & Gibeaux 2007 : " ".

— Higgins & Riley /Luquet 1988 : " ". 

— Lafranchis, 2000 : "" .

— Perrein et al. 2012 : " ".

— Tolman & Lewington / P. Leraut 2009 : "".

— Wikipédia : " La Grande tortue, ou le Grand-Renard ou le Doré ou la Vanesse de l'orme ".

 

 

 

III. Les noms vernaculaires dans d'autres pays.

 

  • "Nimfa dorment" en catalan ("Nymphe endormie")
  • "Large Tortoiseshell" "Blackleg Tortoiseshell" en anglais
  • "Nagy rókalepke" en hongrois ("Papillon Grand Renard")
  • "Kirsikkaperhonen" en finnois ("Papillon cerise")
  • "Babočka jilmová" en tchèque ("Nymphale de l'Orme")
  • "Olmera" en espagnol ("de l'Orme")
  • "Grote vos" en néerlandais ("Grand renard")
  • "Körsbärsfuks" en suédois 
  • "Kirsebærtakvinge" en danois
  • "Kirsebærsommerfugl" en norvégien
  • "Karaağaç Nimfalisi" en turc
  • "Grosser Fuchs" en allemand
  • "La Policlora" en italien
  • "Rusałka wierzbowiec" en polonais
  • "Многоцветница" en russe
  • "Kollatähn pajuliblikas"
  • "Daugiaspalvė pleštekė"
  • "Babôčka brestová"

 

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Langues celtiques  : 

1. langues gaéliques :  irlandais (gaeilge) ; écossais (Gàidhlig ) ; mannois ( gaelg :île de Man).

  •  en irlandais

  •  en mannois.
  • "" en gaélique écossais*

2. Langues brittoniques : breton (brezhoneg) ; cornique (kernevek); gallois (Welshcymraeg).

  •  pas de nom en breton ; 

  • "Trilliw mawr " en gallois.

 *Liste des noms gaéliques écossais pour les plantes, les animaux et les champignons. Compilé par Emily Edwards, Agente des communications gaélique, à partir de diverses sources.   http://www.nhm.ac.uk/research-curation/scientific-resources/biodiversity/uk-biodiversity/uk-species/checklists/NHMSYS0020791186/version1.html

 Voir aussi :http://www.lepidoptera.pl/show.php?ID=70&country=FR

 

 

 

               

 

 

IV. Les noms vernaculaires en anglais .

 

 

 

             Bibliographie, liens et Sources.

 

 

— Funet :  nymphalis  

— Inventaire national du patrimoine naturel (Muséum) : Nymphalis polychloros

— UK Butterflies : 

— lepiforum : 

 —Images : voir les superbes dessins de Hübner .

HÜBNER, Jacob, 1761-1826 Das kleine Schmetterlingsbuch : die Tagfalter : kolorierte Stiche,  Insel-Bücherei ; . http://www.biodiversitylibrary.org/item/138312#page/35/mode/1up

 

                 I.  Zoonymie des lépidoptères :

 

— EMMET (Arthur Maitland) 1991. The Scientific Names of the British Lepidoptera: Their History and Meaning, Colchester, Essex, England : Harley Books, 1991,  288 p. : ill. ; 25 cm.

— GLASER L, 1887 Catalogus etymologicus Coleoperum et Lepidopterum. Erklärendes und verdeutschendes namensverzeichnis der Käfer und Schmetterlinge fûr Liebhaber und wissenschaftliche Sammler, R. Friehändler : Berlin 1887, 396 pages. BHL Openlibrary.

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— WALCKENAER (C.A.) 1802,  Faune parisienne, insectes, ou, Histoire abrégée des insectes des environs de Paris classés d'après le système de Fabricius; précédée d'un discours sur les insectes en général, pour servir d'introduction à l'étude de l'entomologie accompagnée de sept planches gravées Paris : Dentu 1802 en ligne BHL.  

 

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                           III. Boite à liens. 

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http://www.animalbase.uni-goettingen.de/zooweb/servlet/AnimalBase/home/speciestaxon?id=8326

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AHwGU7m9LoLm7Abd7oGICg&ved=0CC8Q6AEwAA#v=onepage&q=schwarzgestrichelter%20schmetterling&f=false

Scopoli Entomologia carniolica 1763

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Soddoffsky :http://www.archive.org/stream/bulletindelas10183768mosk#page/n82/mode/1up

Scudder http://biodiversitylibrary.org/page/3076769#page/269/mode/1up

Spuler : http://www.biodiversitylibrary.org/bibliography/9477#/summary

Tutt vol.1 1906 : http://archive.org/stream/naturalhistoryof08tutt#page/n8/mode/1up

Tutt vol.2 1908 : http://archive.org/stream/naturalhistoryof09tutt#page/n4/mode/1up

Tutt v3 1909 :http://archive.org/stream/naturalhistoryof10tutt#page/n4/mode/1up

Tutt v4 1914 : http://archive.org/stream/naturalhistoryof04tut#page/n4/mode/1up

 

 De Villers 1789 :  https://archive.org/stream/carolilinnaeient02linn#page/n11/mode/2up

Walckenaer : http://www.biodiversitylibrary.org/item/79375#page/289/mode/1up

Westwood et Humphreys 1841 : http://biodiversitylibrary.org/bibliography/12483#/summary

Wilkes, english moths and butterflies http://books.google.fr/books?id=x1xnr4VCDe0C&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false 

Goettingen animalbase : base de donnée : http://www.animalbase.uni-goettingen.de/zooweb/servlet/AnimalBase/search

Butterflies of America : http://butterfliesofamerica.com/polyommatus_icarus.htm

Références Bibliographiques en taxonomie : http://butterfliesofamerica.com/US-Can-Cat.htm

 Bestimmungshilfe für die in Europa nachgewiesenen Schmetterlingsarten :http://www.lepiforum.de/

— Un beau plaidoyer sur les noms de papillons :

 http://excerpts.numilog.com/books/9782759217045.pdf 

— Articles biographiques sur les taxonomistes entomologistes 

  http://gap.entclub.org/taxonomists/index.html 

   — http://www.reserves-naturelles.org/sites/default/files/fichiers/protocole-rhopalo-liste-especes.pdf

— site d'identification ;http://r.a.r.e.free.fr/interactif/photos%20nymphalidae/index.htm

 

 

 

 

                                          

 
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Published by jean-yves cordier - dans Zoonymie des Rhopalocères.
4 novembre 2014 2 04 /11 /novembre /2014 11:17
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Published by Jy Cordier

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  • : Le blog de jean-yves cordier
  • : 1) Une étude détaillée des monuments et œuvres artistiques et culturels, en Bretagne particulièrement, par le biais de mes photographies. Je privilégie les vitraux et la statuaire. 2) Une étude des noms de papillons et libellules (Zoonymie) observés en Bretagne.
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  • "Il faudrait voir sur chaque objet que tout détail est aventure" ( Guillevic, Terrraqué).  "Les vraies richesses, plus elles sont  grandes, plus on a de joie à les donner." (Giono ) "Délaisse les grandes routes, prends les sentiers !" (Pythagore)
  • "Il faudrait voir sur chaque objet que tout détail est aventure" ( Guillevic, Terrraqué). "Les vraies richesses, plus elles sont grandes, plus on a de joie à les donner." (Giono ) "Délaisse les grandes routes, prends les sentiers !" (Pythagore)

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